Forum-Actualite.com • Débats Politiques

danielle49 a écrit : ↑04 mai 2023 10:14 C'était en boucle hier soir sur France Info, intéressant :
En 2015 la Hongrie a construit un rideau de fer sur sa frontière sud pour se protéger des migrants, en 2023 pour pallier un déficit de main d'oeuvre conséquence du vieillissement de sa population le pays a recours à une immigration choisie et contrôlée essentiellement de travail :
https://www.francetvpro.fr/contenu-de-presse/51173927
https://www.francetvinfo.fr/replay-maga ... 43472.html
Un peu plus de 100 000 migrants hébergés dans des centres spéciaux contribuent par leur travail au PIB de la Hongrie. Dans ce pays le taux de chômage est inférieur à 4% ?
Chaque migrant bénéficie d'un contrat de deux ans au terme duquel il peut être reconduit, sinon c'est le retour légitime au pays de départ.
Des salles de prières sont réservées dans les lieux d'hébergement pour les migrants de confession musulmane, mais pas de prière ni de foulard dans les rues et pas de regroupement familial !
Quelque soit le jugement que l'on peut porter sur ce pays, sa politique migratoire raisonnée et surtout raisonnable, démontre que l'immigration n'est pas un problème lorsqu' elle est contrôlée, encadrée, et fondée exclusivement sur le travail.

Patchouli38 a écrit : ↑04 mai 2023 11:11 "En Hongrie, l'anti-migrants Viktor Orbán ouvre les bras aux «travailleurs invités»

Joël Le Pavous — Édité par Émile Vaizand — 28 avril 2023 à 18h52
​​​​​​​Intraitable envers l'immigration illégale, le pouvoir national-conservateur facilite l'arrivée de personnes étrangères, recrutées jusqu'en Indonésie.

"Été 2015. Alors que le flux de migrants explose sur la route des Balkans, Viktor Orbán devient l'idole des droites radicales en barrant la frontière avec la Serbie avec une clôture de 175 kilomètres. L'année suivante, le Premier ministre hongrois assure que son pays, fortement touché par l'immigration, «n'a pas besoin d'un seul migrant pour que son économie fonctionne». Aujourd'hui, derrière le vernis nationaliste de Budapest, des «travailleurs invités» pallient le manque de bras locaux.
PUBLICITÉ

Depuis septembre 2021, un décret –poussé par le patronat magyar– permet aux Vietnamiens, Mongols, Philippins, Indonésiens, Biélorusses, Kazakhs, Macédoniens, Bosniens et Monténégrins d'obtenir en quelques semaines des visas de travail de deux ans, renouvelables. L'été dernier, Budapest décidait d'assouplir les conditions d'embauche des ressortissants de quinze États non-membres de l'Union européenne (UE), notamment d'Asie et d'Amérique du Sud.
Recrutements à la chaîne

Le 9 mars 2023, lors d'un discours économique à la Chambre de commerce et d'industrie hongroise (MKIK), Viktor Orbán déclarait que la Hongrie «aura besoin de 500.000 nouveaux travailleurs d'ici un ou deux ans» avec priorité aux «réserves internes», tout en évoquant la nécessité de «faire venir des travailleurs étrangers». Ceux-ci «ne pourront rester que pour une période fixe», afin d'éviter «le piège dans lequel se trouve l'Europe de l'Ouest», avec des travailleurs immigrés qui «mineraient nos existences et notre culture», tempérait le dirigeant populiste.

Selon l'institut national hongrois de statistiques KSH, 74.000 travailleurs étrangers exerçaient en Hongrie au milieu de l'année 2022, soit 20% de plus qu'à la même période en 2021. Le nombre avoisinerait plutôt 100.000, d'après une association spécialisée dans les ressources humaines. Sur le site du média économique Portfolio, plusieurs experts évoquent 500 à 1.000 arrivées chaque mois. Tourisme, agriculture, hôtellerie-restauration et industrie s'arrachent les précieux «vendégmunkások» («travailleurs invités» en hongrois).

Il faut regarder la Hongrie d'Orbán pour savoir ce qui nous attend si Marine Le Pen est élue

Un travailleur étranger sur deux vient d'Ukraine et de Roumanie voisines. Environ 12.000 sont originaires d'Asie, notamment du Vietnam et de Chine, partenaire commercial majeur de Budapest. En 2018, un reportage du média Abcúg documentait déjà l'intégration réussie de Mongols à Mór (dans le nord-ouest de la Hongrie). Les trois principales entreprises de la grande ville proche de Székesfehérvár (Videoton, Denso et Harman) s'appuient sur un effectif significatif de «travailleurs invités».

Les agences de recrutement comme Menton Jobs tournent à plein régime. «Les entreprises considèrent la main-d'œuvre asiatique comme une aide appréciable et accueillent avec plaisir les travailleurs que nous leur recommandons», témoigne son directeur, Tamás Horváth. «Les Asiatiques demandent autant que les Hongrois, mais il faut les payer comme il se doit pour qu'ils ne suivent pas nos anciens travailleurs ukrainiens vers l'Europe de l'Ouest», précise-t-il.

https://www.slate.fr/story/245348/hongr ... xtor=RSS-2

gare au gorille a écrit : ↑04 mai 2023 13:10

Patchouli38 a écrit : ↑04 mai 2023 11:11 "En Hongrie, l'anti-migrants Viktor Orbán ouvre les bras aux «travailleurs invités»

Joël Le Pavous — Édité par Émile Vaizand — 28 avril 2023 à 18h52
​​​​​​​Intraitable envers l'immigration illégale, le pouvoir national-conservateur facilite l'arrivée de personnes étrangères, recrutées jusqu'en Indonésie.

"Été 2015. Alors que le flux de migrants explose sur la route des Balkans, Viktor Orbán devient l'idole des droites radicales en barrant la frontière avec la Serbie avec une clôture de 175 kilomètres. L'année suivante, le Premier ministre hongrois assure que son pays, fortement touché par l'immigration, «n'a pas besoin d'un seul migrant pour que son économie fonctionne». Aujourd'hui, derrière le vernis nationaliste de Budapest, des «travailleurs invités» pallient le manque de bras locaux.
PUBLICITÉ

Depuis septembre 2021, un décret –poussé par le patronat magyar– permet aux Vietnamiens, Mongols, Philippins, Indonésiens, Biélorusses, Kazakhs, Macédoniens, Bosniens et Monténégrins d'obtenir en quelques semaines des visas de travail de deux ans, renouvelables. L'été dernier, Budapest décidait d'assouplir les conditions d'embauche des ressortissants de quinze États non-membres de l'Union européenne (UE), notamment d'Asie et d'Amérique du Sud.
Recrutements à la chaîne

Le 9 mars 2023, lors d'un discours économique à la Chambre de commerce et d'industrie hongroise (MKIK), Viktor Orbán déclarait que la Hongrie «aura besoin de 500.000 nouveaux travailleurs d'ici un ou deux ans» avec priorité aux «réserves internes», tout en évoquant la nécessité de «faire venir des travailleurs étrangers». Ceux-ci «ne pourront rester que pour une période fixe», afin d'éviter «le piège dans lequel se trouve l'Europe de l'Ouest», avec des travailleurs immigrés qui «mineraient nos existences et notre culture», tempérait le dirigeant populiste.

Selon l'institut national hongrois de statistiques KSH, 74.000 travailleurs étrangers exerçaient en Hongrie au milieu de l'année 2022, soit 20% de plus qu'à la même période en 2021. Le nombre avoisinerait plutôt 100.000, d'après une association spécialisée dans les ressources humaines. Sur le site du média économique Portfolio, plusieurs experts évoquent 500 à 1.000 arrivées chaque mois. Tourisme, agriculture, hôtellerie-restauration et industrie s'arrachent les précieux «vendégmunkások» («travailleurs invités» en hongrois).

Il faut regarder la Hongrie d'Orbán pour savoir ce qui nous attend si Marine Le Pen est élue

Un travailleur étranger sur deux vient d'Ukraine et de Roumanie voisines. Environ 12.000 sont originaires d'Asie, notamment du Vietnam et de Chine, partenaire commercial majeur de Budapest. En 2018, un reportage du média Abcúg documentait déjà l'intégration réussie de Mongols à Mór (dans le nord-ouest de la Hongrie). Les trois principales entreprises de la grande ville proche de Székesfehérvár (Videoton, Denso et Harman) s'appuient sur un effectif significatif de «travailleurs invités».

Les agences de recrutement comme Menton Jobs tournent à plein régime. «Les entreprises considèrent la main-d'œuvre asiatique comme une aide appréciable et accueillent avec plaisir les travailleurs que nous leur recommandons», témoigne son directeur, Tamás Horváth. «Les Asiatiques demandent autant que les Hongrois, mais il faut les payer comme il se doit pour qu'ils ne suivent pas nos anciens travailleurs ukrainiens vers l'Europe de l'Ouest», précise-t-il.

https://www.slate.fr/story/245348/hongr ... xtor=RSS-2

Tout cela semble très bien géré, ou donc est votre problème madame Patchouli ??
Les travailleurs étrangers sont les biens venus quand on a besoin d'eux, il semble qu'en Hongrie ils viennent pour y travailler par pour l'occuper et s'y trouver en pays conquis comme chez nous au point de vouloir en changer les traditions et la manière de vivre.
Les Hongrois défendent leur identité et leur culture ce qui ne les empêche pas de rester ouvert sur le monde. Ils nous ont bien observé et leurs dirigeants ne sont pas prêts d'être aussi naïfs que les bras cassés de nos gouvernances.

Patchouli38 a écrit : ↑04 mai 2023 13:24

gare au gorille a écrit : ↑04 mai 2023 13:10



Tout cela semble très bien géré, ou donc est votre problème madame Patchouli ??
Les travailleurs étrangers sont les biens venus quand on a besoin d'eux, il semble qu'en Hongrie ils viennent pour y travailler par pour l'occuper et s'y trouver en pays conquis comme chez nous au point de vouloir en changer les traditions et la manière de vivre.
Les Hongrois défendent leur identité et leur culture ce qui ne les empêche pas de rester ouvert sur le monde. Ils nous ont bien observé et leurs dirigeants ne sont pas prêts d'être aussi naïfs que les bras cassés de nos gouvernances.

Pourquoi cette question ? Je n'ai mis qu'un article que je n'ai même pas argumenté. Cet article est simplement un complément d'information.

gare au gorille a écrit : ↑04 mai 2023 13:10

Patchouli38 a écrit : ↑04 mai 2023 11:11 "En Hongrie, l'anti-migrants Viktor Orbán ouvre les bras aux «travailleurs invités»

Joël Le Pavous — Édité par Émile Vaizand — 28 avril 2023 à 18h52
​​​​​​​Intraitable envers l'immigration illégale, le pouvoir national-conservateur facilite l'arrivée de personnes étrangères, recrutées jusqu'en Indonésie.

"Été 2015. Alors que le flux de migrants explose sur la route des Balkans, Viktor Orbán devient l'idole des droites radicales en barrant la frontière avec la Serbie avec une clôture de 175 kilomètres. L'année suivante, le Premier ministre hongrois assure que son pays, fortement touché par l'immigration, «n'a pas besoin d'un seul migrant pour que son économie fonctionne». Aujourd'hui, derrière le vernis nationaliste de Budapest, des «travailleurs invités» pallient le manque de bras locaux.
PUBLICITÉ

Depuis septembre 2021, un décret –poussé par le patronat magyar– permet aux Vietnamiens, Mongols, Philippins, Indonésiens, Biélorusses, Kazakhs, Macédoniens, Bosniens et Monténégrins d'obtenir en quelques semaines des visas de travail de deux ans, renouvelables. L'été dernier, Budapest décidait d'assouplir les conditions d'embauche des ressortissants de quinze États non-membres de l'Union européenne (UE), notamment d'Asie et d'Amérique du Sud.
Recrutements à la chaîne

Le 9 mars 2023, lors d'un discours économique à la Chambre de commerce et d'industrie hongroise (MKIK), Viktor Orbán déclarait que la Hongrie «aura besoin de 500.000 nouveaux travailleurs d'ici un ou deux ans» avec priorité aux «réserves internes», tout en évoquant la nécessité de «faire venir des travailleurs étrangers». Ceux-ci «ne pourront rester que pour une période fixe», afin d'éviter «le piège dans lequel se trouve l'Europe de l'Ouest», avec des travailleurs immigrés qui «mineraient nos existences et notre culture», tempérait le dirigeant populiste.

Selon l'institut national hongrois de statistiques KSH, 74.000 travailleurs étrangers exerçaient en Hongrie au milieu de l'année 2022, soit 20% de plus qu'à la même période en 2021. Le nombre avoisinerait plutôt 100.000, d'après une association spécialisée dans les ressources humaines. Sur le site du média économique Portfolio, plusieurs experts évoquent 500 à 1.000 arrivées chaque mois. Tourisme, agriculture, hôtellerie-restauration et industrie s'arrachent les précieux «vendégmunkások» («travailleurs invités» en hongrois).

Il faut regarder la Hongrie d'Orbán pour savoir ce qui nous attend si Marine Le Pen est élue

Un travailleur étranger sur deux vient d'Ukraine et de Roumanie voisines. Environ 12.000 sont originaires d'Asie, notamment du Vietnam et de Chine, partenaire commercial majeur de Budapest. En 2018, un reportage du média Abcúg documentait déjà l'intégration réussie de Mongols à Mór (dans le nord-ouest de la Hongrie). Les trois principales entreprises de la grande ville proche de Székesfehérvár (Videoton, Denso et Harman) s'appuient sur un effectif significatif de «travailleurs invités».

Les agences de recrutement comme Menton Jobs tournent à plein régime. «Les entreprises considèrent la main-d'œuvre asiatique comme une aide appréciable et accueillent avec plaisir les travailleurs que nous leur recommandons», témoigne son directeur, Tamás Horváth. «Les Asiatiques demandent autant que les Hongrois, mais il faut les payer comme il se doit pour qu'ils ne suivent pas nos anciens travailleurs ukrainiens vers l'Europe de l'Ouest», précise-t-il.

https://www.slate.fr/story/245348/hongr ... xtor=RSS-2

Tout cela semble très bien géré, ou donc est votre problème madame Patchouli ??
Les travailleurs étrangers sont les biens venus quand on a besoin d'eux, il semble qu'en Hongrie ils viennent pour y travailler par pour l'occuper et s'y trouver en pays conquis comme chez nous au point de vouloir en changer les traditions et la manière de vivre.
Les Hongrois défendent leur identité et leur culture ce qui ne les empêche pas de rester ouvert sur le monde. Ils nous ont bien observé et leurs dirigeants ne sont pas prêts d'être aussi naïfs que les bras cassés de nos gouvernances.

gare au gorille a écrit : ↑04 mai 2023 13:10

Patchouli38 a écrit : ↑04 mai 2023 11:11 "En Hongrie, l'anti-migrants Viktor Orbán ouvre les bras aux «travailleurs invités»

Joël Le Pavous — Édité par Émile Vaizand — 28 avril 2023 à 18h52
​​​​​​​Intraitable envers l'immigration illégale, le pouvoir national-conservateur facilite l'arrivée de personnes étrangères, recrutées jusqu'en Indonésie.

"Été 2015. Alors que le flux de migrants explose sur la route des Balkans, Viktor Orbán devient l'idole des droites radicales en barrant la frontière avec la Serbie avec une clôture de 175 kilomètres. L'année suivante, le Premier ministre hongrois assure que son pays, fortement touché par l'immigration, «n'a pas besoin d'un seul migrant pour que son économie fonctionne». Aujourd'hui, derrière le vernis nationaliste de Budapest, des «travailleurs invités» pallient le manque de bras locaux.
PUBLICITÉ

Depuis septembre 2021, un décret –poussé par le patronat magyar– permet aux Vietnamiens, Mongols, Philippins, Indonésiens, Biélorusses, Kazakhs, Macédoniens, Bosniens et Monténégrins d'obtenir en quelques semaines des visas de travail de deux ans, renouvelables. L'été dernier, Budapest décidait d'assouplir les conditions d'embauche des ressortissants de quinze États non-membres de l'Union européenne (UE), notamment d'Asie et d'Amérique du Sud.
Recrutements à la chaîne

Le 9 mars 2023, lors d'un discours économique à la Chambre de commerce et d'industrie hongroise (MKIK), Viktor Orbán déclarait que la Hongrie «aura besoin de 500.000 nouveaux travailleurs d'ici un ou deux ans» avec priorité aux «réserves internes», tout en évoquant la nécessité de «faire venir des travailleurs étrangers». Ceux-ci «ne pourront rester que pour une période fixe», afin d'éviter «le piège dans lequel se trouve l'Europe de l'Ouest», avec des travailleurs immigrés qui «mineraient nos existences et notre culture», tempérait le dirigeant populiste.

Selon l'institut national hongrois de statistiques KSH, 74.000 travailleurs étrangers exerçaient en Hongrie au milieu de l'année 2022, soit 20% de plus qu'à la même période en 2021. Le nombre avoisinerait plutôt 100.000, d'après une association spécialisée dans les ressources humaines. Sur le site du média économique Portfolio, plusieurs experts évoquent 500 à 1.000 arrivées chaque mois. Tourisme, agriculture, hôtellerie-restauration et industrie s'arrachent les précieux «vendégmunkások» («travailleurs invités» en hongrois).

Il faut regarder la Hongrie d'Orbán pour savoir ce qui nous attend si Marine Le Pen est élue

Un travailleur étranger sur deux vient d'Ukraine et de Roumanie voisines. Environ 12.000 sont originaires d'Asie, notamment du Vietnam et de Chine, partenaire commercial majeur de Budapest. En 2018, un reportage du média Abcúg documentait déjà l'intégration réussie de Mongols à Mór (dans le nord-ouest de la Hongrie). Les trois principales entreprises de la grande ville proche de Székesfehérvár (Videoton, Denso et Harman) s'appuient sur un effectif significatif de «travailleurs invités».

Les agences de recrutement comme Menton Jobs tournent à plein régime. «Les entreprises considèrent la main-d'œuvre asiatique comme une aide appréciable et accueillent avec plaisir les travailleurs que nous leur recommandons», témoigne son directeur, Tamás Horváth. «Les Asiatiques demandent autant que les Hongrois, mais il faut les payer comme il se doit pour qu'ils ne suivent pas nos anciens travailleurs ukrainiens vers l'Europe de l'Ouest», précise-t-il.

https://www.slate.fr/story/245348/hongr ... xtor=RSS-2

Tout cela semble très bien géré, ou donc est votre problème madame Patchouli ??
Les travailleurs étrangers sont les biens venus quand on a besoin d'eux, il semble qu'en Hongrie ils viennent pour y travailler par pour l'occuper et s'y trouver en pays conquis comme chez nous au point de vouloir en changer les traditions et la manière de vivre.
Les Hongrois défendent leur identité et leur culture ce qui ne les empêche pas de rester ouvert sur le monde. Ils nous ont bien observé et leurs dirigeants ne sont pas prêts d'être aussi naïfs que les bras cassés de nos gouvernances.

danielle49 a écrit : ↑04 mai 2023 14:13 L'exemple français est il aussi bien, à vous de juger :
Pendant que la ville de Paris battait campagne, l’automne dernier, pour le boycott de la coupe du monde de football au Qatar, s’apitoyant notamment sur le sort de milliers de travailleurs étrangers employés pour la construction des stades, des sans-papiers trimaient sur les chantiers des Jeux olympiques (JO) de 2024 dont elle est l’organisatrice.

source :
https://www.middleeasteye.net/fr/actu-e ... ploitation

Fonck1 a écrit : ↑04 mai 2023 15:21

gare au gorille a écrit : ↑04 mai 2023 13:10



Tout cela semble très bien géré, ou donc est votre problème madame Patchouli ??
Les travailleurs étrangers sont les biens venus quand on a besoin d'eux, il semble qu'en Hongrie ils viennent pour y travailler par pour l'occuper et s'y trouver en pays conquis comme chez nous au point de vouloir en changer les traditions et la manière de vivre.
Les Hongrois défendent leur identité et leur culture ce qui ne les empêche pas de rester ouvert sur le monde. Ils nous ont bien observé et leurs dirigeants ne sont pas prêts d'être aussi naïfs que les bras cassés de nos gouvernances.

Genial, nous n’attendons plus que toi et ton partis de pieds nickelés fassent la même chose 1000 km sur 1000 kms, avec les alpes et les Pyrénées au milieu, la Méditerranée, et l’océan pour voir la pertinence de vos alter-égos (mais surtout egos) mais pour l’instant je n’ai rien de rien vu venir ni proposer.

Fais toi plaisir! Nous attendons depuis des décennies!

danielle49 a écrit : ↑04 mai 2023 19:02 La Pologne aussi pratique une immigration choisie essentiellement d'origine ukrainienne :
https://www.francetvinfo.fr/replay-maga ... 62310.html
La Pologne comme la Hongrie a construit un mur de 186km sur sa frontière orientale :
https://www.infomigrants.net/fr/post/41 ... %C3%A8tres.
Construire un mur pour éviter l'intrusion des migrants clandestins, pratiquer une immigration choisie, c'est possible au sein de l'UE, suffit d'en avoir la volonté politique, et du courage.