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https://www.geo.fr/environnement/pres-d ... wwf-212136

La planète a perdu en moyenne près de 70% de ses populations d'animaux sauvages en une cinquantaine d'années, selon l'évaluation de référence du Fonds mondial pour la nature (WWF), qui pointe le lien de plus en plus marqué entre perte de biodiversité et réchauffement climatique.
Entre 1970 et 2018, en moyenne, 69 % des populations (en effectif et non en nombre d'espèces) de vertébrés sauvages - poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles - a disparu, selon l'Indice Planète Vivante (IPV), outil de référence publié tous les deux ans par le WWF (13/10/2022).

La destruction des habitats naturels, en particulier pour développer l'agriculture, reste la cause principale, selon le rapport, suivie par la surexploitation et le braconnage.
Le réchauffement climatique est le troisième facteur, mais son rôle "augmente très, très vite", met en garde Marco Lambertini, directeur général du WWF. Suivent la pollution de l'air, de l'eau et du sol, ainsi que la dissémination par l'homme des espèces invasives.

Mais ça prête certainement à rire.
Ici.
Qu'est ce qu'un forçat de la bagnole a à faire du Damier de la Succise?

Hdelapampa a écrit : ↑14 octobre 2022 00:06 https://www.geo.fr/environnement/pres-d ... wwf-212136

La planète a perdu en moyenne près de 70% de ses populations d'animaux sauvages en une cinquantaine d'années, selon l'évaluation de référence du Fonds mondial pour la nature (WWF), qui pointe le lien de plus en plus marqué entre perte de biodiversité et réchauffement climatique.
Entre 1970 et 2018, en moyenne, 69 % des populations (en effectif et non en nombre d'espèces) de vertébrés sauvages - poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles - a disparu, selon l'Indice Planète Vivante (IPV), outil de référence publié tous les deux ans par le WWF (13/10/2022).

La destruction des habitats naturels, en particulier pour développer l'agriculture, reste la cause principale, selon le rapport, suivie par la surexploitation et le braconnage.
Le réchauffement climatique est le troisième facteur, mais son rôle "augmente très, très vite", met en garde Marco Lambertini, directeur général du WWF. Suivent la pollution de l'air, de l'eau et du sol, ainsi que la dissémination par l'homme des espèces invasives.

Mais ça prête certainement à rire.
Ici.
Qu'est ce qu'un forçat de la bagnole a à faire du Damier de la Succise?

Donc cela n'a rien à voir avec le capitalisme.
Vous devez être très déçu la pampa. J'imagine que vous auriez tellement aimé ajouter un nouveau chef d'accusation contre le capitalisme ..
Manque de bol, cela n'a rien à voir avec l'industrie, le grand capital, les grands méchants, mais c'est juste des paysans comme les malgaches qui détruisent leurs forêts avec leurs cultures sur brulis.

Hdelapampa a écrit : ↑14 octobre 2022 00:06 Qu'est ce qu'un forçat de la bagnole a à faire du Damier de la Succise?

Pas mal, la contrepètrie.

Mickey a écrit : ↑14 octobre 2022 11:19

Hdelapampa a écrit : ↑14 octobre 2022 00:06 Qu'est ce qu'un forçat de la bagnole a à faire du Damier de la Succise?

Pas mal, la contrepètrie.

sans compter que ces paysans Malgache habitent des gites horribles et que leur cas n'incite pas à l'humour

par contre, il y a une nouvelle espèce en voie de développement, très invasive , en plus d'être nuisible, qui s'appelle humanoïdus islamophobis, à mettre de toute urgence hors d'état de nuire

Fonck1 a écrit : ↑14 octobre 2022 11:59 par contre, il y a une nouvelle espèce en voie de développement, très invasive , en plus d'être nuisible, qui s'appelle humanoïdus islamophobis, à mettre de toute urgence hors d'état de nuire

c'est un cousin du Lepenidien tripotanus acéphale , à déjections toxiques

Victor a écrit : ↑14 octobre 2022 11:05
Donc cela n'a rien à voir avec le capitalisme.
Vous devez être très déçu la pampa. J'imagine que vous auriez tellement aimé ajouter un nouveau chef d'accusation contre le capitalisme ..
Manque de bol, cela n'a rien à voir avec l'industrie, le grand capital, les grands méchants, mais c'est juste des paysans comme les malgaches qui détruisent leurs forêts avec leurs cultures sur brulis.

Oh que si !
Même dans les pays des "ex colonies" (pas seulement de la France) l'agriculture est développée pour alimenter les marchés des métropoles impérialistes.
Et avec des méthodes, des techniques promues par les multinationales qui en tirent de grands profits comme Bayer-Monsanto.
Pour qui, aussi, est le bois des forêts primaires tropicales et équatoriales?
En France, la FNSEA,, l'agriculture industrielle, ce n'est pas le capitalisme?
Vous êtes juste en retard de deux ou trois siècles si vous croyez que l'agriculture ce n'est pas le capitalisme.
Pourtant le mot "surexploitation" aurait du vous faire réfléchir, mais vous n'avez guère cette habitude.
Et même si on examine le cas des petits paysans malgaches on peut observer que la destruction de la forêt comme source d'énergie pour faire la cuisine n'est apparue qu'avec la colonisation.

Mais que propose l'éco-modernisme contre cette boucherie de la vie sauvage?

Hdelapampa a écrit : ↑14 octobre 2022 16:26

Victor a écrit : ↑14 octobre 2022 11:05
Donc cela n'a rien à voir avec le capitalisme.
Vous devez être très déçu la pampa. J'imagine que vous auriez tellement aimé ajouter un nouveau chef d'accusation contre le capitalisme ..
Manque de bol, cela n'a rien à voir avec l'industrie, le grand capital, les grands méchants, mais c'est juste des paysans comme les malgaches qui détruisent leurs forêts avec leurs cultures sur brulis.

Oh que si !
Même dans les pays des "ex colonies" (pas seulement de la France) l'agriculture est développée pour alimenter les marchés des métropoles impérialistes.
Et avec des méthodes, des techniques promues par les multinationales qui en tirent de grands profits comme Bayer-Monsanto.
Pour qui, aussi, est le bois des forêts primaires tropicales et équatoriales?
En France, la FNSEA,, l'agriculture industrielle, ce n'est pas le capitalisme?
Vous êtes juste en retard de deux ou trois siècles si vous croyez que l'agriculture ce n'est pas le capitalisme.
Pourtant le mot "surexploitation" aurait du vous faire réfléchir, mais vous n'avez guère cette habitude.
Et même si on examine le cas des petits paysans malgaches on peut observer que la destruction de la forêt comme source d'énergie pour faire la cuisine n'est apparue qu'avec la colonisation.

Mais que propose l'éco-modernisme contre cette boucherie de la vie sauvage?

Bien évidemment que l'élimination des animaux sauvages et, plus globalement, la déstabilisation de la biosphère dans son ensemble est largement dû à notre modèle économique, c'est-à-dire le capitalisme.

La nécessité pour les agriculteurs de devoir produire toujours plus les contraints à utiliser des pesticides afin de mettre en place des productions de type industrielles. De plus, le capitalisme fonctionne sur la base de l'accumulation sans limite pour cela il faut étendre toujours davantage l'exploitation des ressources jusqu'à en exploiter la totalité. Ainsi la dynamique capitaliste tend à marchandiser l'étendue de la surface du globe afin de créer de nouvelles zones soumises aux logiques de l'économie de marché.
On pourrait aussi s'attarder sur les normes comptables qui s'étendent toujours plus, notamment au champ de la nature. Le capitalisme n'accorde de la valeur qu'à ce qui peut-être comptabilisé, l'expansion des normes comptables transforme la nature en marchandise.

Mais il ne faut pas trop discuter avec Victor, il a la culture économique et politique d'un âne bâté.

La disparition d'animaux et d'espèces en général est un truc encore mal compris mais à l'impact énorme.
Si on élimine les raisons philosophiques et morales de s'en soucier (car hélàs, les gens s'en cognent), on doit aussi voir que les espèces animales sont essentielles à notre survie.
Toutes les espèces, car ce ne sont pas des groupes d'êtres vivants indépendants. Elles forment un tissu interconnecté dont les trous qui se forment ont des conséquences en cascade:
- sur la fertilité des terres (la raréfaction des abeilles par exemple),
- sur la découverte de futurs remèdes,
- sur l'alimentation directe (par exemple la pêche),
- sur la protection des forêts et espaces sauvages,
- sur le contrôle des populations invasives ou destructrices,

Aucune espèce ne disparaît sans affecter le reste de l'écosystème.

Aujourd'hui, A LA VEILLE DE L'HIBERNATION, une battue aux cerfs est organisée avec l'autorisation du préfet sur le territoire d'une ourse suitée (d'un petit).

https://fr.trenddetail.com/nouvelles/148577.html

Le collectif Espoir, qui suit régulièrement les ours dans les Pyrénées, alerte sur les risques de chasse en battue à la veille de l’un d’eux dans le secteur de Melles en Haute-Garonne. Un ours et plusieurs de ses petits y ont déjà été repérés.

C’est une chasse au cerf qui se tiendra ce samedi 15 octobre sur les hauteurs de Melles dans les Pyrénées. Une traque qui inquiète le Collectif Espoir. Sur leur page Facebook, les membres du collectif expriment leur préoccupation: «L’ONF donne accès aux chasseurs sur les sentiers domaniaux et les carcasses de cerfs abattus seront transportées par hélicoptère. Chacun verra les moyens obtenus par le monde de la chasse pour pratiquer son art. Nous venons d’écrire à l’ACCA concernée pour les avertir que cette zone est fréquentée cette année par un ours suivi d’un jeune et au moins 2 autres ours que nous avons clairement identifiés lors de nos sorties.”

1) La plupart des ours et des ramasseurs de champignons qui ont été abattus par des chasseurs l'ont été lors de battues d'automne.
Ca arrive TRES régulièrement et ce type de chasse sur un territoire où on sait qu'il y a un ou des ours devrait être interdit depuis longtemps.
Le gouvernement ne peut pas le savoir.

2) Le carburant pour les hélicoptères ne manque pas et n'est pas trop cher pour ces messieurs dames.

3) Ca ne pose pas de problème au moment de ce rapport du WWF?