Carla Bruni-Sarkozy menace de porter plainte
Posté : 28 juillet 2013 20:05
Une pétition réclame à Carla Bruni-Sarkozy le remboursement de 410.000 euros dépensés par l'État pour le site internet de sa fondation. Mais la chanteuse contre-attaque.
Carla Bruni-Sarkozy, visée par une pétition en ligne exigeant qu'elle reverse de l'argent public dépensé pour réaliser un site internet à son nom du temps où elle était Première dame, a menacé dimanche 28 juillet de porter plainte pour défendre son "honneur".
"Madame Carla Bruni-Sarkozy se réserve de poursuivre tout propos qui porterait atteinte à son honneur dès lors qu'il serait imputé à la fondation qui porte son nom d'avoir bénéficié de financements qui n'ont jamais existé", selon un communiqué de son avocat, Me Richard Malka.
Il affirme que le site au cœur de la controverse, épinglé dans un récent rapport de la Cour des comptes, "a cessé d'exister en mai 2012" et que la fondation caritative qui porte le nom de l'ex-Première dame ne peut donc être suspectée d'avoir bénéficié du "moindre centime" en provenance de la présidence de la République. L'avocat, désireux de "clarifier" les choses, dénonce les "fausses informations" circulant ces jours-ci sur "un prétendu et imaginaire financement du site internet de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy par des fonds publics".
Carla Bruni-Sarkozy, visée par une pétition en ligne exigeant qu'elle reverse de l'argent public dépensé pour réaliser un site internet à son nom du temps où elle était Première dame, a menacé dimanche 28 juillet de porter plainte pour défendre son "honneur".
"Madame Carla Bruni-Sarkozy se réserve de poursuivre tout propos qui porterait atteinte à son honneur dès lors qu'il serait imputé à la fondation qui porte son nom d'avoir bénéficié de financements qui n'ont jamais existé", selon un communiqué de son avocat, Me Richard Malka.
Il affirme que le site au cœur de la controverse, épinglé dans un récent rapport de la Cour des comptes, "a cessé d'exister en mai 2012" et que la fondation caritative qui porte le nom de l'ex-Première dame ne peut donc être suspectée d'avoir bénéficié du "moindre centime" en provenance de la présidence de la République. L'avocat, désireux de "clarifier" les choses, dénonce les "fausses informations" circulant ces jours-ci sur "un prétendu et imaginaire financement du site internet de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy par des fonds publics".