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cette après midi manuel vals dois dans son discours annoncer une partie des économies que nous devrons réaliser pour arriver aux 60 milliards dont nous avons besoin.
il se murmure dans le microcosme parisien(source bfm tv)que 25 milliards devront être trouvé sur la sécurité sociale:
10 milliards dans les collectivités territoriales ce qui fait 35 milliards il en manque 25.

on pourrait en plus mettre en vente La sncf.air France. Renault. et vite revendre également Peugeot, vous y rajouter EDF.
Ensuite diminuer d'environ 400000les fonctionnaires d’État,et en profiter pour repasser au 40h dans la fonction publique.

Pas besoin de chercher bien loin où Valls va trouver ce pognon. Hollande va ressortir son Manuel du parfait petit taxeur et va lui dire d'aller le chercher dans la poche des contribuables. Quitte à tondre les moutons, il faut le faire correctement.

Supprimer toutes les subventions.

Lagaffeliere a écrit : Pas besoin de chercher bien loin où Valls va trouver ce pognon. Hollande va ressortir son Manuel du parfait petit taxeur et va lui dire d'aller le chercher dans la poche des contribuables. Quitte à tondre les moutons, il faut le faire correctement.

Je n'y crois pas ce serait pas productif,on l'a bien vu avec l’impôt sur les sociétés il y eu une baisse des rentrées fiscales.

Mister Polark a écrit : Supprimer toutes les subventions.

c'est clair !
les subventions qui servent à rien surtout,type CRAN ou MRAP.....

Fonck1 a écrit : c'est clair !
les subventions qui servent à rien surtout,type CRAN ou MRAP.....

supprimer toutes les niches fiscales!
en république on paye l'impôt à la hauteur qu'il est voté par le peuple (à travers ses représentants: nos députés)!

point barre!
(et on n'hésite pas à combattre l'optimisation fiscales!
et on n'hésite pas à pourchasser les fraudeurs fiscaux!)

du pognon, y'en a, il faut juste aller le chercher ou il est!

PascalL a écrit : supprimer toutes les niches fiscales!
en république on paye l'impôt à la hauteur qu'il est voté par le peuple (à travers ses représentants: nos députés)!

point barre!

Et pourquoi pas faire les 2 ?

PascalL a écrit : supprimer toutes les niches fiscales!
en république on paye l'impôt à la hauteur qu'il est voté par le peuple (à travers ses représentants: nos députés)!

point barre!
(et on n'hésite pas à combattre l'optimisation fiscales!
et on n'hésite pas à pourchasser les fraudeurs fiscaux!)

du pognon, y'en a, il faut juste aller le chercher ou il est!

certaines niches fiscales ont un intérêt d'investissement.

tiens,par exemple,la presse écrite,ya une niche fiscale certaine,mais comme l'état s'en sert....

Fonck1 a écrit :
certaines niches fiscales ont un intérêt d'investissement.

Pas moins que certaines subventions aux associations "d'intérêt public" (Restos du coeur, croix rouge, associations d'aide à l'insertion...)

sacamalix a écrit : Et pourquoi pas faire les 2 ?

ok avec ça!
le pognon y'en a pas beaucoup il en faut pour les projets d'avenir.
tout ce qui est non-productif doit serrer la ceinture (et les vieux en premier! c'est pas avec eux et le passif qu'ils nous laissent qu'on va créer un monde meilleurs!)

PascalL a écrit : ok avec ça!
le pognon y'en a pas beaucoup il en faut pour les projets d'avenir.
tout ce qui est non-productif doit serrer la ceinture (et les vieux en premier! c'est pas avec eux et le passif qu'ils nous laissent qu'on va créer un monde meilleurs!)

Voila le génocidaire des vieux de retour supprimons les vieux tel est son antienne

Et pourquoi faut-il trouver 60 milliards immédiatement ? Pour satisfaire Bruxelle ?
La relance de l'économie par la consommation induirait automatiquement une hausse des rentrées fiscales.
Nous pouvons décider nous-même du rythme auquel nous voulons réduire notre déficit.
Une baisse des impôts ( directs et sur les sociétés ) a également une influence immédiate sur la masse des montants collectés.
Desserrez les entraves de la société, libérez les initiatives, encouragez les investissements et notre pays redémarrera plus vite qu'il n'est tombé en panne.

sosthene a écrit : Voila le génocidaire des vieux de retour supprimons les vieux tel est son antienne

ne te' sens pas viser tous le temps, je parle des vieux 'en général' ceux qui servent à rien, les semi-liquide qui n'attendent qu'une chose: casser leur pipe!
ne me dis pas qu'un grand gaillard comme toi se place d'office dans les non-productifs du pays, les parasites, les boulets qu'on doit trainer et qui coute de plus en plus chère

Harry a écrit : Et pourquoi faut-il trouver 60 milliards immédiatement ? Pour satisfaire Bruxelle ?

Bruxelles OUI, mais gratons un peu...
Bruxelles c'est qui? Des intérêts financiers qui de près ou de loin on investis dans notre dettes et qui pour la stabilité du système ne peuvent consentir à des réajustements. Ce bric à brac libéral mondialisé est une sorte de château de carte géant... le premier qui glisse entraine tout le bordel avec lui...

La relance de l'économie par la consommation induirait automatiquement une hausse des rentrées fiscales.
Nous pouvons décider nous-même du rythme auquel nous voulons réduire notre déficit.

Preuve est faite que non, puisque les agence de notation définissent nos taux d'emprunt à leur sauce. Qui bouge le petit doigt, se retrouve flinguer sur les marché et ruiné (sur le papier)

Une baisse des impôts ( directs et sur les sociétés ) a également une influence immédiate sur la masse des montants collectés.
Desserrez les entraves de la société, libérez les initiatives, encouragez les investissements et notre pays redémarrera plus vite qu'il n'est tombé en panne.

Une baisse d'impôt n'a pas de sens dans un pays en constante augmentation et qui a besoin de tout pour une population qui se renouvelle et s'agrandit. Il faut donc demander des efforts à ceux qui peuvent et aider ceux qui ont besoin. (chacun définira, selon sont orientation politique qui mettre dans chaque case!)

Il n'y qu'un seul salut durable plutôt que les mesurettes que vous proposez (supprimer telle "niche", telle subvention, etc...).

Redéfinir le rôle de la puissance publique. Voir ce qui ne peut relever que d'elle et laisser le reste aux acteurs économiques qui s'en occupent au moins aussi bien.