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gemmill a écrit : Le tribunal de commerce de Pau a désigné mardi le groupe Cargo-Promodis, spécialisé notamment dans l’équipement des armées, comme repreneur de Béatex, le dernier fabricant français de bérets basques, implanté à Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques), placée en redressement judiciaire. La fabrication des bérets basques à Oloron-Sainte-Marie a commencé en 1840.

boursorama.com

elem a écrit : les troufions vont défiler en béret basque?
et en espadrilles?

sacamalix a écrit :
C'est déjà plus ou moins le cas... la seule différence notable, c'est la façon de le mettre sur la tête

Bon, pour les espadrilles, faudra attendre encore un peu

Les 44 salariés de la dernière fabrique de bérets français, placée en redressement judiciaire le 24 janvier dernier, sont soulagés. "Nous sommes satisfaits. La proposition de Cargo-Promodis était la mieux disant au plan social, puisqu’il reprend 28 salariés sur les 33 affectés à la production à Oloron. Le groupe va injecter d’emblée 500 000 euros sur le site" se réjouit Jean-René Riard, délégué du personnel, tout en prévenant que "l’année 2012 va être difficile".

Ces dernières semaines, Jean-Philippe Frémont, le PDG de Cargo-Promodis, ne se cachait pas son "intérêt stratégique" pour Beatex dont Promodis, équipementier pour l’armée et les foyers militaires, est le premier client privé. De son côté, un autre candidat en lice, le groupe Gouaix, faisait valoir qu’il distribuait exclusivement des produits 100 % fabriqués en France.

Le tribunal de commerce de Pau a tranché. Le 11 juin prochain, ce dernier examinera le cas de Pierre Lemoine, l’ex PDG de Beatex. Avait-il le droit de vendre des machines avant que n’intervienne la procédure de redressement judiciaire. Une autre affaire à suivre ...

tisiphoné a écrit : on peut partager la joie des salariés

sacamalix
Enfin, le plus important, c'est que la production reste en France...

Fonck1 a écrit : Voila.

Encore une preuve qu'interdire (les licenciements) nuit au redressement de la boite et ainsi la pérennisation des emplois du plus grand nombre.
Certes,ils ont injectés 500 000 euros (c'est pas grand chose pour une boite comme ça ! )

elem a écrit : tu aurais préféré que la boîte galère sous la direction d'un mauvais gestionnaire?
je dois mal comprendre....

Fonck1 a écrit : tu aurais peut être du lire la fin de mon post !

elem a écrit : mais je l'ai lu, Fonck, je l'ai lu!
c'est juste que ta première phrase m'a interpellé
en quoi cette reprise prouve-t-elle que l'interdiction des licenciements serait néfaste?
je ne dis pas que je suis pour ce genre d'interdiction, je suis d'accord avec toi, les entreprises ont besoin de liberté
mais je ne fais pas le rapport entre la phrase que j'ai relevé et la suite...

Fonck1 a écrit : ben ils ont licencié 5 personnes pour maintenir la boite.
si le patron d'origine l'avait fait,depuis longtemps,ils n'en seraient peut être pas la.

elem a écrit : ah d'accord, comme ça, je comprends ce que tu voulais dire
après, il faudrait savoir s'il n'a pas déjà viré du personnel avant de sombrer
et s'il n'allait pas en virer encore plus, s'il n'avait pas été soumis à un redressement