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Jiimmy a écrit : ↑06 juillet 2022 22:34 Terrible cette conception de la justice. En somme, "deux personnes t'accusent, on ne te dit pas qui, on ne te dit pas de quoi exactement et tu ne peux pas te défendre, tu es puni d'office car la parole d'une femme vaut condamnation et est supérieure à celle d'un homme". Et dire que ces Staliniens prétendent diriger notre pays.

Hdelapampa a écrit : ↑07 juillet 2022 00:00 Quand un homme est accusé de harcèlement, d'agression, de viol par une femme , la réaction de l'accusé est toujours de nier les faits.
C'est pour cela qu"existe la justice et c'est à elle de trancher.
Pas à l'une ou l'autre des parties.
Quand un homme accusé prétendait à des fonctions dépendant d'une élection, il prétend TOUJOURS qu'il s'agit d'un complot politique.
Et les adversaires politiques se déchaînent sur lui et/ou la plaignante s'ils sont du même bord, du même parti.
Ca ne les empêche pas de prendre une position INVERSE, lorsqu'il s'agit d'un des leurs.

C'est ce que j'appelle la façon bourgeoise de faire de la politique et le spectacle ainsi offert est écoeurant.
Pire qu'un débat à l'Assemblée (et je ne parle même pas du dernier en date).
Il montre bien que la question du droit des femmes est seulement une arme partisane.
Il n'y a aucun principe supérieur à l'intérêt des partis et des ambitions personnelles.
C'est ça la politique politicienne.
La bataille de boules puantes.
Ridicule, vulgaire, puérile.
Il n'y a en réalité aucune volonté sérieuse de combattre la violence faite aux femmes.

Clémentine Autain fait son boulot politique: elle protège son parti d'éventuelles suites, comme il y en a si (et trop)souvent.
Marine Le Pen en a fait tout autant et personne ne le lui reproche (certes avec beaucoup plus d"hésitation) : elle a bien fait.
Là, quoi d'autre est en jeu?
L'ambition d'un homme rien de plus.
Est-ce qu'il évoque sa réputation?
Même pas.
Au NPA, il serait suspendu en plus, jusqu'à ce que la lumière soit faite.

gare au gorille a écrit : ↑07 juillet 2022 14:45

Hdelapampa a écrit : ↑07 juillet 2022 00:00 Quand un homme est accusé de harcèlement, d'agression, de viol par une femme , la réaction de l'accusé est toujours de nier les faits.
C'est pour cela qu"existe la justice et c'est à elle de trancher.
Pas à l'une ou l'autre des parties.
Quand un homme accusé prétendait à des fonctions dépendant d'une élection, il prétend TOUJOURS qu'il s'agit d'un complot politique.
Et les adversaires politiques se déchaînent sur lui et/ou la plaignante s'ils sont du même bord, du même parti.
Ca ne les empêche pas de prendre une position INVERSE, lorsqu'il s'agit d'un des leurs.

C'est ce que j'appelle la façon bourgeoise de faire de la politique et le spectacle ainsi offert est écoeurant.
Pire qu'un débat à l'Assemblée (et je ne parle même pas du dernier en date).
Il montre bien que la question du droit des femmes est seulement une arme partisane.
Il n'y a aucun principe supérieur à l'intérêt des partis et des ambitions personnelles.
C'est ça la politique politicienne.
La bataille de boules puantes.
Ridicule, vulgaire, puérile.
Il n'y a en réalité aucune volonté sérieuse de combattre la violence faite aux femmes.

Clémentine Autain fait son boulot politique: elle protège son parti d'éventuelles suites, comme il y en a si (et trop)souvent.
Marine Le Pen en a fait tout autant et personne ne le lui reproche (certes avec beaucoup plus d"hésitation) : elle a bien fait.
Là, quoi d'autre est en jeu?
L'ambition d'un homme rien de plus.
Est-ce qu'il évoque sa réputation?
Même pas.
Au NPA, il serait suspendu en plus, jusqu'à ce que la lumière soit faite.

Rien à voir, quand Marine Le Pen prend la décision de retirer la candidature de quelqu'un, elle le fait d'une manière claire et nette et ne demande pas à l'intéressé de s'inventer une fausse cause pour essayer de mettre la faute sur les autres.
Que la candidature de ce monsieur soit retirée, c'est tout à l'honneur des LFI, mais que madame Clémentine Autain lui demande de faire une fausse déclaration en prétextant des attaques raciste imaginaires pour justifier son retrait, on est plutôt la dans le déshonneur d'un parti qui ne cesse de vouloir donner des leçons de morales à la terre entière et qui semble pourri jusqu'au plus profond de sa moëlle.

gare au gorille a écrit : ↑07 juillet 2022 14:45



Rien à voir, quand Marine Le Pen prend la décision de retirer la candidature de quelqu'un, elle le fait d'une manière claire et nette et ne demande pas à l'intéressé de s'inventer une fausse cause pour essayer de mettre la faute sur les autres.
Que la candidature de ce monsieur soit retirée, c'est tout à l'honneur des LFI, mais que madame Clémentine Autain lui demande de faire une fausse déclaration en prétextant des attaques raciste imaginaires pour justifier son retrait, on est plutôt la dans le déshonneur d'un parti qui ne cesse de vouloir donner des leçons de morales à la terre entière et qui semble pourri jusqu'au plus profond de sa moëlle.

Sur Twitter, le journaliste s'en est pris à La France insoumise, accusant le parti de ne jamais lui avoir permis de se défendre. Il a également accusé Clémentine Autain de l'avoir poussé à cacher la véritable raison de son retrait, ces accusations de violences sexuelles.

"Clémentine Autain m'a annoncé le 9 mai dernier que la décision avait été prise de me désinvestir. Elle m'apprend que le comité contre les violences sexistes et sexuelles du parti a reçu une accusation de violence sexuelle portée contre moi", écrit Taha Bouhafs, assurant que la députée aurait refusé de lui donner d'autres explications. Il ajoute aussi que c'est Clémentine Autain qui lui aurait conseillé de se retirer en invoquant les attaques racistes dont il était la cible. "J'appuierai cette version publiquement", aurait-elle assuré.

Face à un premier refus de Taha Bouhafs, Clémentine Autain l'aurait prévenu que La France insoumise communiquerait contre lui. Le journaliste annoncera finalement son retrait dans la foulée.

Mais deux jours plus tard, le 11 mai, les accusations sont rendues publiques. Dans un communiqué, La France insoumise assure avoir confronté Taha Bouhafs à ces accusations le 9 mai, ce qu'il nie. Aujourd'hui, il demande à être confronté réclamant une procédure "juste et équitable".

Patchouli38 a écrit : ↑07 juillet 2022 16:04 Pourquoi LFI a préféré se défaire de Taha Bouhafs accusé de violences sexuelles, et protège Eric Coquerel accusé d'agression sexuel ? A ce que je sache, aucune preuve de ces agressions n'a été apportée pour ces deux accusés et pourtant... l'un a été gentiment éjecté pendant que l'autre est ardemment défendu. N'est-ce pas là une justice à deux vitesses ?

Hdelapampa a écrit : ↑07 juillet 2022 16:13

Patchouli38 a écrit : ↑07 juillet 2022 16:04 Pourquoi LFI a préféré se défaire de Taha Bouhafs accusé de violences sexuelles, et protège Eric Coquerel accusé d'agression sexuel ? A ce que je sache, aucune preuve de ces agressions n'a été apportée pour ces deux accusés et pourtant... l'un a été gentiment éjecté pendant que l'autre est ardemment défendu. N'est-ce pas là une justice à deux vitesses ?

Je me pose la même question.
Si LFI ne peut destituer Eric Coquerel de son mandat de Président de la commission des finances (c'est un vote d'élus) elle peut par contre le suspendre de son groupe parlementaire et du parti.
LFI tarde à le faire.
C'est une grave erreur. Plus le temps passe, plus le prix politique à payer sera lourd.

Relax a écrit : ↑06 juillet 2022 08:39 Cette anecdote est révélatrice de la mentalité des insoumis qui portent décidément mal leur nom.

Chez LFI ça invente des attaques racistes imaginaires.
Chez LFI quand la cheftaine Clémentine Autain demande à un insoumis de se soumettre, l'insoumis se soumet ... et il pleurniche après coup !

Si bouhafs en avait, il aurait maintenu sa candidature même sans l'investiture des insoumis, mais il a préféré se soumettre, c'est une couille molle .

Hdelapampa a écrit : ↑07 juillet 2022 15:45

gare au gorille a écrit : ↑07 juillet 2022 14:45



Rien à voir, quand Marine Le Pen prend la décision de retirer la candidature de quelqu'un, elle le fait d'une manière claire et nette et ne demande pas à l'intéressé de s'inventer une fausse cause pour essayer de mettre la faute sur les autres.
Que la candidature de ce monsieur soit retirée, c'est tout à l'honneur des LFI, mais que madame Clémentine Autain lui demande de faire une fausse déclaration en prétextant des attaques raciste imaginaires pour justifier son retrait, on est plutôt la dans le déshonneur d'un parti qui ne cesse de vouloir donner des leçons de morales à la terre entière et qui semble pourri jusqu'au plus profond de sa moëlle.

Qu'a fait Clémentine Autain?
Voici ce qu'en dit Taha Bouhafs
https://rmc.bfmtv.com/actualites/politi ... 60334.html

Sur Twitter, le journaliste s'en est pris à La France insoumise, accusant le parti de ne jamais lui avoir permis de se défendre. Il a également accusé Clémentine Autain de l'avoir poussé à cacher la véritable raison de son retrait, ces accusations de violences sexuelles.

"Clémentine Autain m'a annoncé le 9 mai dernier que la décision avait été prise de me désinvestir. Elle m'apprend que le comité contre les violences sexistes et sexuelles du parti a reçu une accusation de violence sexuelle portée contre moi", écrit Taha Bouhafs, assurant que la députée aurait refusé de lui donner d'autres explications. Il ajoute aussi que c'est Clémentine Autain qui lui aurait conseillé de se retirer en invoquant les attaques racistes dont il était la cible. "J'appuierai cette version publiquement", aurait-elle assuré.

Face à un premier refus de Taha Bouhafs, Clémentine Autain l'aurait prévenu que La France insoumise communiquerait contre lui. Le journaliste annoncera finalement son retrait dans la foulée.

Mais deux jours plus tard, le 11 mai, les accusations sont rendues publiques. Dans un communiqué, La France insoumise assure avoir confronté Taha Bouhafs à ces accusations le 9 mai, ce qu'il nie. Aujourd'hui, il demande à être confronté réclamant une procédure "juste et équitable".

Ces attaques racistes n'existaient-elles pas?
Elles existaient.
Clémentine Autain lui a donc proposé le choix entre deux possibilités:
-se retirer sans évoquer les accusations de violences sexuelles dont il était l'objet (sans préjuger des poursuites judiciaires).
-ne pas retirer et se trouver donc face aux accusations de violences sexuelles, publiées par LFI (et dont c'était alors le devoir).

Taha Bouhafs aurait pu choisir la 2 ème option. Il a préféré la première.

Mais "on oublie" qu'il en existait une 3 ème: se retirer en évoquant lui-même les accusations de violences sexuelles.

Donc j'approuve le comportement de Clémentine Autain ET je souhaite que la justice passe.