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L'anniversaire des attentats du 11-Septembre a été marqué aux Etat-Unis par des cérémonies, à New York et Washington notamment. Le président américain Barack Obama a appelé à "trouver la force de faire face aux menaces qui persistent".

Le pays a "toujours mal", assurait ce mercredi Barack Obama, 12 ans après les attentats du 11 septembre 2001,

"Nous prions pour tous ceux qui nous ont été enlevés, près de 3000 âmes innocentes", a déclaré le président américain lors d'une cérémonie au Pentagone, siège des forces armées visé par l'un des quatre avions détournés par des pirates de l'air d'Al-Qaïda.

"Nos coeurs ont toujours mal à cause des avenirs volés, des parents qui auraient connu le bonheur de devenir grands-parents, des pères et des mères qui auraient connu la joie de voir leurs enfants être diplômés, des fils et des filles qui auraient grandi, se seraient peut-être mariés, auraient eu des enfants", a poursuivi le président, qui avait auparavant déposé une couronne de fleurs blanches à proximité du monument honorant les 184 personnes tuées sur place il y a 12 ans.

"Nous resterons vigilants

Barack Obama a aussi appelé à "trouver la force de faire face aux menaces qui persistent, même si elles sont peut-être différentes d'il y a 12 ans". "Tant que certains voudront s'en prendre à nos concitoyens, nous resterons vigilants et défendrons notre pays", a-t-il assuré.

Un peu plus de 12 heures après avoir prononcé un discours solennel sur la Syrie, dans lequel il a accepté de laisser une chance à la diplomatie avant de déclencher d'éventuelles frappes contre le régime de Bachar al-Assad pour le punir d'avoir lancé une attaque meurtrière aux armes chimiques, Barack Obama a aussi appelé à "avoir la sagesse de savoir que si la force est parfois nécessaire, la force à elle seule ne peut pas construire le monde auquel nous aspirons".

Avant d'aller au Pentagone, le président, accompagné de son vice-président Joe Biden et de leurs épouses respectives, avait observé un moment de recueillement sur la pelouse de la Maison Blanche à 08H46 (12H46 GMT), l'heure à laquelle le premier avion détourné s'était écrasé contre l'une des tours jumelles du World Trade Center à New York.

Dans cette ville, les proches des victimes se sont une nouvelle fois rassemblés à Ground Zero. L'ancien maire de la ville Rudolph Giuliani a essuyé une larme alors que la cérémonie de commémoration a débuté, là aussi avec un moment de silence à 08H46.

GEORGES a écrit : Le seul 11-9 que je commémore est celui de 1973 en mémoire des 3780 disparus et des 38.000 torturés Chiliens.
Quand la barbarie US appuyée par la CIA et Henry Kissinger a organisé et soutenu Pinochet dans le coup d'état qui a conduit à l'assassinat de Salvador Allende président socialiste démocratiquement élu au Chili.
C'est ce jour là qu'avant même d'être construites les Tours se sont écroulées.

Quelques Mois plus tard le terroriste Henry Kissinger recevait le prix Nobel de la paix.
C'est comme la légion d'honneur n'importe quel trou du cul peu l'obtenir.

Pour le 11/9 2001 c'est un "Inside Job" mis sur pieds par les nazillons républicains qui ont organisé le coup d'état du 4 Novembre 2000 lors de l'élection de la plus grosse merde élue président des USA, j'ai nommé GWB.

Johan a écrit : Plusieurs personnalités fêtent leur anniversaire le 11 Septembre : Brian de Palma, Moby, Eric Abidal... et Bashar el-Assad. Le destin est parfois taquin.
Il est également intéressant de constater que la date du 11 Septembre n'a peut-être pas été choisie au hasard pour les attentats : C'est le 11 Septembre 1609 que fut découverte l'ile de Manhattan...

Perso, j'pense qu 12 ans après, tout le cirque avec, chaque années les commémoration officielles, le 4 minutes de silence et la liste des victimes lue à haute voie, c'est trop. Qu'on fasse une minute de silence ce jour là et basta...

Patrick_NL a écrit :
On va pas refaire le débat sur le 11 sept. 2001.
GWB fut un président plus que douteux mais comme le souligne le journal polonais, Guantánamo n'est toujours pas ferme, on commet des assassinats politiques sur ordre du seul président Obama et on a pas non plus démantelé les prisons secrètes Offshore. Certains pays européens en ont même abritées.
GWB peut encore être battu dans l'ignominie.

GEORGES a écrit : Je n'ai pas l'intention de refaire le débat.
Mais à propos de GWB il va falloir se lever de bonheur parce que déjà du temps de son grand-père Prescott les alliances avec Adolf dont il fut le banquier laissent à penser que la contamination idéologie était fortement développée.

Patrick_NL a écrit :J'ai comme un doute sur l'évolution positive de l'administration actuelle. Promettre d'effacer les années Bush et garder Guantánamo me parait au moins aussi douteux .

Johan a écrit : La différence entre l'administration Bush et l'administration Obama, on peut la voir en ce moment même : l'administration Obama repousse le vote au congrès afin de donner du temps à une solution diplomatique. Par rapport à la proposition que les russes ont faites et que les syriens ont acceptés, ils veulent davantage mais au moins le dialogue est ouvert. Durant les prémices de la guerre d'Irak l'administration Bush a fermé la porte à toutes les solution diplomatiques qui ont été proposées, ils voulaient la guerre et rien d'autre.
L'administration Obama a de nombreux défauts. Mais au moins, elle est ouverte au dialogue, à la diplomatie. Si Bush était en place, les bombes pleuvraient déjà sur Damas...

GEORGES a écrit : Je n'ai pas l'intention de refaire le débat.
Mais à propos de GWB il va falloir se lever de bonheur parce que déjà du temps de son grand-père Prescott les alliances avec Adolf dont il fut le banquier laissent à penser que la contamination idéologie était fortement développée.

Fonck1 a écrit : creuse encore,son arrière grand père était adjont de napoléon.

Fonck1 a écrit : creuse encore,son arrière grand père était adjont de napoléon.