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Le refus de Malte d’accueillir un groupe de 102 migrants clandestins dans la nuit du 5 au 6 août a enclenché un bras de fer avec la Commission européenne et “illustre les failles de la politique communautaire en la matière”, écrit La Libre Belgique. La commissaire européenne aux Affaires Intérieures, Cécilia Malmström, a souligné l’urgence humanitaire de la situation et a signalé que le renvoi des migrants vers la Libye pourrait être contraire au principe de non-refoulement inscrit dans les lois communautaires et internationales.
Le quotidien bruxellois note quant à lui que le gouvernement maltais a campé sur ses positions et estimé être dans son droit. Ce refus n’est pas un cas unique rappelle La Libre, qui dénonce le fait que la gestion des demandes d’asile, théoriquement harmonisée, diffère selon les Etats membres de l’UE. Certains d’entre eux, par ailleurs, “ne cachent même plus leur volonté de ne pas respecter leurs engagements pris dans le cadre de la Convention de Genève” sur les réfugiés.
Avant que Malte n’adhère à l’UE en 2004, le taux d’immigration était négligeable. Sa proximité avec l’Afrique du Nord en a ensuite fait une porte d’entrée pour les migrants qui veulent venir en Europe. Par rapport à sa population, Malte est le territoire qui reçoit le plus de demandes d’asile au monde.

la communauté européenne est amusante qui veux imposer aux états l’accueil de ces clandestins ,j'essaye de me mettre à la place de ce petit pays ,malte c'est à peine plus grand que Monaco,et j'imagine la tête des monégasques avec ce genre d'arrivé dans le port.
Malte dois arriver à saturation ,pour tout dire si j'étais à leur place je réagirais de la même façon.

Il est certain que le débat va être relance au sein de la Commission Européenne et ce pour au moins deux raisons: 1) La vague de refugies qui arrive par milliers sur Malte. 2) La fin du financement de la politique extérieure de l'Europe, en matières d'immigration. En effet, le financement actuel couvre la période 2007-2013. Etant donne qu'il faut renouveler ce financement, les débats risquent d'être agités.

donc en faite la commission veux s'en laver les mains ,transférer le financement aux états concernés,qui sont :<l'Italie ,la France,l'Espagne,Chypre et Malte,les pays méditerranéens,mais en dehors de ça la commission européenne veux obliger les états à les accueillir,ça ne fera pas.
Qui plus est on a de plus en plus de mal à les intégrer,l'argent étant le nerf de la guerre ,et on n'en a plus,et la commission européenne serait bien inspirer de se pencher sur ce problème parce que j'ai bien peur que tout cela se termine très mal.

Les décisions sont toujours prises par des gens qui ne côtoient pas cette population...qui ne la rencontre même pas !

Dans le Nord de l’Europe les choses bougent aussi (Suède,Danemark, Finlande...un peu la Norvège) les populations n'en peuvent plus de recevoir une immigration voulue par les gouvernement successifs , j'ose dire de "gauche", d’où une montée xénophobe de plus en plus importante....

j'ai bien peur qu'on arrive à ce genre d'évènement,ces fonctionnaires européens sont irresponsables.
ce qui me fait peur c'est les enfants qui arrivent avec ou sans les parents ,je ne voudrais pas qu'ils leur arrive du mal.