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Kelenner a écrit : ↑02 mai 2023 08:05 Ça ressemble étrangement aux projets macronistes.

sofasurfer a écrit : ↑02 mai 2023 08:43 Quand c'est macron l'UE applaudit debout, mais quand c'est Meloni c'est du fascisme. Allez comprendre...

danielle49 a écrit : ↑02 mai 2023 10:42 Contrairement à Macron qui est un forcené de l'assistanat, Giorgia Meloni a tout compris et fait le contraire. L'assistanat c'est la ruine, la négation de lavaleur travail et de sa rémunération.
L'assistanat, c'est l'encouragement à la paresse, un aimant pour tous les fainéants de la planète qui accourent par milliers et ventre à terre !
L'assistanat c'est le travail sous payé, la retraite à 64 ans, le low-cost déficitaire, la médiocrité du made in France, l'invasion migratoire, le refus du travail, les trafics louches dans les quartiers .

Georges61 a écrit : ↑02 mai 2023 10:57
Une preuve de plus que le social et l'extrême droite est peu compatible, alors quand en campagne électorale MLP nous joue du violon avec son programme social, c'est plutôt du pipeau.
Macron est surtout un forcené de l'assistanat aux entreprises, et c'est un peu pareil en Italie :
En Italie, l'État offre plusieurs aides aux entreprises pour les encourager à se développer et à générer de la croissance économique. Certaines des principales aides sont :

1. Des subventions : L'État italien accorde des subventions à certaines entreprises dans le but de les aider à se développer et à investir dans leur activité. Ces subventions peuvent être accordées pour des projets spécifiques ou pour des activités plus larges.

2. Les prêts bonifiés : Les prêts bonifiés sont des prêts dont les taux d'intérêt sont inférieurs à ceux du marché. Ils sont destinés à aider les entreprises à financer leurs projets d'investissement et de développement.

3. Les exonérations fiscales : L'État peut accorder des exonérations fiscales à certaines entreprises pour les aider à réduire leur charge fiscale et à améliorer leur compétitivité.

4. Les incubateurs d'entreprises : L'État italien dispose également d'incubateurs d'entreprises qui offrent des espaces de travail et une assistance technique aux jeunes entrepreneurs.

5. Les partenariats public-privé : L'État encourage les partenariats public-privé pour stimuler l'investissement dans les infrastructures et les services publics. Les entreprises peuvent ainsi bénéficier de projets financés en partie par l'État.

Jiimmy a écrit : ↑02 mai 2023 11:15

Georges61 a écrit : ↑02 mai 2023 10:57
Une preuve de plus que le social et l'extrême droite est peu compatible, alors quand en campagne électorale MLP nous joue du violon avec son programme social, c'est plutôt du pipeau.
Macron est surtout un forcené de l'assistanat aux entreprises, et c'est un peu pareil en Italie :
En Italie, l'État offre plusieurs aides aux entreprises pour les encourager à se développer et à générer de la croissance économique. Certaines des principales aides sont :

1. Des subventions : L'État italien accorde des subventions à certaines entreprises dans le but de les aider à se développer et à investir dans leur activité. Ces subventions peuvent être accordées pour des projets spécifiques ou pour des activités plus larges.

2. Les prêts bonifiés : Les prêts bonifiés sont des prêts dont les taux d'intérêt sont inférieurs à ceux du marché. Ils sont destinés à aider les entreprises à financer leurs projets d'investissement et de développement.

3. Les exonérations fiscales : L'État peut accorder des exonérations fiscales à certaines entreprises pour les aider à réduire leur charge fiscale et à améliorer leur compétitivité.

4. Les incubateurs d'entreprises : L'État italien dispose également d'incubateurs d'entreprises qui offrent des espaces de travail et une assistance technique aux jeunes entrepreneurs.

5. Les partenariats public-privé : L'État encourage les partenariats public-privé pour stimuler l'investissement dans les infrastructures et les services publics. Les entreprises peuvent ainsi bénéficier de projets financés en partie par l'État.

Bizarrement les contempteurs de l'assistanat ne le sont pas pour toutes les formes d'assistanat. Où étaient ces personnes pour se plaindre du "quoi qu'il en coûte" lorsqu'il s'adressait aux entreprises.

Victor a écrit : ↑02 mai 2023 11:18
Aider les "jeunes pousses" me paraît fondamental parce que l'innovation vient très souvent de ces sociétés et non des grandes sociétés établies qui ne font souvent que dérouler un "business plan" inchangé depuis des décennies.

Jiimmy a écrit : ↑02 mai 2023 12:01

Victor a écrit : ↑02 mai 2023 11:18
Aider les "jeunes pousses" me paraît fondamental parce que l'innovation vient très souvent de ces sociétés et non des grandes sociétés établies qui ne font souvent que dérouler un "business plan" inchangé depuis des décennies.

On ne peut pas critiquer par principe l'aide lorsqu'elle touche les + faibles et l'admirer lorsqu'elle touche d'autres catégories. Vous promouvez cette aide en signifiant qu'elle permettrait de les aider à décoller ou à se maintenir. Mais il en est de même pour les individus les + fragiles. Grâce à ces aides, nombre de gens arriver à surmonter des passages compliqués dans leur vie et à se relancer pour aller de l'avant et nombre d'individus parviennent à se maintenir en ne mourant pas de faim ou froid. Vous vous contredisez donc lorsque vous essayez de justifier des aides d'un côté tout en reniant votre logique lorsqu'il s'agit d'autres personnes ciblées.
Et pourquoi donc ? Parce que l'on en revient à ce que je disais, dans le fond la seule motivation qui vous pousse à orienter vos positionnements, ce sont vos intérêts personnels. Inutile donc d'attendre la moindre cohérence d'une personne réfléchissant de la sorte.


Quant aux "aides" pour les + grosses entreprises (on ne parle pas de jeunes pousses) qui, malgré cet assistanat, continuent à se verser des super dividendes ou des primes exorbitantes pour les patrons, vous en pensez quoi là (mauvais ou bon assistanat ?)

Patchouli38 a écrit : ↑02 mai 2023 07:57 "Cette décision, qui consiste à remplacer le "revenu de citoyenneté" par un "chèque d'inclusion", a été qualifiée de "provocation" par l'opposition et les syndicats.

"La leader d'extrême droite Giorgia Meloni a choisi le 1er-Mai pour rogner les prestations sociales accordées aux Italiens les plus pauvres. Le gouvernement transalpin a supprimé lundi 1er mai le "revenu de citoyenneté" pour le remplacer dès le 1er janvier prochain par un "chèque d'inclusion" au périmètre plus limité, pour un coût de 5,4 milliards d'euros par an. "Nous réformons le revenu de citoyenneté pour faire la différence entre ceux qui sont capables de travailler et ceux qui ne le sont pas", a justifié Giorgia Meloni, au pouvoir depuis octobre.

Alors que le "revenu de citoyenneté" était destiné à toute personne justifiant de revenus très modestes, y compris les jeunes, le "chèque d'inclusion" sera réservé aux familles composées de personnes présentant un handicap, de mineurs ou de plus de 60 ans. Il sera plafonné à 500 euros par mois, auxquels s'ajouteront 280 euros pour les foyers non propriétaires de leur logement. D'une durée de 18 mois, il pourra être renouvelé pendant un an après une carence d'un mois.

Le gouvernement introduit également un "instrument d'accès à l'activité" professionnelle : pour les personnes aptes à l'emploi, la participation à des formations ou des "projets utiles à la collectivité" devient obligatoire, moyennant une indemnité de 350 euros par mois maximum durant un an. Le coût pour l'Etat est estimé à 2,1 milliards d'euros en 2024."

https://www.francetvinfo.fr/monde/itali ... 01855.html

Cela peut être une bonne idée si Madame Meloni n'avait pas mis dans le même panier de "ceux qui ne travaillent pas", les mères isolées avec plusieurs enfants, les personnes isolées géographiquement ou les moyens de locomotions sont rares (bus, train, etc.), etc.
J'ai l'impression que pour elle, c'est sous entendre que ceux qui ne travaillent pas ne sont, en fait, que des profiteurs d'aides sociales alors que, pour beaucoup, leur situation personnelle rend difficile la recherche d'un travail.