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Boire trop d'alcool à l'âge adulte rend gâteux plus rapidement

Par LEXPRESS.fr, publié le 17/01/2014 à 13:57

Selon une étude publiée mercredi par la revue spécialisée Neurology, les hommes qui boivent régulièrement trop d'alcool à l'âge adulte s'exposent à un déclin accéléré de la mémoire et de leurs fonctions cognitives en général.
Il aura fallu 10 ans pour que soit publiée cette étude. Et le constat est sans appel. Les trop gros consommateurs d'alcool risquent des pertes de leur capacités mémorielles, d'attention et de concentration plus rapide.

Ce risque concerne des hommes buvant plus de 36 grammes (environ 3,5 verres) d'alcool par jour, selon l'étude épidémiologique conduite par des chercheurs de l'Inserm et l'University College London (Royaume-Uni). Les 5.054 hommes et 2.099 femmes ont été interrogés à 3 reprises sur une période de 10 ans sur leur consommation habituelle d'alcool (vin, bière, spiritueux, etc.). Les premiers tests ont eu lieu lorsque ils étaient âgés en moyenne de 56 ans. Ces tests ont ensuite été répétés à deux reprises à cinq et dix ans d'intervalle.

Les résultats, parus dans la revue Neurology, suggèrent qu'une forte consommation d'alcool en milieu de vie (40 à 60 ans) pourrait entraîner un déclin cognitif plus rapide au cours de la vieillesse.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societ ... 4luY4SF.99

Que l'alcool bousille le cerveaux à un certain âge, y'avait peut-être besoin d'une telle étude pour le savoir..

Les trop gros consommateurs d'alcool risquent des pertes de leur capacités mémorielles, d'attention et de concentration plus rapide.

En clair, Ce lui qui boit un verre de vin à chaque repas n'est pas concerné. Par contre, celui qui finit chaque samedi soir accroupis au pied de la cuvette des chiottes lui il est concerné.
Franchement on avait pas besoin d'une étude scientifique pour savoir qu'un consommation quotidienne mais modérée d'alcool est moins dangereuse qu'une consommation régulière mais excessive.

Johan a écrit : En clair, Ce lui qui boit un verre de vin à chaque repas n'est pas concerné. Par contre, celui qui finit chaque samedi soir accroupis au pied de la cuvette des chiottes lui il est concerné.
Franchement on avait pas besoin d'une étude scientifique pour savoir qu'un consommation quotidienne mais modérée d'alcool est moins dangereuse qu'une consommation régulière mais excessive.

Ouai, mais t'en a qui boivent plusieurs verre de vin à chaque repas, non sans avoir pris un petit apéro avant de se mettre à table.. Ceux-là, ils sont capable de jurer qu'ils ne sont pas alcooliques..

Lion blanc a écrit : Ouai, mais t'en a qui boivent plusieurs verre de vin à chaque repas, non sans avoir pris un petit apéro avant de se mettre à table.. Ceux-là, ils sont capable de jurer qu'ils ne sont pas alcooliques..

Exact!

Mais ce risque concerne des hommes buvant plus de 36 grammes (environ 3,5 verres d'alcool par jour)...

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societ ... YA4Y2GZ.99

Lion blanc a écrit : Que l'alcool bousille le cerveaux à un certain âge, y'avait peut-être besoin d'une telle étude pour le savoir..

de toute manière,il est assez cohérent de dire que de toute manière,ça va pas en s'améliorant
enfin yen a qui ont besoin de le lire pour s'en rendre compte :roll:

Lion blanc a écrit : Ouai, mais t'en a qui boivent plusieurs verre de vin à chaque repas, non sans avoir pris un petit apéro avant de se mettre à table.. Ceux-là, ils sont capable de jurer qu'ils ne sont pas alcooliques..

quelle est le jugement de valeur pour savoir si on est pas alcoolique?

avrilou a écrit : Exact!

Mais ce risque concerne des hommes buvant plus de 36 grammes (environ 3,5 verres d'alcool par jour)...

c'est la norme pour une espèce non normalisée?

j'adoreeeee c'est stats à deux balles.
le pire,c'est qu'on paye des gens pour faire ça.

Johan a écrit : En clair, Ce lui qui boit un verre de vin à chaque repas n'est pas concerné. Par contre, celui qui finit chaque samedi soir accroupis au pied de la cuvette des chiottes lui il est concerné.
Franchement on avait pas besoin d'une étude scientifique pour savoir qu'un consommation quotidienne mais modérée d'alcool est moins dangereuse qu'une consommation régulière mais excessive.

ton postulat de départ est faux, n'est pas alcoolique quelqu'un qui va se murger le weekend, de plus si il dégobille après
en revanche, plus insidieux celui qui chaque jour à chaque repas boit deux ou trois verres d'alcool.

tisiphoné a écrit : ton postulat de départ est faux, n'est pas alcoolique quelqu'un qui va se murger le weekend, de plus si il dégobille après
en revanche, plus insidieux celui qui chaque jour à chaque repas boit deux ou trois verres d'alcool.

je dirais même un peu plus que ça.
c'est complètement débile ces études,ça ne prends pas en compte la morphologie,l'endurance des gens.
ya des gens complètement pétés avec un verre de champagne,et d'autres pour qui une demi bouteille de vin ne fait rien du tout.
c'est comme l’alcootest qui ne prends pas en compte la masse corporelle des gens.

c'est une étude américaine,vous savez,le fameux" pays qui serait développé , ok, mais évolué... c'est pas sûr!" comme disait l'autre....

Ma grand mère paternelle buvait un verre de vin à chaque repas,elle est décédée a 93 ans.
allez "on s'bourre la guelle disait-elle" à chaque repas en rigolant.
mon grand père maternel buvait du vin à chaque repas,et faisait l'apéro au ricard (en toute modération),jusqu'à ses derniers repas de famille,et est décédé à 92 ans.
Sa femme est toujours en vie,elle attaque sa 92 ème année.Elle bois un peu moins de vin,mais en boit quand même.
Ils ont ou avaient tous toute leur tête.

Vous m'excuserez de ne pas croire ces chercheurs qui s'emmerdent,je vais essayer de faire avec mon patrimoine génétique,comme l'ont fait mes ancêtres ou anciens,et continuer de faire perdurer ce qui a été,et va continuer.

alors les... vous voyez ce que je veux dire....

Jeanne Calment buvait son petit verre de Porto chaque jour.

L'alcoolique vit un enfer.

A part le lobby de l'alcool qui défend bien sûr ses intérêts, les consommateurs les plus tolérants avec cette drogue dangereuse, sont souvent les plus alcooliques!

Le déni et la co-dépendance

La consommation excessive d’alcool et l’alcoolisme, ne sont pas des sujets neutres à aborder, ils nous renvoient à nos propres représentations par rapport à l’alcool.
Chacun d’entre nous connaît , dans sa famille, son entourage, une personne ayant un problème grave lié à l’alcool dont il n’est pas fier. Alors forcément, quand cela nous touche nous aussi, nous avons tendance à nier ce problème.
Je ne bois pas plus que les autres, mes copains, mon beau frère, jamais le matin, le week-end seulement, parfois la semaine mais rarement …
Le déni, est un mécanisme de défense finalement assez ordinaire et compréhensible. Loin de toute volonté de mensonges, notre propre discours se trouve parfois soumis à des déformations singulières.
La société très tolérante et ne voulant pas reconnaître ce problème, l’alcoolisme, ne favorise pas l’acceptation d’une maladie « honteuse » et très difficile à soigner, il est donc plus facile pour tous, le malade comme l’entourage de faire comme si de rien n’était.
De plus la culture française entretient le déni sur les dangers de l’alcool, qui est pourtant une drogue. L’alcool et notamment le vin sont valorisés, il suffit d’en consommer raisonnablement.
Le consommateur excessif n’a alors qu’une chose à faire : minimiser sa consommation pour rentrer dans le rang, se considérer et être considéré comme quelqu’un de normal.
On explique souvent le déni par les sentiments de honte, et culpabilité, que pourrait ressentir le malade.
Se reconnaître alcoolique mènerait la personne à croire et à avouer aux autres ce que lui-même pense des alcooliques : ce sont des êtres méprisables, monstrueux, dégoûtants. Ainsi en exigeant de l’individu qu’il reconnaisse son alcoolisme, on ne lui demande rien de moins que de s’avouer en dessous de tout.
Souvent, même le médecin de famille ferme les yeux et ne répond pas aux timides questions de la personne dépendante qui s’interroge sur sa consommation en hausse, l’enfermant dans un mensonge qui au fond arrange tout le monde.

Combien d’entre nous sont repartis de chez leur médecin en n’ayant pas pu aborder le problème qui commence à nous préoccuper : notre consommation excessive, oh non pas vous ..

Fonck1 a écrit : quelle est le jugement de valeur pour savoir si on est pas alcoolique?

Et bin déjà ne pas pouvoir s'en passer, même d'un sacro-saint verre de vin à table, qu'on prétends très bon pour le cœur, mais qui n'arrange surement pas le taux de cholestérol si c'est associé avec des nourritures déjà riches..Mais pour parler de dépendance, un seul verre à table est parfaitement dans la norme, à condition de s'y tenir..

Lion blanc a écrit : Et bin déjà ne pas pouvoir s'en passer, même d'un sacro-saint verre de vin à table, qu'on prétends très bon pour le cœur, mais qui n'arrange surement pas le taux de cholestérol si c'est associé avec des nourritures déjà riches..Mais pour parler de dépendance, un seul verre à table est parfaitement dans la norme, à condition de s'y tenir..

c'est exactement ce que je pense.
au delà des études,son propre avis reste le meilleur.