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Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 05:42
par Crapulax
Zombies est le premier mot qui vient à l’esprit pour les décrire. Eux, ce sont les fumeurs de crack, cette drogue du pauvre aux effets dévastateurs sur la santé, qui errent dans certaines stations du métro parisien, principalement dans le nord de la capitale. La présence et le nombre de ces toxicomanes, parmi les plus marginalisés et les plus abîmés, fluctue depuis environ trois ans.

L’hiver aidant, les rassemblements de ces drogués sont redevenus plus visibles, plus menaçants. Leur nombre s’est accru, avec son corollaire de méfiance et de peur chez les usagers. Au point que, parfois, des conducteurs de rame ne marquent pas l’arrêt si les quais sont envahis par les fumeurs de crack… Les syndicats CGT et Sud de la RATP ont même lancé un appel à la grève sur la ligne 12 pour ce vendredi, jour où une table ronde doit réunir la préfecture de police de Paris, la région Ile-de-France, la Régie et ses syndicats.

Une «préoccupation constante» de la préfecture de police:

Quelle réponse donner à ces attroupements de toxicomanes qui consomment ou dealent leur crack au vu et au su des voyageurs ? C’est une « préoccupation constante », soutient la préfecture de police, particulièrement sur les lignes 4 et 12. Les effectifs en civil et en tenue de la brigade des réseaux franciliens (BFR) ciblent avant tout les vendeurs. Leur action, combinée à celle du groupe de protection et de sécurisation des réseaux de la RATP (GPSR), a permis, de la mi-janvier 2016 à la mi-décembre 2017, « de traiter plus de 400 affaires liées à ce trafic de stupéfiants, avec l’interpellation de 283 vendeurs et 406 consommateurs ». Pourtant, le phénomène perdure. Il va être pris en compte dans le plan stup 2018 destiné à mieux lutter contre les réseaux, annonce la préfecture.

La RATP organise des maraudes:

En première ligne aussi, la RATP. « C’est un problème pour notre personnel et, bien sûr, pour nos voyageurs. Nous sommes extrêmement mobilisés », affirme sa présidente, Catherine Guillouard. Afin de limiter le phénomène, l’opérateur mise d’abord sur les 1 000 agents du GPSR. « Le personnel en gare peut déjà inviter ces personnes à quitter les lieux ou signaler leur présence au GPSR, qui se déplace systématiquement, détaille Stéphane Gouaud. Si une infraction est constatée — dégradation, usage de stupéfiants — on appelle la police. »

Depuis peu, à l’image de ce qu’elle fait pour les SDF avec le recueil social, la RATP organise des maraudes : « Des groupes constitués de nos agents et de membres de quatre associations spécialisées — Aurore, Charonne, Nova Donna et Gaïa — vont à la rencontre de ces toxicomanes quatre fois par semaine, poursuit Stéphane Gouaud. Ils peuvent leur proposer une prise en charge médico-sociale. » Ce volet sanitaire est salué par la CGT.

Il faut les enquiquiner:

« La politique répressive a montré ses limites. Ces maraudes sont une très bonne chose pour tenter d’aider ces personnes en rupture sociale, familiale, éducative et de soins », relève le syndicat en rappelant que, « faute de formation », les agents confrontés aux fumeurs de crack se retrouvent dans une « position très difficile ».

Pour l’Unsa, syndicat majoritaire, la solution réside dans la présence humaine. « Il faut les enquiquiner, de façon à ce qu’ils n’aient plus envie de rester sur les quais », estime Jean-Marc Judith, représentant syndical.


Source:Le Parisien.

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 08:02
par mic43121
Crapulax a écrit : Zombies est le premier mot qui vient à l’esprit pour les décrire. Eux, ce sont les fumeurs de crack, cette drogue du pauvre aux effets dévastateurs sur la santé, qui errent dans certaines stations du métro parisien, principalement dans le nord de la capitale. La présence et le nombre de ces toxicomanes, parmi les plus marginalisés et les plus abîmés, fluctue depuis environ trois ans.

L’hiver aidant, les rassemblements de ces drogués sont redevenus plus visibles, plus menaçants. Leur nombre s’est accru, avec son corollaire de méfiance et de peur chez les usagers. Au point que, parfois, des conducteurs de rame ne marquent pas l’arrêt si les quais sont envahis par les fumeurs de crack… Les syndicats CGT et Sud de la RATP ont même lancé un appel à la grève sur la ligne 12 pour ce vendredi, jour où une table ronde doit réunir la préfecture de police de Paris, la région Ile-de-France, la Régie et ses syndicats.

Une «préoccupation constante» de la préfecture de police:

Quelle réponse donner à ces attroupements de toxicomanes qui consomment ou dealent leur crack au vu et au su des voyageurs ? C’est une « préoccupation constante », soutient la préfecture de police, particulièrement sur les lignes 4 et 12. Les effectifs en civil et en tenue de la brigade des réseaux franciliens (BFR) ciblent avant tout les vendeurs. Leur action, combinée à celle du groupe de protection et de sécurisation des réseaux de la RATP (GPSR), a permis, de la mi-janvier 2016 à la mi-décembre 2017, « de traiter plus de 400 affaires liées à ce trafic de stupéfiants, avec l’interpellation de 283 vendeurs et 406 consommateurs ». Pourtant, le phénomène perdure. Il va être pris en compte dans le plan stup 2018 destiné à mieux lutter contre les réseaux, annonce la préfecture.

La RATP organise des maraudes:

En première ligne aussi, la RATP. « C’est un problème pour notre personnel et, bien sûr, pour nos voyageurs. Nous sommes extrêmement mobilisés », affirme sa présidente, Catherine Guillouard. Afin de limiter le phénomène, l’opérateur mise d’abord sur les 1 000 agents du GPSR. « Le personnel en gare peut déjà inviter ces personnes à quitter les lieux ou signaler leur présence au GPSR, qui se déplace systématiquement, détaille Stéphane Gouaud. Si une infraction est constatée — dégradation, usage de stupéfiants — on appelle la police. »

Depuis peu, à l’image de ce qu’elle fait pour les SDF avec le recueil social, la RATP organise des maraudes : « Des groupes constitués de nos agents et de membres de quatre associations spécialisées — Aurore, Charonne, Nova Donna et Gaïa — vont à la rencontre de ces toxicomanes quatre fois par semaine, poursuit Stéphane Gouaud. Ils peuvent leur proposer une prise en charge médico-sociale. » Ce volet sanitaire est salué par la CGT.

Il faut les enquiquiner:

« La politique répressive a montré ses limites. Ces maraudes sont une très bonne chose pour tenter d’aider ces personnes en rupture sociale, familiale, éducative et de soins », relève le syndicat en rappelant que, « faute de formation », les agents confrontés aux fumeurs de crack se retrouvent dans une « position très difficile ».

Pour l’Unsa, syndicat majoritaire, la solution réside dans la présence humaine. « Il faut les enquiquiner, de façon à ce qu’ils n’aient plus envie de rester sur les quais », estime Jean-Marc Judith, représentant syndical.


Source:Le Parisien.


Quand je penses que certains sont pour le cannabis en vente libre …
Moi qui ne vit pas à Paris ni dans une grande ville , je ne vois rien de tout ce trafic….
Mes petites filles me disent que ça circule à l'Iut et à la Fac..
Hé oui à 76 ans je ne connais pas l'odeur d'un joint..
Le boulot..et mes loisirs (les roses ..et le sport)..m'ont tenus éloigné de cette merde..
Et quand j'étais plus jeune, ce n'était pas d'actualité ..sinon dans "French connection" au cinéma..
::d

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 08:13
par le chimple
Dans certains halls d'immeuble à Marseille , le parcours du guichet de distribution est fléché ainsi que le prix ... :mdr3:
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 53727.html
Trafic devenu légal !
Ceux là , on peut dire que les prisons insalubres leur font très peur .... :mdr3: :mdr3:

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 09:30
par Anne32
Oui, j'ai entendu cette information ce matin sur France info
Un conducteur de rame, disait qu'il avait du sauter un arrêt pour protéger les usagers qui devaient y descendre
Quelle va être la réaction de notre bien aimé gouvernement?
Macron va t'il encore se dédire, lui qui lorsqu'il etait candidat affirmait qu'il n'etait pas question de légalisation des drogues dites douces?
Il serait temps de se pencher sur ce problème qui prend de l'ampleur, si les facs sont contaminées elles aussi , il y a du souci en perspective

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 09:37
par voileux
Anne32 a écrit : Oui, j'ai entendu cette information ce matin sur France info
Un conducteur de rame, disait qu'il avait du sauter un arrêt pour protéger les usagers qui devaient y descendre
Quelle va être la réaction de notre bien aimé gouvernement?
Macron va t'il encore se dédire, lui qui lorsqu'il etait candidat affirmait qu'il n'etait pas question de légalisation des drogues dites douces?
Il serait temps de se pencher sur ce problème qui prend de l'ampleur, si les facs sont contaminées elles aussi , il y a du souci en perspective
Les facs contaminées ,je n'ose y croire , je fumais des joints en 1968, cela ne me parait pas récent, mais cela m'a passé car tout passe et tout lasse

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 09:48
par Anne32
voileux a écrit :
Anne32 a écrit : Oui, j'ai entendu cette information ce matin sur France info
Un conducteur de rame, disait qu'il avait du sauter un arrêt pour protéger les usagers qui devaient y descendre
Quelle va être la réaction de notre bien aimé gouvernement?
Macron va t'il encore se dédire, lui qui lorsqu'il etait candidat affirmait qu'il n'etait pas question de légalisation des drogues dites douces?
Il serait temps de se pencher sur ce problème qui prend de l'ampleur, si les facs sont contaminées elles aussi , il y a du souci en perspective
Les facs contaminées ,je n'ose y croire , je fumais des joints en 1968, cela ne me parait pas récent, mais cela m'a passé car tout passe et tout lasse
Je suis comme vous, j'ose espérer me tromper.Ce qu'il faudrait par contre c'est empêcher que ces substances contaminent à haute dose les étudiants.
Qu'on s'amuse à fumer un joint pour faire comme les copains et ne pas se dégonfler, est une chose, encore que.....si on a un esprit faible, c'est le début de l'engrenage.
On subit déjà tous les ravages que procure l'alcool, évitons à tout prix un autre danger.

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 10:39
par Victor
Crapulax a écrit :
Pour l’Unsa, syndicat majoritaire, la solution réside dans la présence humaine. « Il faut les enquiquiner, de façon à ce qu’ils n’aient plus envie de rester sur les quais », estime Jean-Marc Judith, représentant syndical.
MDR ! Comme si "enquiquiner" un drogué au crack, drogue qui rend hyper dépendant aller avoir un quelconque effet !
Il faut "rafler" ces drogués et les envoyer dans une sorte d'asile où on leur donnera des produits de substitution.
Au final, cela coûtera moins cher à la société que tous les méfaits et délits qu'ils sont quasiment obligés de commettre pour se procurer leur drogue.

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 10:45
par Anne32
Victor a écrit :
Crapulax a écrit :
Pour l’Unsa, syndicat majoritaire, la solution réside dans la présence humaine. « Il faut les enquiquiner, de façon à ce qu’ils n’aient plus envie de rester sur les quais », estime Jean-Marc Judith, représentant syndical.
MDR ! Comme si "enquiquiner" un drogué au crack, drogue qui rend hyper dépendant aller avoir un quelconque effet !
Il faut "rafler" ces drogués et les envoyer dans une sorte d'asile où on leur donnera des produits de substitution.
Au final, cela coûtera moins cher à la société que tous les méfaits et délits qu'ils sont quasiment obligés de commettre pour se procurer leur drogue.
Il faut plutôt remonter à la source, attaquer les dealers, leur faire passer l'envie de distribuer ces drogues, définitivement....
Je n'ose pas dire le fond de ma pensée, ce que j'aimerais leur faire, vous seriez horrifiés.....

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 10:45
par voileux
Anne32 a écrit :
voileux a écrit :

Les facs contaminées ,je n'ose y croire , je fumais des joints en 1968, cela ne me parait pas récent, mais cela m'a passé car tout passe et tout lasse
Je suis comme vous, j'ose espérer me tromper.Ce qu'il faudrait par contre c'est empêcher que ces substances contaminent à haute dose les étudiants.
Qu'on s'amuse à fumer un joint pour faire comme les copains et ne pas se dégonfler, est une chose, encore que.....si on a un esprit faible, c'est le début de l'engrenage.
On subit déjà tous les ravages que procure l'alcool, évitons à tout prix un autre danger.
J'ai été confronté à la violence due aux excès de joints par un proche, je ne peux que vous donner raison...
Des produits de substitution au crack, pourquoi pas , mais exclusivement lors d'une hospitalisation, quand on sait comment les détenus accrocs réagissent avec la bétadone, avalant 10 cachets d'un coup...

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 10:50
par Anne32
voileux a écrit :
Anne32 a écrit :

Je suis comme vous, j'ose espérer me tromper.Ce qu'il faudrait par contre c'est empêcher que ces substances contaminent à haute dose les étudiants.
Qu'on s'amuse à fumer un joint pour faire comme les copains et ne pas se dégonfler, est une chose, encore que.....si on a un esprit faible, c'est le début de l'engrenage.
On subit déjà tous les ravages que procure l'alcool, évitons à tout prix un autre danger.
J'ai été confronté à la violence due aux excès de joints par un proche, je ne peux que vous donner raison...
Des produits de substitution au crack, pourquoi pas , mais exclusivement lors d'une hospitalisation, quand on sait comment les détenus accrocs réagissent avec la bétadone, avalant 10 cachets d'un coup...
Je n'en veux pas tellement aux drogués, mais plutôt à ces donneurs de mort que sont les dealers
Comme je l'ai écrit plus haut, je ne peux vous dire ce que j'aimerais leur faire pour leur faire passer le goût du pain....définitivement....
Pas besoin de produits de substitution, le jour où ces salauds comprendront que leur trafic devient très très dangereux pour eux, la source se tarira d'elle même

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 11:54
par Georges61
Jamais le trafic de drogue sera endigué, il y a bien trop d'argent en jeu, et ce trafic ne peux durer que parce qu'il bénéficie de soutiens et d'appuis bien placé. Il y aura toujours des clients, et ils seront de plus en plus nombreux. Le fait que le cannabis soit en vente libre ou non, ne changera rien. La seul différence sera que l'état pourra récupérer l'argent que les trafiquants se mettent dans la poche et cela donnera beaucoup plus de temps aux policiers pour combattre la grande criminalité.

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 12:32
par Anne32
Georges61 a écrit : Jamais le trafic de drogue sera endigué, il y a bien trop d'argent en jeu, et ce trafic ne peux durer que parce qu'il bénéficie de soutiens et d'appuis bien placé. Il y aura toujours des clients, et ils seront de plus en plus nombreux. Le fait que le cannabis soit en vente libre ou non, ne changera rien. La seul différence sera que l'état pourra récupérer l'argent que les trafiquants se mettent dans la poche et cela donnera beaucoup plus de temps aux policiers pour combattre la grande criminalité.
Oui, Georges, sommes nous arrivés à un point de non retour?????
Pensez vous qu'il faille se résigner et accepter une gangrène qui risque de pourrir la santé et la vie de nos jeunes générations????
Au contraire, je pense que ce que se passe dans les stations de métro devrait galvaniser et réveiller les consciences, pour trouver une solution , je ne dirai pas radicale, mais assez brutale pour dissuader les dealers de continuer leur petit trafic.
Il est plus que temps que ça s'arrête.
On cherche à ouvrir des centres de desintoxication ou d'aide au toxicos, on met des produits de substitution qui ne me paraissent pas suffisamment efficaces.
Le laxisme latent des responsables, de quel que gouvernement que ce soit, est à l'origine de ce déferlement de drogués .
Il faut appliquer des peines lourdes, et les respecter sans remise de peine, ni sursis
Quitte à innover.....tant pis pour les âmes sensibles.....

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 12:42
par tisiphoné
Anne32 a écrit : Oui, j'ai entendu cette information ce matin sur France info
Un conducteur de rame, disait qu'il avait du sauter un arrêt pour protéger les usagers qui devaient y descendre
Quelle va être la réaction de notre bien aimé gouvernement?
Macron va t'il encore se dédire, lui qui lorsqu'il etait candidat affirmait qu'il n'etait pas question de légalisation des drogues dites douces?
Il serait temps de se pencher sur ce problème qui prend de l'ampleur, si les facs sont contaminées elles aussi , il y a du souci en perspective
les étudiants touchent pas au crack, ils préfèrent le cannabis ou la vodka :XD:

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 12:43
par mic43121
Victor a écrit :
Crapulax a écrit :
Pour l’Unsa, syndicat majoritaire, la solution réside dans la présence humaine. « Il faut les enquiquiner, de façon à ce qu’ils n’aient plus envie de rester sur les quais », estime Jean-Marc Judith, représentant syndical.
MDR ! Comme si "enquiquiner" un drogué au crack, drogue qui rend hyper dépendant aller avoir un quelconque effet !
Il faut "rafler" ces drogués et les envoyer dans une sorte d'asile où on leur donnera des produits de substitution.
Au final, cela coûtera moins cher à la société que tous les méfaits et délits qu'ils sont quasiment obligés de commettre pour se procurer leur drogue.


Victor quand tu veux….tu peux dire autre chose que des conneries….
Là je t'approuve..
:super:

Re: Mon métro va crack-er.

Posté : 19 janvier 2018 12:44
par lepicard
Anne32 a écrit :
Georges61 a écrit : Jamais le trafic de drogue sera endigué, il y a bien trop d'argent en jeu, et ce trafic ne peux durer que parce qu'il bénéficie de soutiens et d'appuis bien placé. Il y aura toujours des clients, et ils seront de plus en plus nombreux. Le fait que le cannabis soit en vente libre ou non, ne changera rien. La seul différence sera que l'état pourra récupérer l'argent que les trafiquants se mettent dans la poche et cela donnera beaucoup plus de temps aux policiers pour combattre la grande criminalité.
Oui, Georges, sommes nous arrivés à un point de non retour?????
Pensez vous qu'il faille se résigner et accepter une gangrène qui risque de pourrir la santé et la vie de nos jeunes générations????
Au contraire, je pense que ce que se passe dans les stations de métro devrait galvaniser et réveiller les consciences, pour trouver une solution , je ne dirai pas radicale, mais assez brutale pour dissuader les dealers de continuer leur petit trafic.
Il est plus que temps que ça s'arrête.
On cherche à ouvrir des centres de desintoxication ou d'aide au toxicos, on met des produits de substitution qui ne me paraissent pas suffisamment efficaces.
Le laxisme latent des responsables, de quel que gouvernement que ce soit, est à l'origine de ce déferlement de drogués .
Il faut appliquer des peines lourdes, et les respecter sans remise de peine, ni sursis
Quitte à innover.....tant pis pour les âmes sensibles.....
bonjour
Alors , quoi faire ..... une brigade autorisée à tirer dans le tas ?? , cela serait plus que mal perçu et contraire à la constitution