La chicha et la faucille...
Posté : 15 mai 2022 06:07
Un bien beau et long portrait ma foi. À lire sans modération.
Taha Bouhafs
Taha Bouhafs est né en 1997 à Aïn-Beida (Algérie). La famille Bouhafs immigre en France quatre ans après sa naissance, à Échirolles, près de Grenoble, alors que la guerre civile algérienne entre dans une phase de refroidissement. Ses parents, professeurs, ne peuvent retrouver un emploi équivalent dans l’Hexagone et finissent par exercer des métiers non-qualifiés pour subvenir aux besoins de Taha et de sa sœur jumelle. De coups d’éclat en provocations, le journaliste rejoint Gaspard Glanz et David Dufresne (pour qui son homologue est « la relève de la profession ») au rang des martyrs antifas de la liberté d’informer. À la croisée des mouvements sociaux et communautaires, le jeune Bouhafs mène habilement sa barque en rêvant de ses lendemains qui chantent à lui, un soulèvement des banlieues sous la bannière du croissant islamique. Et il ne recule ni devant les fake news éhontées, ni devant une violence verbale peu commune sur les réseaux sociaux, pour porter cette sixième république sur les fonts baptismaux. Portrait d’un fellaga du Média. Désigné en mai 2022 comme candidat à la députation de la Nouvelle Union Populaire (Nupes) dans la XIVème circonscription du Rhône, il doit renoncer à sa candidature devant le tollé qu’elle suscite.
Et (entre autre)malgré ça LFI...
« Les pouilleux de Charlie Hebdo n’existent qu’à travers notre indignation. Cessons de commenter leurs unes dégueulasses et ils cesseront d’être. », Twitter, 30/10/2019.
En même temps pourquoi se gênerait il ? :
« Un véritable Rouletabille radical, c’est-à-dire qu’il est partout où il faut. Il a une vision de journaliste mais évidemment au service d’un militant politique. Moi je suis assez halluciné du sixième sens qu’il a: il est partout où il faut être » Eric Coquerel, Le Courrier de l’Atlas, 13/12/2018.
https://www.ojim.fr/portraits/taha-bouhafs/
Bonne lecture
Taha Bouhafs
Taha Bouhafs est né en 1997 à Aïn-Beida (Algérie). La famille Bouhafs immigre en France quatre ans après sa naissance, à Échirolles, près de Grenoble, alors que la guerre civile algérienne entre dans une phase de refroidissement. Ses parents, professeurs, ne peuvent retrouver un emploi équivalent dans l’Hexagone et finissent par exercer des métiers non-qualifiés pour subvenir aux besoins de Taha et de sa sœur jumelle. De coups d’éclat en provocations, le journaliste rejoint Gaspard Glanz et David Dufresne (pour qui son homologue est « la relève de la profession ») au rang des martyrs antifas de la liberté d’informer. À la croisée des mouvements sociaux et communautaires, le jeune Bouhafs mène habilement sa barque en rêvant de ses lendemains qui chantent à lui, un soulèvement des banlieues sous la bannière du croissant islamique. Et il ne recule ni devant les fake news éhontées, ni devant une violence verbale peu commune sur les réseaux sociaux, pour porter cette sixième république sur les fonts baptismaux. Portrait d’un fellaga du Média. Désigné en mai 2022 comme candidat à la députation de la Nouvelle Union Populaire (Nupes) dans la XIVème circonscription du Rhône, il doit renoncer à sa candidature devant le tollé qu’elle suscite.
Et (entre autre)malgré ça LFI...
« Les pouilleux de Charlie Hebdo n’existent qu’à travers notre indignation. Cessons de commenter leurs unes dégueulasses et ils cesseront d’être. », Twitter, 30/10/2019.
En même temps pourquoi se gênerait il ? :
« Un véritable Rouletabille radical, c’est-à-dire qu’il est partout où il faut. Il a une vision de journaliste mais évidemment au service d’un militant politique. Moi je suis assez halluciné du sixième sens qu’il a: il est partout où il faut être » Eric Coquerel, Le Courrier de l’Atlas, 13/12/2018.
https://www.ojim.fr/portraits/taha-bouhafs/
Bonne lecture