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Les Athées sont comme des gens qui diraient : "Je n'ai pas de parents"
- Mais comment tu es venu au monde ?
Ben tout seul, par la nature, le hasard...
- Hein ? mais c'est impossible, tout vient d'une cause adaptée !
Alors prouve moi que j'ai des parents !
- C'est obligatoire, on nait de nos parents
J'attend les preuves !
-

"L’esprit humain a du mal à accepter le rôle important du hasard et l’absence de hiérarchie dans l’évolution."
Jean-Sébastien Steyer est paléontologue au CNRS et rattaché au Muséum national d'histoire naturelle.

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2014/03/19/8-questions-pour-en-fin…

"Dites-vous tous que vous êtes le fruit du hasard et de la sélection naturelle !"
Pierre Marage, physicien et vice-recteur à la recherche de l'ULB

À 1h04m55s :
https://www.youtube.com/watch?v=dJgM4zP9KMs

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On apprend ça à l'école, c'est officiel.

Les athées y croient et imposent leur croyance par la science corrompue.

Même ton état d'esprit est le fruit du hasard
Car si tu avais hérité d'autres vies passées tu serais surement différent dans un autre carma et un incident dans cette incarnation aurait encore pu te rendre différent de ce que tu es

Que chacun garde pour lui ses convictions religieuses. Et qu'il fasse sa messe le soir dans son lit.
Ces religions n'ont que trop empoisonné l'Humanité.

La vérité n'est pas un poison, elle libère !

Manumax a écrit : La vérité n'est pas un poison, elle libère !

La vérité n'a pas sa place dans la religion. On reste dans le domaine de la croyance et de l'espoir.

- Si la croyance de la Bible est vraie alors elle est vraie.
- Si la croyance athée dans le hasard est fausse, alors elle est fausse.

Manumax a écrit : - Si la croyance de la Bible est vraie alors elle est vraie.
- Si la croyance athée dans le hasard est fausse, alors elle est fausse.

Extraordinaire révélation :
"Si c'est vrai, c'est vrai ; si c'est faux, c'est faux "!
Seul un génie (du pléonasme) peut avoir accès à une vérité aussi profonde !

D'après Pascal (le philosophe) il vaut mieux croire en Dieu que de ne pas y croire, le risque est moins grand si on se trompe.
(le pari de Pascal).

Mais le raisonnement de Pascal ne tient que pour celui qui conçoit Dieu que comme un Dieu courroucé et vindicatif qui a besoin d'être toujours loué et adoré en permanence. Alors la vie éternelle est au prix de la croyance. Un tel Dieu exige de nous un comportement de prostitué. C'est un peu le Dieu que j'ai entrevue dans la lecture du 1er testament, peut être une mauvaise interprétation de ma part, mais j'y ai éprouvé plus ressentiment de crainte que d'amour.

gare au gorille a écrit : D'après Pascal (le philosophe) il vaut mieux croire en Dieu que de ne pas y croire, le risque est moins grand si on se trompe.
(le pari de Pascal).

Mais le raisonnement de Pascal ne tient que pour celui qui conçoit Dieu que comme un Dieu courroucé et vindicatif qui a besoin d'être toujours loué et adoré en permanence. Alors la vie éternelle est au prix de la croyance. Un tel Dieu exige de nous un comportement de prostitué. C'est un peu le Dieu que j'ai entrevue dans la lecture du 1er testament, peut être une mauvaise interprétation de ma part, mais j'y ai éprouvé plus ressentiment de crainte que d'amour.

Et si il n'y avait pas toutes ces contradictions !
"Dieu est infiniment bon".
Un infini qui trouve sa limite par l'enfer ! Un infini limité, voilà qui est fortement contradictoire !
"Dieu est infiniment puissant".
Un infini qui trouve sa faiblesse dans le besoin d'être adoré ! Un infini limité, voilà qui est fortement contradictoire !
"Dieu est parfait".
Ah bon ? Comment un "être parfait" a-t-il pu commettre tant d'imperfections ?
"car je te hais , toi l'auteur de tant de prodiges imparfaits" (Paul Valéry, Le serpent)

Mais le plus drôle est la "preuve ontologique" de l'existence de Dieu"
Voici en gros cette "preuve" :
Dieu est parfait.
S'il n'existait pas, il ne serait pas parfait.
Donc Dieu existe !

Que ceci soit bien clair : J'ignore totalement si Dieu existe ou non et j'ajoute que cela m'est parfaitement égal.
C'est aux religions qui prétendent le connaître au point de nous faire miroiter ses prétendues récompenses ou menacer de ses punitions que je crie mon indignation !

Et pourquoi Dieu ne rendrait pas justice ?

Si Dieu ne rend pas justice pour le jour du jugement, alors il n'est pas Dieu.

Manumax a écrit : Et pourquoi Dieu ne rendrait pas justice ?

Si Dieu ne rend pas justice pour le jour du jugement, alors il n'est pas Dieu.

Ce qui revient insidieusement à reconnaître et à affirmer l'existence de ce jour du jugement !
Belle entourloupe, mais ça ne prend pas !

La croyance en Dieu est pour certain une assurance sur la "vie". Une de mes connaissance me disais, "quand j'étais jeune, je ne croyais pas en Dieu. Maintenant que je suis proche de ma mort, vu mon âge avancé, j'y crois, je prie, je fais à la mess, à Lourdes... Parce que si Dieu existe cela me sera profitable, et s'il n'existe pas, j'aurais juste perdu un peu de temps pour rien."

Georges61 a écrit : La croyance en Dieu est pour certain une assurance sur la "vie". Une de mes connaissance me disais, "quand j'étais jeune, je ne croyais pas en Dieu. Maintenant que je suis proche de ma mort, vu mon âge avancé, j'y crois, je prie, je fais à la mess, à Lourdes... Parce que si Dieu existe cela me sera profitable, et s'il n'existe pas, j'aurais juste perdu un peu de temps pour rien."

Très discutable :

« — Examinons donc ce point, et disons : « Dieu est, ou il n'est pas. » Mais de quel côté pencherons-nous ? La raison n'y peut rien déterminer : il y a un chaos infini qui nous sépare. Il se joue un jeu, à l'extrémité de cette distance infinie, où il arrivera croix ou pile. Que gagerez-vous ? Par raison, vous ne pouvez faire ni l'un ni l'autre; par raison, vous ne pouvez défaire nul des deux. Ne blâmez donc pas de fausseté ceux qui ont pris un choix ; car vous n'en savez rien. — Non ; mais je les blâmerai d'avoir fait, non ce choix, mais un choix; car, encore que celui qui prend croix et l'autre soient en pareille faute, ils sont tous deux en faute : le juste est de ne point parier. — Oui, mais il faut parier ; cela n'est pas volontaire, vous êtes embarqué. Lequel prendrez-vous donc ? Voyons. Puisqu'il faut choisir, voyons ce qui vous intéresse le moins. (...). Votre raison n'est pas plus blessée, en choisissant l'un que l'autre, puisqu'il faut nécessairement choisir. Voilà un point vidé. Mais votre béatitude ? Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez tout; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter. »
— Blaise Pascal, Pensées

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pari_de_Pascal

Le raisonnement de Pascal me remet en mémore une blague d'autrefois au lycée alors que l'on y étudiait la logique aristotélicienne :

" Une chose ne peut à la fois être et ne pas être.
"Or, de deux choses l'une :
"Ou il pleut ou il ne pleut pas.
"Or, il ne pleut pas. Donc il pleut.

L'exégèse de ce "raisonnement" alambiqué présente une certaine ressemblance avec celle que l'on pourrait faire sur le "pari de Pascal" !

Quand on se sent en danger et que tout vas mal, plus d' emploi santé défaillante etc; rien ne sert de jurer et de blasphémer contre Lui. Là, ce n'est pas une bonne idée pour attirer son attention!!