Des médicaments non remboursés en vente moins chez Leclerc?
Posté : 04 février 2013 11:03
Pour vendre de la parapharmacie, «nous avons des pharmaciens (...). Les laboratoires, qui ont exigé cela, finalement nous ont rendu service puisque nous garantissons tous les problèmes de santé», a expliqué Michel-Edouard Leclerc sur Canal+.
«Pour vendre de la dermo-cosmétique et du lait pour nourrissons, nous avons le pharmacien donc, à partir du moment où ils sont chez nous, nous ambitionnons de vendre des médicaments, notamment les médicaments qui ne sont plus remboursés, qui ne sont plus remboursables», a-t-il indiqué, soulignant qu’il s’agit d’un «coup dur pour le pouvoir d’achat des patients, des consommateurs».
Michel-Edouard Leclerc a affirmé que le groupe «va vendre moins cher, entre 25 et 30% par rapport à un prix d’officine».
«Aujourd’hui, il n’y a pas vraiment beaucoup de concurrence entre les officines (...), il y a un écart de un à deux dans le prix des produits de pharmacie. Donc, on va essayer de mettre un peu de concurrence dans ce secteur», a-t-il poursuivi. Michel-Edouard Leclerc a relevé que la santé et la culture représentent «deux vecteurs» d’expansion du groupe.
«On va continuer à développer des espaces culturels où la part du livre restera prépondérante, nous croyons que c’est l’offre qui fait la demande. Il y aura de la musique, toujours de la musique, plus de musique montrée», a-t-il précisé. «On rejoue le rôle que devait jouer la Fnac initialement quand elle se disait agitateur culturel».
Le groupe a prévu de vendre également ces produits «sur internet à partir d’avril».
Source:Le Progrès.
«Pour vendre de la dermo-cosmétique et du lait pour nourrissons, nous avons le pharmacien donc, à partir du moment où ils sont chez nous, nous ambitionnons de vendre des médicaments, notamment les médicaments qui ne sont plus remboursés, qui ne sont plus remboursables», a-t-il indiqué, soulignant qu’il s’agit d’un «coup dur pour le pouvoir d’achat des patients, des consommateurs».
Michel-Edouard Leclerc a affirmé que le groupe «va vendre moins cher, entre 25 et 30% par rapport à un prix d’officine».
«Aujourd’hui, il n’y a pas vraiment beaucoup de concurrence entre les officines (...), il y a un écart de un à deux dans le prix des produits de pharmacie. Donc, on va essayer de mettre un peu de concurrence dans ce secteur», a-t-il poursuivi. Michel-Edouard Leclerc a relevé que la santé et la culture représentent «deux vecteurs» d’expansion du groupe.
«On va continuer à développer des espaces culturels où la part du livre restera prépondérante, nous croyons que c’est l’offre qui fait la demande. Il y aura de la musique, toujours de la musique, plus de musique montrée», a-t-il précisé. «On rejoue le rôle que devait jouer la Fnac initialement quand elle se disait agitateur culturel».
Le groupe a prévu de vendre également ces produits «sur internet à partir d’avril».
Source:Le Progrès.