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Deux tirages photographiques montrant deux socles de pylône de ligne électrique en partie déboulonnés ont été déposés jeudi dans une boîte aux lettres du Dauphiné Libéré à Grenoble, accompagnés d’un tract anonyme dont les cibles sont RTE –Réseau de Transport d’Electricité, filiale d’EDF- et le « lobby nucléaire». Ce courrier, en conclusion duquel les auteurs indiquent qu’ils continueront à déboulonner des pylônes de lignes électriques haute tension, fait référence à une première action menée en août. Le mercredi 7 août en effet, des courriers semblables avaient été adressés à plusieurs préfectures du sud de la France, notamment celles de la Drôme, du Gard et du Vaucluse, ainsi qu’à des rédactions locales. Pour preuve du prélèvement des pièces sur les pylônes, des sachets contenant des boulons provenant de THT (lignes à Très Haute Tension) étaient également parvenues aux autorités. Dans le texte publié par nos confrères de Midi Libre, les auteurs affirmaient que, « parce que leur nucléaire n’est pas plus sûr qu’il n’est transparent, nous déboulonnons et nous déboulonnerons les pylônes THT, par solidarité avec les victimes civiles et militaires de la dictature nucléaire ». Les protestataires menaçaient encore : «La situation risque d’être grave car si l’on peut protéger les centrales nucléaires par des barbelés et des pelotons de CRS, ce n’est pas le cas des pylônes ». A la suite de ce premier épisode, une enquête avait été ouverte par la DIPJ de Marseille et une plainte avait été déposée par RTE.

Prises très au sérieux par les autorités, ces menaces avaient été suivies d’une vérification de ses infrastructures par RTE. Ce vendredi, une représentante de cette société a confirmé au Dauphiné Libéré que des « visites de lignes » avaient été effectuées dans le sud-est, notamment sur les sites sensibles de la Drôme, mais qu’ « aucun déboulonnage n’a été détecté jusqu’à présent». Selon une autre source, les documents photographique reçus par notre journal auraient également été adressés ces dernières heures à la préfecture du Gard.[quote][/quote]

On peut-être contre le nucléaire sans pour autant devenir un irresponsable..

A ce niveau là, cela s'appelle du terrorisme

il y a beaucoup d'extrémistes dans ce pas,et ils sont pas toujours barbus.....

Johan a écrit : A ce niveau là, cela s'appelle du terrorisme

C'est ce que je pense aussi. J'espère que ces gens seront traqués sans relâche.

Leonee a écrit : C'est ce que je pense aussi. J'espère que ces gens seront traqués sans relâche.

Et condamnés sévèrement

Faux pas aller vite en besogne et tant qu'on n'a pas identifier les responsables on ne peut accuser tel ou tel.Cela peut etre de la manipulation de pros nucléaires pour justement amener le discrédit sur ceux qu'ils jugent comme leurs "bourreaux",attention!!!!!!!!!


On se rappellera des fameux terroristes anarco-communistes de Tarnac.....

"Alliot-Marie la chevre".

L'invasion et le saccage de l'Elysée serait plus marquant.

Nous avons eu un tremblement de terre hier à Brest. 3,9 sur l'échelle de Richter. J'ai pensé à un missile de la base militaire nucléaire qui venait de péter. Puis je me suis dit que je serais déjà mort. C'est con le Nucléaire !

Crapulax a écrit : Faux pas aller vite en besogne et tant qu'on n'a pas identifier les responsables on ne peut accuser tel ou tel.Cela peut etre de la manipulation de pros nucléaires pour justement amener le discrédit sur ceux qu'ils jugent comme leurs "bourreaux",attention!!!!!!!!!


On se rappellera des fameux terroristes anarco-communistes de Tarnac.....

"Alliot-Marie la chevre".

D'ailleurs il me semble bien reconnaitre la signature de Nicolas Hulot en rouge sur le pylône...

Johan a écrit : A ce niveau là, cela s'appelle du terrorisme

Qualifié ça de "terrorisme", ce serait leur donner un certain intérêt.. Moi j'vois là, 2 ou 3 cinglés désœuvrés comme il en existe un peu partout, est qui sont bien trop cons pour vraiment devenir des grands terroristes internationaux..

soyons clair, ça, c'est l’œuvre de parfaits abrutis. provoquer des accidents de ce type, outre le fait du risque de blesser ou tuer n'importe qui qui passerai par là au mauvais moment, ne fait que coûter du temps de l'argent et provoquer des désagréments à des gens qui n'ont rien demandé.
en plus, c'est parfaitement contre productif sur la question du soutien apporté au mouvement écologique.

bref, ces gens sont des cons, doublé de crétins. et ça, ça fait un cocktail sacrément merdique.

mordred a écrit :Nous avons eu un tremblement de terre hier à Brest. 3,9 sur l'échelle de Richter. J'ai pensé à un missile de la base militaire nucléaire qui venait de péter. Puis je me suis dit que je serais déjà mort. C'est con le Nucléaire !

J'ai envie de dire que dans ce cas, c'est pas le nucléaire qui est con...

"Aux enfants de la bombe"
Film documentaire de J-P Desbordes et C. Bonnet sur les conséquences des essais nucléaires.

La France a effectué 210 essais nucléaires, atmosphériques et souterrains : en Algérie, à Reggane et In Ekker de 1960 à 1966 ; puis en Polynésie sur les atolls de Moruroa et Fangataufa de 1966 à 1996. La situation demeure extrêmement préoccupante.
L’impact environnemental est sous-estimé : des centaines de tonnes de déchets radioactifs et de matériaux contaminés ont été laissés sur les sites ; du plutonium et d’autres radionucléides ont été dispersés sur des milliers de kilomètres…
L’impact sanitaire est volontairement minimisé : la France a enfin reconnu — en 2010 — que ses essais nucléaires avaient fait des victimes, mais celles-ci voient toujours leurs droits déniés. À ce jour, seules 7 personnes ont pu bénéficier d’une indemnisation sur les dizaines de milliers contaminées !

*Parenthèse en attendant de connaître l'auteur de cette connerie...

la connerie aussi,;ça tue,on devrait la poursuivre en justice.

avrilou a écrit : "Aux enfants de la bombe"
Film documentaire de J-P Desbordes et C. Bonnet sur les conséquences des essais nucléaires.

La France a effectué 210 essais nucléaires, atmosphériques et souterrains : en Algérie, à Reggane et In Ekker de 1960 à 1966 ; puis en Polynésie sur les atolls de Moruroa et Fangataufa de 1966 à 1996. La situation demeure extrêmement préoccupante.
L’impact environnemental est sous-estimé : des centaines de tonnes de déchets radioactifs et de matériaux contaminés ont été laissés sur les sites ; du plutonium et d’autres radionucléides ont été dispersés sur des milliers de kilomètres…
L’impact sanitaire est volontairement minimisé : la France a enfin reconnu — en 2010 — que ses essais nucléaires avaient fait des victimes, mais celles-ci voient toujours leurs droits déniés. À ce jour, seules 7 personnes ont pu bénéficier d’une indemnisation sur les dizaines de milliers contaminées !

*Parenthèse en attendant de connaître l'auteur de cette connerie...

D'accord avec toi Avrilou ..mais là tu parles des essais nucléaires...la bombe quoi . Ce n'est le nucléaire "domestique"