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L’association Contribuables associés a publié un "livre noir" pour recenser "100 gaspillages hallucinants payés par nos impôts".




C’est un livre qui entend alerter sur le gaspillage d’argent public en France. Comme le relaie Le Parisien, dimanche 20 février, l’association Contribuables associés vient de publier son "Livre noir des gaspillages 2022, 100 gaspillages hallucinants payés par nos impôts". Un ouvrage dans lequel l’association liste tant les frais de bouche excessifs de certains ministères que les dépenses sans queue ni tête de certaines collectivités locales ou des projets publics particulièrement onéreux et finalement totalement abandonnés.

Un ouvrage à prendre toutefois avec du recul tant il a tendance à torpiller un peu grossièrement toutes les politiques publiques récentes, détaille Le Parisien. Mais certains gaspillages recensés dans le livre n’en restent pas moins intéressants, mettant en lumière l’utilisation parfois discutable de l’argent public. Et en premier lieu, le fonctionnement du ministère des Outre-mer entre 2017 et 2020. En effet, dans un référé envoyé fin septembre 2021, la Cour des comptes taclait la gestion du cabinet d’Annick Girardin, l’actuelle ministre, pour ses frais de bouche. Des dépenses qui s’élevaient à 15.800 euros par mois pour… une équipe de 10 puis de 15 salariés.


Un centre aquatique à 40 millions

Les collectivités locales ne sont pas en reste, notamment, avec ce projet à Châteauroux, dans la région Centre-Val de Loire. La commune souhaite construire un complexe nautique de 2.000 m² composé de bassins, de saunas et d’espaces de loisir, le tout pour la modique somme de… 29,8 millions d’euros. Un montant qui a même grimpé à 47 millions d’euros. Un projet susceptible de "mettre en péril les équilibres financiers des collectivités", alerte la Cour des comptes dans un rapport de novembre 2021, et "décorrélé de la domiciliation des usagers".

Autres exemples de projets pharaoniques : le centre aquatique du Libournais en Gironde et ses 35.000 m² pour 39,4 millions d’euros ou encore le stade de Valenciennes (Nord) construit en 2011, mais dont le taux de remplissage n’a jamais permis de rentabiliser les 75.000 d’euros d’investissements qu’il a nécessités.

L’opéra de Lyon, financé à 78% par des fonds publics, et le train de vie fastueux de l’ancienne direction sont également pointés du doigt dans le livre relayé par Le Parisien, alors que le dirigeant recevait un salaire brut annuel de 291.000 euros, dormait dans des hôtels 5 étoiles et a présenté une note de près de 4.000 euros de frais de taxi malgré sa voiture de fonction.


Cinq millions pour une voie de covoiturage inexistante

Autres équipements pointés du doigt : les urinoirs solaires de Paris, les fameux "naturinoirs" censés récolter l’urine pour la transformer en engrais. Des équipements installés… à l’ombre de plusieurs arbres, empêchant la pompe à énergie solaire de fonctionner et répandant des litres d’urine dans l’espace public. Une innovation pour laquelle la Ville avait tout de même dépensé 40.000 euros.

Dernier gaspillage recensé par Le Parisien : le projet de voie de covoiturage sur l’A15 entre Franconville, dans le Val-d’Oise et Gennevilliers dans les Hauts-de-Seine. Un projet expérimental qui a fini par être abandonné face à la levée de boucliers des élus locaux et des habitants… mais non sans avoir nécessité la somme de cinq millions d’euros pour son lancement.

https://www.capital.fr/economie-politiq ... re-1429030

On parle beaucoup de fraude fiscale ou sociale, d'assistés profitant du système (pas ceux d'en haut bien entendu), mais parle t-on suffisamment de ces économies qui seraient faites avec une meilleure gestion de l'argent public.

Je me souviens d'une émission d'Eric Brunet en début d'aprem il y a quelques années sur RMC. Il listait des projets à l'échelle municipale ou régionale principalement (si mes souvenirs sont bons) qui s'étaient avérés être des énormes gaspillages d'argent public (car ils coûtaient très largement + cher que ce qui était prévu, car ils n'avaient finalement aucune utilité, car ils étaient abandonnés après avoir énormément dépensé dessus etc....).

Il serait intéressant de pouvoir chiffrer les économies que l'on ferait (au lieu de toujours vouloir taper sur les + faibles ET comme il est manifeste que nos élites ne voudront pas prendre l'argent là où elle se trouve, à savoir chez les + fortunés qui font tout pour échapper aux contributions financières) si l'argent public était dépensé différemment, avec un contrôle bien + accru et une consultation publique ouverte à tous et analyses effectuées quotidiennement à l'échelle des territoires par des médias (ou je ne sais quoi) qui consacreraient une émission pour relater régulièrement les dépenses faites et ce en quoi elle consiste (genre chaque semaine à tel jour, telle heure, une équipe de journalistes ferait le point sur les dépenses faites et le budget restant).

Peut-être qu'avec une + grande clarté, le gaspillage serait bien moindre, de même que les conflits d'intérêts qui engendrent là aussi des pertes pour les contribuables (ceux gérant le budget seraient moins tentés de faire n'importe quoi si ce n'était plus quasi discrétionnaire). De même que l'idée que celui qui paye ait un droit de regard sur les dépenses à faire, serait révolutionnaire (mais bon, cela ne pourrait avoir cours que dans une société démocratie, donc cela ne nous concerne pas).

De même, il faudrait s'intéresser de + près à ce qu'il se passe réellement avec la délégation de services publics à des officines privées (exemple, j'ai vu que pôle-emploi travaillait avec des boites privés de conseil vers lesquels il orientait de manière obligatoire une partie des candidats pour des sortes de coaching ou mise au point sur leurs parcours et ce sans que l'on ait un retour sur l'impact réel d'un dispositif financé avec de l'argent public).



Peut-être qu'il y aurait là bien des économies à faire (meilleur contrôle de l'argent public pour éviter qu'il soit dilapidé dans des projets non pertinents, à travers des frais de fonctionnements exorbitants et meilleur contrôle concernant la délégation de services publics à des boites privées).

Le principal gaspillage de l'argent public c'est toute cette armée de fonctionnaires invirables dans des administrations qui se marchent sur les pieds et tout juste bonnes à inventer des organisations de plus en plus bureaucratiques.

Il faut supprimer la "garantie de l'emploi" aux fonctionnaires. Supprimer le statut "fonctionnaire". C'est indispensable si 'l'on souhaite réellement réorganiser la fonction publique et lancer de grands plans sociaux pour dégraisser cet énorme mammouth improductif qu'est la fonction publique française.

Très intéressant, hélas.
Ne pensez vous pas que tout projet dépassant un certain montant ( à déterminer selon la taille de l'organisme) devrait faire l'objet d'une étude préalable de rentabilité à faire valider par la cour des comptes ?
De plus, je prêche depuis longtemps pour procéder à un bilan de chacun de ces projets. Je trouve inadmissible qu'un projet soit totalement sous évalué volontairement ou pas pour pouvoir passer. Il faut savoir pourquoi il y a eu sous évaluation.

Dommage que cet organisme contribuables associés soir réputé proche de l'ED.

Tout cela ne recense jamais les innombrables erreurs de certains hauts postes de fonctionnaires sur des travaux de voiries qui se chiffrent en millions car mal expertisés, cela dit ça vaut pour les fonctionnaires mais ça vaut aussi pour le privé, qui souvent dépose le bilan après comme ça plus solvables .

En fait on pourrait économiser des milliards en procédures aussi, mais nos dirigeants si brillants justifient cela par l’emploi, et surtout l’emploi de diplômés souvent incompétents parce qu’ils n’ont aucune expérience de travail, mais dont on existe le diplôme sinon les assurances ne couvrent pas…

Fonck1 a écrit : ↑02 mai 2023 12:27 Toit cela ne recense jamais les innombrables erreurs de certains hauts postes de fonctionnaires sur des travaux de voiries qui se chiffrent en millions car mal expertisés, cela dit ça vaut pour les fonctionnaires mais ça vaut aussi pour le privé, qui souvent dépose le bilan après comme ça plus solvables .

En fait on pourrait économiser des milliards en procédures aussi, mais nos dirigeants si brillants justifient cela par l’emploi, et surtout l’emploi de diplômés souvent incompétents parce qu’ils n’ont aucune expérience de travail, mais dont on existe le diplôme sinon les assurances ne couvrent pas…

Enormément de dépenses foireuses tiennent plutôt de la marotte que du réel besoin et; hélas trop souvent l'engagement de telles dépenses dépend de la longueur du bras de celui qui les provoquent ;; on notera que la décentralisation n'arrange rien

vachement rigolo :
https://www.aubedigitale.com/leurope-ac ... ge-enorme/
ça c'est de l'économie comme on sait faire à l'ENA !

Je suis assez partagé sur ce sujet.

Quand on regarde après coup le coût et l'utilité des projets publics, forcément on va en trouver des foireux. Ils sont menés par des humains, avec toutes les imperfections que ça engendre.

Mais d'une part ce qu'il faudrait ce serait essayer de quantifier le taux de projets foireux, ou le pourcentage de sous alloués à des projets foireux. Si ça se trouve les projets listés ici ne représentent que 0,1% de l'ensemble des projets publics, et ne sont qu'une infime minorité honteuse d'un ensemble d'investissements publics utiles à la société. Du coup si (et je dis bien "si") le taux de projet foireux est faible, il pourrait être plus couteux de payer des experts pour analyser finement chaque projet en amont avant de donner une autorisation.

Et aussi j'imagine que nombre de projets foireux partaient d'une bonne intention, d'une réelle volonté d'investissement utile. Mais que le retour n'a pas été aussi bon qu'espéré, ou le coût mal chiffré, voire, pas de bol, avec des problèmes imprévisibles sur le chantier. Par contre d'autres projets ont pu être lancés sur de mauvaises bases, genre pour flatter l'égo de l'élu qui lance l'idée, pour faire bosser l'entreprise de BTP du beau-frère, ou pour créer des emplois locaux en faisant construire un truc inutile à l'aide de subventions nationales ou européennes.

Au final on ne sait pas trop ce qu'il en est vraiment de la proportion de cas évitables, des sous publics qu'on pourrait économiser. Tout ce qu'on a ici c'est uniquement la face sombre et brute du problème, pas une vue d'ensemble de la situation. C'est difficile de statuer avec ce genre d'information.

Mesoke a écrit : ↑02 mai 2023 14:45 Je suis assez partagé sur ce sujet.

Quand on regarde après coup le coût et l'utilité des projets publics, forcément on va en trouver des foireux. Ils sont menés par des humains, avec toutes les imperfections que ça engendre.

Mais d'une part ce qu'il faudrait ce serait essayer de quantifier le taux de projets foireux, ou le pourcentage de sous alloués à des projets foireux. Si ça se trouve les projets listés ici ne représentent que 0,1% de l'ensemble des projets publics, et ne sont qu'une infime minorité honteuse d'un ensemble d'investissements publics utiles à la société. Du coup si (et je dis bien "si") le taux de projet foireux est faible, il pourrait être plus couteux de payer des experts pour analyser finement chaque projet en amont avant de donner une autorisation.

Et aussi j'imagine que nombre de projets foireux partaient d'une bonne intention, d'une réelle volonté d'investissement utile. Mais que le retour n'a pas été aussi bon qu'espéré, ou le coût mal chiffré, voire, pas de bol, avec des problèmes imprévisibles sur le chantier. Par contre d'autres projets ont pu être lancés sur de mauvaises bases, genre pour flatter l'égo de l'élu qui lance l'idée, pour faire bosser l'entreprise de BTP du beau-frère, ou pour créer des emplois locaux en faisant construire un truc inutile à l'aide de subventions nationales ou européennes.

Au final on ne sait pas trop ce qu'il en est vraiment de la proportion de cas évitables, des sous publics qu'on pourrait économiser. Tout ce qu'on a ici c'est uniquement la face sombre et brute du problème, pas une vue d'ensemble de la situation. C'est difficile de statuer avec ce genre d'information.

Ce n'est pas faux, mais il est souvent facile de déterminer si un projet est justifié ou pas. D'autre part on devrait avoir pour des projets similaires des fourchettes de prix permettant de déterminer si par exemple le prix au m2 est exorbitant ou pas. Enfin faire un bilan n'est pas vraiment un coût supplémentaire et la cour des comptes sait assez bien faire ça. Donc même si on évitait seulement 10% des projets foireux ce serait ça de gagné.

papibilou a écrit : ↑02 mai 2023 12:23 Très intéressant, hélas.
Ne pensez vous pas que tout projet dépassant un certain montant ( à déterminer selon la taille de l'organisme) devrait faire l'objet d'une étude préalable de rentabilité à faire valider par la cour des comptes ?
De plus, je prêche depuis longtemps pour procéder à un bilan de chacun de ces projets. Je trouve inadmissible qu'un projet soit totalement sous évalué volontairement ou pas pour pouvoir passer. Il faut savoir pourquoi il y a eu sous évaluation.

Dommage que cet organisme contribuables associés soir réputé proche de l'ED.

Je ne sais pas si de telles études seraient pertinentes au sens où cela ne ferait probablement que rallonger les délais déjà extraordinairement longs dûs à notre lenteur administrative, aux multiples recours de telle ou telle association, aux conflits entre les différents acteurs (je pense, par-exemple, à un nouveau pont en construction à Bordeaux qui n'a cessé d'être retardé. La construction ayant mis du temps à débuter, puis s'est vu interrompre du fait des conflits entre politiques, avant de finalement reprendre). Et comme le dit Mesoke, peut-être qu'au global l'addition serait + salée qu'en l'état actuel. Ou alors cela pourrait être bien que pour les gros gros projets.

Je pense que le regard citoyen est + à même de faire évoluer les choses. Les acteurs politiques qui initient des projets avec notre argent sont sensibles à leur image, à l'opinion qui se fera suite à l'analyse de leurs actions car le futur de leur carrière dépendra fortement de ces perceptions. S'il y avait une + grande publicité dans la gestion de leur budget et notamment des projets entamés, avec une accessibilité à tous, l'on pourrait imaginer des comptes-rendus réguliers de la part de citoyens "informateurs" ou de journalistes, ce qui permettrait à tous de savoir la manière dont elle utilisée leur argent et de prévenir les potentiels conflits d'intérêt.

D'autre part, pour les projets dépassant un certain montant (soit en pourcentage du budget soit en vertu d'un montant plafond), s'il y avait des votations publiques (un peu comme le font déjà certaines communes avec les budgets participatifs) alors les excès seraient sans doute moindres et la démocratie s'en trouverait renforcée (avec une + grande implication des citoyens dans la vie de leur commune).


Quant aux délégations de services publiques à des boites privées, là je pense qu'il faudrait une grande étude nationale afin de faire le point pour se rendre compte des abus.

papibilou a écrit : ↑02 mai 2023 14:58 Ce n'est pas faux, mais il est souvent facile de déterminer si un projet est justifié ou pas. D'autre part on devrait avoir pour des projets similaires des fourchettes de prix permettant de déterminer si par exemple le prix au m2 est exorbitant ou pas. Enfin faire un bilan n'est pas vraiment un coût supplémentaire et la cour des comptes sait assez bien faire ça. Donc même si on évitait seulement 10% des projets foireux ce serait ça de gagné.

Ca dépend quels projets tu veux vérifier, si tu veux tous les vérifier, et à quel point tu veux les vérifier.

Parce qu'avec plus de 30000 communes, un millier de communauté de communes, une centaine de départements, plein de régions et un état, qui chacun peuvent sortir plusieurs projets par an, ça en fait du boulot pour la cour de comptes.

Des milliers de projets à vérifier, ça demanderait des tas de salariés à temps plein, sans doute des déplacements, un peu de matos, etc.

Il faut simplement que les bénéficiaires de ces projets (foireux ou non) soient les payeurs et les électeurs des décideurs.

C'est à dire qu'il faut une véritable décentralisation et non une décentralisation "à la française", c'est à dire qui ne remet pas vraiment en cause l'hypercentralisation de notre pays (qui date de l'ancien régime).

papibilou a écrit : ↑02 mai 2023 12:23 Très intéressant, hélas.
Ne pensez vous pas que tout projet dépassant un certain montant ( à déterminer selon la taille de l'organisme) devrait faire l'objet d'une étude préalable de rentabilité à faire valider par la cour des comptes ?
De plus, je prêche depuis longtemps pour procéder à un bilan de chacun de ces projets. Je trouve inadmissible qu'un projet soit totalement sous évalué volontairement ou pas pour pouvoir passer. Il faut savoir pourquoi il y a eu sous évaluation.

Dommage que cet organisme contribuables associés soir réputé proche de l'ED.

Marrant que vous évoquiez ça comme une idée , alors que c'est une règle incontournable dans toute entreprise d'évaluer en amont les projets d'investissement avant d'engager l'entreprise dans des dépenses potentiellement sans retour ; ce serait donc moins grave à l'échelle d'un pays de perdre de l'argent ?

à quoi servent les énarques qui gouvernent et l'armée de fonctionnaires à Bercy si finalement la politique se résume à balancer des centaines de milliards en l'air en priant pour que ça retombe ?

Cela dit, je pense que ces gaspillages ne sont pas toujours de la négligeance ou des erreurs, placer X ou Y dans un des nombreux comités Théodule existants est une façon de remercier ou renvoyer l'ascenseur , dilapider des sommes faramineuses en direction d'entreprises bénéficiaires sert à cultiver, entretenir son électorat et préparer un éventuel pantouflage , sans parler de la démesure de ces élus qui se prennent pour des seigneurs tant qu'il s'agit d'argent public ... ou des couts potentiellement gonflés pour enrichir ses potes avec retour d'ascenseur à la clé ....

Encore quelques exemples de gaspillages
https://photo.capital.fr/14-gaspillages ... ros-377776

Et un bétisier des maires les plus dépensiers
https://photo.capital.fr/gaspillages-le ... 725#-ee9ol

Victor a écrit : ↑02 mai 2023 11:34 Le principal gaspillage de l'argent public c'est toute cette armée de fonctionnaires invirables dans des administrations qui se marchent sur les pieds et tout juste bonnes à inventer des organisations de plus en plus bureaucratiques.

Il faut supprimer la "garantie de l'emploi" aux fonctionnaires. Supprimer le statut "fonctionnaire". C'est indispensable si 'l'on souhaite réellement réorganiser la fonction publique et lancer de grands plans sociaux pour dégraisser cet énorme mammouth improductif qu'est la fonction publique française.

et pourtant vous votez pour que cela perdure
on a vu dans les municipalités gérées par le RN comment les agents territoriaux inutiles et profiteurs d'être invirables ) sont allés voir ailleurs
la suppression de la garantie de l'emploi dans la fonction publique c'est ce que propose depuis toujours le RN mais que les autres partis ne feront jamais par électoralisme
ceux qui votent majoritairement en front républicain sont justement les fonctionnaires
personne ne vote contre ses propres intérêts même moi qui si je ne vote pas RN (mais non front républicain mais blanc) c'st pour mes intérêts des accords de l'UE surtout le dernier rejeté par référendum "les accords de Lisbonne")
vous voyez moi je suis honnete je ne prends pas le faux Prétexte de racisme pour justifier pourquoi je ne vote pas RN
comme tout le monde vous voudriez que l'on supprime les intérêts et avantages de autres mais pas les vôtres
et donc les intérêts des uns se cumulant à ceux des autres , le système de la caste gouvernante en profite
chaque jacquouille glanant ses propres miettes qu'elle daigne leur jeter
voilà pourquoi le RN arrive a redresser le budget des municipalités qu'il gère en supprimant les gaspillages
même les plus petits gaspillages (rappelez vous on lui avait reproché d'avoir suspendu dans les services municipaux les abonnements aux médias locaux et nationaux

Il faut fusionner les départements et les régions et réduire drastiquement le nombre de communes. (10 fois plus qu'en Allemagne).
Il faut de plus augmenter fortement les impôts locaux et régionaux et toucher les électeurs au portefeuille (au lien de bêtement taxer les entreprises).
Cela en corrélation avec une forte baisse des impôts nationaux.
Dit autrement il faut mettre en place un "circuit court" démocratique entre les électeurs contribuables et les élus régionaux.