La CPE revendait les objets confisqués aux élèves.
Posté : 13 février 2013 10:06
La conseillère principale d’éducation (CPE) d'un collège de Haute-Vienne a fait l'objet d’une mise à pied depuis lundi. Elle est tout simplement soupçonnée d’avoir revendu sur internet du matériel informatique qu’elle avait confisqué à un élève au collège de Bellac, dans le nord du département.
«Cette personne fait l’objet d’une mise à pied jusqu’à la tenue d’un conseil de discipline sous quatre mois», a précisé le rectorat. Aucune plainte n’a été déposée contre la conseillère. L'objet revendu a une forte valeur marchande, vraisemblablement du matériel de «type informatique», ajoute-t-on de même source.
Très affectée, la CPE aurait reconnu les faits et attribué son geste à un besoin urgent d’argent. Les faits pourraient porter non pas sur un seul, mais sur plusieurs objets remis en vente. C'est l'insistance d'élèves à récupérer les objets confisqués, mais mystérieusement disparus, qui aurait éveillé les soupçons du rectorat.
D'ici au conseil de discipline, «une enquête interne va être menée afin d'établir si elle a commis les faits dont elle est accusée et elle pourra rassembler les éléments de sa défense», a précisé le rectorat. Pour le moment, elle a été remplacée dans l'attente de la conclusion de la procédure disciplinaire.
Source:Le Parisien.
«Cette personne fait l’objet d’une mise à pied jusqu’à la tenue d’un conseil de discipline sous quatre mois», a précisé le rectorat. Aucune plainte n’a été déposée contre la conseillère. L'objet revendu a une forte valeur marchande, vraisemblablement du matériel de «type informatique», ajoute-t-on de même source.
Très affectée, la CPE aurait reconnu les faits et attribué son geste à un besoin urgent d’argent. Les faits pourraient porter non pas sur un seul, mais sur plusieurs objets remis en vente. C'est l'insistance d'élèves à récupérer les objets confisqués, mais mystérieusement disparus, qui aurait éveillé les soupçons du rectorat.
D'ici au conseil de discipline, «une enquête interne va être menée afin d'établir si elle a commis les faits dont elle est accusée et elle pourra rassembler les éléments de sa défense», a précisé le rectorat. Pour le moment, elle a été remplacée dans l'attente de la conclusion de la procédure disciplinaire.
Source:Le Parisien.