Jalabert avoue avoir peut etre pris des produits.....
Posté : 17 mai 2013 06:23
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur l’efficacité de la lutte contre le dopage, l’ancien cycliste Laurent Jalabert s’est exprimé sur l’utilisation de produits illicites durant sa carrière. L’ancien sélectionneur de l’équipe de France a affirmé n’avoir jamais souhaité « participer à la course à l’armement ».
« Je sens bien que vous voulez me faire dire que j'étais pas clair » a déclaré Laurent Jalabert devant la Commission, présidée par le sénateur UMP du Doubs, Jean-François Humbert. Alors qu’il est encore en convalescence après sa violente chute à vélo en mars dernier à Montauban, Jalabert a répondu pendant près d’une heure aux questions des sénateurs.
« J’ai couru dans trois équipes. Comme les autres coureurs, j’avais tout un encadrement en qui, moi, j’avais pleine confiance. Que ce soit au niveau du management, de la partie mécanique, ou au niveau médical » a-t-il expliqué.
Laurent Jalabert a toutefois reconnu avoir reçu des infiltrations de corticoïdes (aujourd’hui interdites), mais qui étaient alors « justifiées par des AUT (autorisations à usage thérapeutiques) ». « Mais à aucun moment, je n’ai cherché à rencontrer de quelque manière que ce soit des médecins pour améliorer mes performances. Je n’ai pas dépensé un franc à l’époque pour en voir ou acheter des produits interdits » a-t-il précisé.
« Est-ce qu'on était dopés ? Moi, je crois que non »
Le cycliste de Mazamet qui a fait partie de l’équipe espagnole Once de 1992 à 2000 a déclaré à propos des administrations de produits par des médecins : « Etait-ce de façon illicite ? Je n'en ai pas la certitude. Je n'ai pas non plus celle que c'était parfaitement légal. (...) On était soignés. Est-ce qu'on était dopés ? Moi je crois que non ». En ce qui concerne son passage dans l’équipe de Bjarne Riis, Team CSC-Tiscali, de 2001 à 2002, Jalabert a révélé que « les médecins étaient présents, mais quelques coureurs avaient leurs habitudes ailleurs ».
L’ancien cycliste a terminé sur une note positive en assurant que la lutte anti-dopage dans le cyclisme était « efficace », contrairement à ce que pense le public. Il est selon lui aujourd’hui possible « de faire le Tour de France clean et avoir des résultats ».
Source:La Dépeche.
« Je sens bien que vous voulez me faire dire que j'étais pas clair » a déclaré Laurent Jalabert devant la Commission, présidée par le sénateur UMP du Doubs, Jean-François Humbert. Alors qu’il est encore en convalescence après sa violente chute à vélo en mars dernier à Montauban, Jalabert a répondu pendant près d’une heure aux questions des sénateurs.
« J’ai couru dans trois équipes. Comme les autres coureurs, j’avais tout un encadrement en qui, moi, j’avais pleine confiance. Que ce soit au niveau du management, de la partie mécanique, ou au niveau médical » a-t-il expliqué.
Laurent Jalabert a toutefois reconnu avoir reçu des infiltrations de corticoïdes (aujourd’hui interdites), mais qui étaient alors « justifiées par des AUT (autorisations à usage thérapeutiques) ». « Mais à aucun moment, je n’ai cherché à rencontrer de quelque manière que ce soit des médecins pour améliorer mes performances. Je n’ai pas dépensé un franc à l’époque pour en voir ou acheter des produits interdits » a-t-il précisé.
« Est-ce qu'on était dopés ? Moi, je crois que non »
Le cycliste de Mazamet qui a fait partie de l’équipe espagnole Once de 1992 à 2000 a déclaré à propos des administrations de produits par des médecins : « Etait-ce de façon illicite ? Je n'en ai pas la certitude. Je n'ai pas non plus celle que c'était parfaitement légal. (...) On était soignés. Est-ce qu'on était dopés ? Moi je crois que non ». En ce qui concerne son passage dans l’équipe de Bjarne Riis, Team CSC-Tiscali, de 2001 à 2002, Jalabert a révélé que « les médecins étaient présents, mais quelques coureurs avaient leurs habitudes ailleurs ».
L’ancien cycliste a terminé sur une note positive en assurant que la lutte anti-dopage dans le cyclisme était « efficace », contrairement à ce que pense le public. Il est selon lui aujourd’hui possible « de faire le Tour de France clean et avoir des résultats ».
Source:La Dépeche.
Ca fait un paquet d'années que je répète que ce type fut l'un des coureurs cyclistes Français les plus dopés qu'il y ait eu,voilà enfin la validation (en partie) de mes propos.
