Elle achète 2600 € de bonbons
Posté : 25 juillet 2013 18:22
On se demande comment les commerçants acceptent ces chéques d'une enfant de 12 ans ?
Une adolescente de 12 ans a acheté pour plus de 2.600 euros de friandises, pour l'essentiel dans une boulangerie de Bordeaux, en utilisant un chéquier volé.
Quelle a dû être la surprise des parents en apprenant ce qu'avait fait leur fille de 12 ans. Après avoir dérobé un chéquier dans une boîte aux lettres, la jeune-fille a acheté pour plus de 2.600 euros de friandises, pour l'essentiel dans une boulangerie de Bordeaux, selon la police.
C'est en mars que cette jeune gourmande avait dérobé le chéquier, dans la boîte aux lettres d'une habitante de Mérignac qui a rapidement fait opposition et porté plainte, indique Sud Ouest dans son édition de jeudi. Avec 23 de ces chèques, elle a acheté des bonbons et des viennoiseries chez un boulanger de sa connaissance et deux autres chèques ont été utilisés dans un établissement de restauration rapide, selon la police.
C'est au moment d'encaisser ces chèques, quelques mois plus tard, que le boulanger a constaté qu'il ne le pouvait pas. Rapidement identifiée par les policiers de la Brigade de la sûreté urbaine de Mérignac, en banlieue de Bordeaux, la mineure a été convoquée et entendue au commissariat. Ses parents devront indemniser le boulanger.
Une adolescente de 12 ans a acheté pour plus de 2.600 euros de friandises, pour l'essentiel dans une boulangerie de Bordeaux, en utilisant un chéquier volé.
Quelle a dû être la surprise des parents en apprenant ce qu'avait fait leur fille de 12 ans. Après avoir dérobé un chéquier dans une boîte aux lettres, la jeune-fille a acheté pour plus de 2.600 euros de friandises, pour l'essentiel dans une boulangerie de Bordeaux, selon la police.
C'est en mars que cette jeune gourmande avait dérobé le chéquier, dans la boîte aux lettres d'une habitante de Mérignac qui a rapidement fait opposition et porté plainte, indique Sud Ouest dans son édition de jeudi. Avec 23 de ces chèques, elle a acheté des bonbons et des viennoiseries chez un boulanger de sa connaissance et deux autres chèques ont été utilisés dans un établissement de restauration rapide, selon la police.
C'est au moment d'encaisser ces chèques, quelques mois plus tard, que le boulanger a constaté qu'il ne le pouvait pas. Rapidement identifiée par les policiers de la Brigade de la sûreté urbaine de Mérignac, en banlieue de Bordeaux, la mineure a été convoquée et entendue au commissariat. Ses parents devront indemniser le boulanger.