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Huit enseignants de l'école primaire de Petite-Rosselle, près de Forbach, se sont mis en arrêt maladie mardi. En cause : un groupe d'écoliers de CM1 - CM2 qu'ils jugent ingérables et violents.

Des terreurs en culottes courtes. Huit enseignants de l'école primaire Cocteau à Petite Rosselle (Moselle) se sont mis mardi en arrêt maladie, invoquant un "choc psychologique". En cause: un groupe d'écoliers de CM1-CM2 qui sème la terreur dans l'établissement. Selon eux, ils frappent leurs camarades, insultent et crachent sur leurs professeurs. Et les punitions à répétition ne semblent rien y faire.

Selon Europe 1, les professeurs auraient même été pris à parti par les parents de ces élèves turbulents. Certains auraient été jusqu'à s'introduire dans la salle de classe pour invectiver les professeurs.

L'inspection d'académie, qui avait été saisie du dossier, a condamné l'initiative des professeurs. Pour l'inspecteur de l'académie, cité dans le Républicain Lorrain, "l'attitude des enseignants n'est pas acceptable parce que cette relation de travail était en cours et l'école était tout à fait informée des avancées sur ce dossier". L'école scolarise 12 enfants placés en foyer éducatif. Deux d'entre eux seront extraits de l'établissement prochainement.

Steph a écrit : 1 : ce sont les parents qu'il faut sanctionner, de quelle manière, j'en sais rien.
2 : les enseignants doivent avoir toute l'autorité au sein de l'établissement, il est temps que l'école reprenne sa place et prenne le dessus sur certain parents laxistes, ou bourgeois autoritaires.
Méthode des années 50 et uniforme à l'école serait bien venu.

tisiphoné a écrit : faudrait aussi que les rectorats arrêtent de faire l'autruche, pour eux, pas de vagues :roll:

Steph a écrit : 1 : ce sont les parents qu'il faut sanctionner, de quelle manière, j'en sais rien.
2 : les enseignants doivent avoir toute l'autorité au sein de l'établissement, il est temps que l'école reprenne sa place et prenne le dessus sur certain parents laxistes, ou bourgeois autoritaires.
Méthode des années 50 et uniforme à l'école serait bien venu.

tisiphoné a écrit : faudrait aussi que les rectorats arrêtent de faire l'autruche, pour eux, pas de vagues :roll:

Johan a écrit : Faut taper dans le porte-monnaie : Enfants trop turbulents = réduction de moitié de alloc'. Et si ya pas de progrès au trimestre suivant, suppression pure et simple.

tisiphoné a écrit :

Ca me fait beaucoup penser à cette caricature, m'enfin pas sur que s'en soit une.

Johan a écrit : Faut taper dans le porte-monnaie : Enfants trop turbulents = réduction de moitié de alloc'. Et si ya pas de progrès au trimestre suivant, suppression pure et simple.
Idem pour les chefs d'établissements (surtout dans le secondaire) qui se rangent quasiment toujours du coté des parents.

tisiphoné a écrit :

Fonck1 a écrit :parents et enfants....beau programme.
et si on les virait de l'école?

Steph a écrit :1 : ce sont les parents qu'il faut sanctionner, de quelle manière, j'en sais rien.
2 : les enseignants doivent avoir toute l'autorité au sein de l'établissement, il est temps que l'école reprenne sa place et prenne le dessus sur certain parents laxistes, ou bourgeois autoritaires.
Méthode des années 50 et uniforme à l'école serait bien venu.

Crapulax a écrit : En quoi le fait de supprimer les allocs rendra les gamins plus "dociles" et calmes? C'est d'eux qu'il faut s'occuper et de rien d'autres or si les parents n'en sont pas capables,il devrait y avoir des solutions à proposer.

Aurélie a écrit : La violence juvénile prend de plus en plus d'ampleur, et quand les enseignants font valoir leurs droits, c'est eux qui se font sanctionner; c'est juste le monde à l'envers! Soit les enfants évoluent dans un milieu violent, genre le père frappe la mère, soit ils sont livrés à eux même.Supprimer une partie des allocations familiales ne touchera que les foyers bénéficiant de ce système, mais que faire pour les autres? La plupart du temps les parents répondront qu'il doit y avoir un malentendu parce que leur progéniture est un vrai petit ange à la maison, ou alors c'est aussi une terreur envers ses parents, mais ils auront honte de l'avouer.
Je ne suis pas pour le retour des sévices corporelles à l'école, mais quand on voit que cette génération veut supprimer la fessée au motif que c'est humiliant pour l'enfant, moi je réponds que c'est le but!!
L'éducation nationale fait l'autruche, mais sortira-t-elle la tête du sable quand un enseignant se fera poignarder par un gamin de dix ans? Ces enfants violents à l'école primaire, faut-il les faire passer en classe supérieure?
Il serait peut être bon d'appliquer ce que font certains pays, et d'envoyer les mineurs en camp militarisé. Un peu d'encadrement ne leur ferait pas de mal, et il y apprendrait enfin le respect d'autrui.

Johan a écrit : Aucun gouvernement n'osera jamais toucher aux alloc', s'ils essaient de mettre en place un truc du genre, c'est grève à l'EN pendant des mois !