Nicolas Bedos VS Tristane Banon
Posté : 05 novembre 2012 12:14
J'ai beaucoup aime cette joute verbiale, Sans prendre parti pour qui que ce soit, ces deux ont l'air de bien s'amuser et le jour ou ils mangeront ensemble, j'espere qu'ils y inviterons des camera.
http://www.forum-actualite.com/debats/p ... lites.html
Nicolas Bedos : L’impresario de Tristane Banon (qui se fait passer pour sa mère) lui souffle un « J’accuse DSK » dont le style juvénile rappelle davantage Anna Gavalda que l’auteur de Germinal. Qu’elle ait été brutalisée ou non par un malade mental (Rocard n’est pas gâteux, Rocard est franc), cette romancière convalescente est moins bonne que Torreton dans le rôle de la victime. J’en profite pour implorer Tristane d’arrêter de me citer dans la presse comme « son meilleur ami ». Du peu que je m’en souvienne (il était tard dans mon whisky), je ne l‘ai croisé qu’une fois, dans une boîte à la mode ringarde, et ce fut un peu court pour parler de symbiose. Elle a juste eu le temps d’évoquer ses projets, qui sont restés muets, la rubrique des faits divers l’empêchant sans doute de squatter les pages cultures. Dommage. Tristane, fragile Tristane, retardataire lacrymale : puisque à te lire nous sommes désormais comme les deux doigts de la main, permets moi de te rappeler que la justice fonctionne. Elle te paraît sans doute trop lente, mais vu les huit années qu’il t‘a fallu pour porter plainte, je t’invite aujourd’hui à davantage de modestie. Conseil de bon copain : euthanasie ta mère et termine ton bouquin…. »
Tristane Banon : Sois heureux, satisfait, comblé…ça y’est, je t’ai ENFIN remarqué ! Un an que tu me fais des signes désespérés, un an que tu me chroniques dans Marianne, m’apostrophes chez Ruquier, me dézingues chez Toussaint, tout ça dans le but, tu as fini par l’avouer sur France 2, de m’inviter à déjeuner. Et dire que je ne t’avais pas repéré, même pas calculé, toi qui n’étais pour moi que le fils de ton père. Mais Nicolas, sais-tu qu’il y a des méthodes plus simples que d’aller faire la pute mythomane dans la lucarne pour qu’une fille te remarque ?... j’avoue que j’aurais du comprendre le message : « Mais vois-moi Tristane, je suis là, lève un tout petit peu les yeux de ton chien pour m’apercevoir qui bave devant toi, la queue basse ». Et non, je ne voyais rien. Je me souvenais vaguement d’un garçon croisé ivre dans un bar à la mode, tu partageais alors la vie d’une brune qui ne pouvait pas être ta mère mais n’avait plus l’âge d’être ta sœur, et tu hurlais qu’elles faisaient « toutes chier à vouloir faire des mioches, ces pétasses de bonnes-femmes ! »...Car enfin, s’il est vrai que notre président « Normal » te faisait, il n’y a pas si longtemps, annuler tes PV, comprends bien que ça nous fera voir sa « normalité » sous un angle résolument neuf (à moins que nous décidions tous de lui envoyer nos contraventions avec une recommandation de ta part) ! Que Julien Hollande te dise réellement que personne ne peut encadrer Valérie Trierweiler autour de lui, ou que tu l’inventes, ne revient pas tout à fait au même.
Mais revenons à nous, et puisque tu as l’air de t’en inquiéter, je te rassure, je mange autant que tu sniffes, c’est dire si je suis plutôt loin de l’anorexie. Déjeunons puisque tu le souhaites, mais alors sois chic, choisis-nous au moins une bonne adresse ! »
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Nicolas Bedos : L’impresario de Tristane Banon (qui se fait passer pour sa mère) lui souffle un « J’accuse DSK » dont le style juvénile rappelle davantage Anna Gavalda que l’auteur de Germinal. Qu’elle ait été brutalisée ou non par un malade mental (Rocard n’est pas gâteux, Rocard est franc), cette romancière convalescente est moins bonne que Torreton dans le rôle de la victime. J’en profite pour implorer Tristane d’arrêter de me citer dans la presse comme « son meilleur ami ». Du peu que je m’en souvienne (il était tard dans mon whisky), je ne l‘ai croisé qu’une fois, dans une boîte à la mode ringarde, et ce fut un peu court pour parler de symbiose. Elle a juste eu le temps d’évoquer ses projets, qui sont restés muets, la rubrique des faits divers l’empêchant sans doute de squatter les pages cultures. Dommage. Tristane, fragile Tristane, retardataire lacrymale : puisque à te lire nous sommes désormais comme les deux doigts de la main, permets moi de te rappeler que la justice fonctionne. Elle te paraît sans doute trop lente, mais vu les huit années qu’il t‘a fallu pour porter plainte, je t’invite aujourd’hui à davantage de modestie. Conseil de bon copain : euthanasie ta mère et termine ton bouquin…. »
Tristane Banon : Sois heureux, satisfait, comblé…ça y’est, je t’ai ENFIN remarqué ! Un an que tu me fais des signes désespérés, un an que tu me chroniques dans Marianne, m’apostrophes chez Ruquier, me dézingues chez Toussaint, tout ça dans le but, tu as fini par l’avouer sur France 2, de m’inviter à déjeuner. Et dire que je ne t’avais pas repéré, même pas calculé, toi qui n’étais pour moi que le fils de ton père. Mais Nicolas, sais-tu qu’il y a des méthodes plus simples que d’aller faire la pute mythomane dans la lucarne pour qu’une fille te remarque ?... j’avoue que j’aurais du comprendre le message : « Mais vois-moi Tristane, je suis là, lève un tout petit peu les yeux de ton chien pour m’apercevoir qui bave devant toi, la queue basse ». Et non, je ne voyais rien. Je me souvenais vaguement d’un garçon croisé ivre dans un bar à la mode, tu partageais alors la vie d’une brune qui ne pouvait pas être ta mère mais n’avait plus l’âge d’être ta sœur, et tu hurlais qu’elles faisaient « toutes chier à vouloir faire des mioches, ces pétasses de bonnes-femmes ! »...Car enfin, s’il est vrai que notre président « Normal » te faisait, il n’y a pas si longtemps, annuler tes PV, comprends bien que ça nous fera voir sa « normalité » sous un angle résolument neuf (à moins que nous décidions tous de lui envoyer nos contraventions avec une recommandation de ta part) ! Que Julien Hollande te dise réellement que personne ne peut encadrer Valérie Trierweiler autour de lui, ou que tu l’inventes, ne revient pas tout à fait au même.
Mais revenons à nous, et puisque tu as l’air de t’en inquiéter, je te rassure, je mange autant que tu sniffes, c’est dire si je suis plutôt loin de l’anorexie. Déjeunons puisque tu le souhaites, mais alors sois chic, choisis-nous au moins une bonne adresse ! »