Chez "Boulanger",on insulte sur facture....
Posté : 23 février 2012 09:15
«Le gros ripoux (sic) et sa bonniche. » L'insulte est écrite en toutes lettres en haut à droite d'une classique facture du magasin Boulanger de la zone commerciale des Rives-d'Arcins, à cheval entre Villenave-d'Ornon et Bègles, près de Bordeaux. Cette facture a été délivrée le 19 janvier 2011 à un couple venu acheter une machine à pain pour un montant de 38,18 €.
C'est grâce à ce prix qu'ils se sont rendu compte de la troublante anomalie qui figure sur cette facture. « Leur fils ne voulait pas croire qu'ils avaient payé cette machine si peu cher, explique Me Jean-Baptiste Bordas. Ils lui ont donc montré la facture. C'est lui qui s'est rendu compte que sous le nom et l'adresse de ses parents, figurait cette mention « Le gros ripoux et sa bonniche ». Cela les a beaucoup choqués. Comme ils sont régulièrement clients chez Boulanger, ils ont regardé les factures qu'ils avaient conservées. Une autre, concernant un achat quelque temps plus tôt, portait déjà cette insulte. »
Le couple a dans un premier temps, demandé des explications à Boulanger. Il leur a simplement été proposé le remboursement de leur achat, « alors qu'ils voulaient comprendre pourquoi et comment l'ajout de ces mots offensants a été possible », souligne Me Bordas.
Source:Sud-Ouest.
C'est grâce à ce prix qu'ils se sont rendu compte de la troublante anomalie qui figure sur cette facture. « Leur fils ne voulait pas croire qu'ils avaient payé cette machine si peu cher, explique Me Jean-Baptiste Bordas. Ils lui ont donc montré la facture. C'est lui qui s'est rendu compte que sous le nom et l'adresse de ses parents, figurait cette mention « Le gros ripoux et sa bonniche ». Cela les a beaucoup choqués. Comme ils sont régulièrement clients chez Boulanger, ils ont regardé les factures qu'ils avaient conservées. Une autre, concernant un achat quelque temps plus tôt, portait déjà cette insulte. »
Le couple a dans un premier temps, demandé des explications à Boulanger. Il leur a simplement été proposé le remboursement de leur achat, « alors qu'ils voulaient comprendre pourquoi et comment l'ajout de ces mots offensants a été possible », souligne Me Bordas.
Source:Sud-Ouest.