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La nouvelle règle est qu'il n'y a pas ou plus de règle. Peut-être la cause de certains désordres, cette nouvelle tendance à refuser toutes contraintes imposées par une quelconque règle, fait qu'aujourd'hui la règle est qu'il n' y en a plus.

Avant une négation des règles, n'assistons-nous pas plus tôt à une remise en question des règles établies?

Le premier sens qu'il faut donner à une règle est bien celui de vouloir vivre ensemble. Aujourd'hui y a t il encore le désir de vivre ensemble? Ceci expliquerai donc celà.

Le premier sens qu'il faut donner à une règle est bien celui de vouloir vivre ensemble. Aujourd'hui y a t il encore le désir de vivre ensemble? Ceci expliquerait donc cela.

Je crois que tu as donné la plus grande part de la réponse.
Autant l'individualisme devrait permettre de prendre ses responsabilités et assumer ses actes, autant le vivre ensemble que nous avons expérimenté de manière contemporaine, semble faire disparaitre le sens des responsabilités.

Le désir social est important à condition de ne rien donner et beaucoup recevoir, il en est de même pour les règles et les devoirs tant que ce sont les autres qui doivent assumer ...

Je ne suis pas tout à fait d'accord avec Sanz. Moi j'ai l'impresssion que nos générations en ont eu marre de ces régles mais à contrario j'ai l'impression que la nouvelle génération recherche des régles.

mum401 a écrit : Je ne suis pas tout à fait d'accord avec Sanz. Moi j'ai l'impresssion que nos générations en ont eu marre de ces régles mais à contrario j'ai l'impression que la nouvelle génération recherche des régles.

Nous sommes toujours à la recherche de règles, car elles nous sont nécéssaires, mais le fait qu' est d'actualité c'est de ne plus vouloir les contraintes qu'elles entraînnent.

Je ne vois pas pourquoi tu dis ça ?

J' pige pas non plus.....
Y ' a l'état régalien, il existe donc un ou des règles.... Consenties ou contraintes ; que fait la loi ? Ne permet-elle pas un minimum de "vivre ensemble" ???
L'individualisme, c'est une question heu, heu un peu différente puisque certain en ont fait LE moteur socio-économique absolu : mon égoisme étant 'une main invisible' qui entraine chacun vers le bien-être - C'est-y pas beau ??