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Un des sites Internet de la galaxie web de l´UMP laisse en accès libre des centaines d´informations privées d´adhérents. Numéros de téléphone, identités, adresses postales, cotisations, numéro d'adhérents, ... le site Internet de la section 64 de l'UMP, le parti politique au pouvoir en France, laisse accessible depuis au moins 8 mois des données sensibles et privées appartenant à des membres de la section Viennoise du groupe de pensée de Nicolas Sarkozy. Les administrateurs du site ont été contactés par courrier électronique, via notre protocole d'alerte [HaideD 758], et cela depuis le début du mois de janvier 2011. ZATAZ.COM a pu constater que plus d'un mois après notre alerte, les informations privées et sensibles sont toujours accessibles. D'autres données sont mêmes venues se rajouter depuis. Bref, voilà ce qui arrive à force de penser que l'on peut tout stocker sur un serveur web.
Une affaire, sur le papier, qui peut coûter cher au fautif. La loi informatique et liberté (CNIL) punit ce type de fuite d'informations nominatives d'une sanction pouvant atteindre 5 ans d'emprisonnement et 300 000 € d'amende (art. 226-17 du code pénal). La divulgation d’informations commise par imprudence ou négligence est punie de 3 ans d'emprisonnement et de 100 000 € d’amende. (art. 226-22 du code pénal). Il suffirait qu'un seul "adhérent" inclus dans cette liste dépose plainte, auprès de la CNIL.

Patrick_NL a écrit : Un des sites Internet de la galaxie web de l´UMP laisse en accès libre des centaines d´informations privées d´adhérents. Numéros de téléphone, identités, adresses postales, cotisations, numéro d'adhérents, ... le site Internet de la section 64 de l'UMP, le parti politique au pouvoir en France, laisse accessible depuis au moins 8 mois des données sensibles et privées appartenant à des membres de la section Viennoise du groupe de pensée de Nicolas Sarkozy. Les administrateurs du site ont été contactés par courrier électronique,via notre protocole d'alerte [HaideD 758], et cela depuis le début du mois de janvier 2011. ZATAZ.COM a pu constater que plus d'un mois après notre alerte, les informations privées et sensibles sont toujours accessibles. D'autres données sont mêmes venues se rajouter depuis. Bref, voilà ce qui arrive à force de penser que l'on peut tout stocker sur un serveur web.
Une affaire, sur le papier, qui peut coûter cher au fautif. La loi informatique et liberté (CNIL) punit ce type de fuite d'informations nominatives d'une sanction pouvant atteindre 5 ans d'emprisonnement et 300 000 € d'amende (art. 226-17 du code pénal). La divulgation d’informations commise par imprudence ou négligence est punie de 3 ans d'emprisonnement et de 100 000 € d’amende. (art. 226-22 du code pénal). Il suffirait qu'un seul "adhérent" inclus dans cette liste dépose plainte, auprès de la CNIL.

Et alors êtes vous adhèrent? êtes vous concernés? que voulez vous démontrer en publiant ici un extrait de communiqué pondu par on ne sait qui?
J'aimerais bien un développement personnel qui ouvre un débat ... mais là? :roll: :roll: :roll:

Barbapoutre a écrit : Et alors êtes vous adhèrent? êtes vous concernés? que voulez vous démontrer en publiant ici un extrait de communiqué pondu par on ne sait qui?
J'aimerais bien un développement personnel qui ouvre un débat ... mais là? :roll: :roll: :roll:

Zataz est un site d'actualite multimedia.Je trouve interessant de souligner la nullite de l'UMP qui a deja eu des problemes avec un certain clip.

franchement si c'est visible depuis 8 mois, c'est plus une fuite, c'est de la com'

Tiens y'a meme des personnes de droite qui ne savaient pas que leur formation se servait de l'informatique. Sinon,vraiment,il y aurait un J.Assange à l'UMP.