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La valeur "loisirs" se développant, les jeunes en âge de procréer veulent d'abord "vivre leur vie" ce qui signifie, dans leur esprit, s'amuser plus longtemps.
Conséquence: on veut retarder le plus possible l'arrivée du premier enfant qui aujourd'hui, à sa naissance, a des parents plus âgés de 7 ou 8 ans qu'il y a 30 ans. Ce qui va retarder d'autant la naissance du second et ainsi de suite. Ajoutons à cela une baisse de la fertilité, et on obtient une natalité en fort déclin.
La baisse de la natalité va donc de pair avec le remplacement de la valeur travail par la valeur loisirs.
Avis ?

papibilou a écrit : ↑17 février 2024 18:56 La valeur "loisirs" se développant, les jeunes en âge de procréer veulent d'abord "vivre leur vie" ce qui signifie, dans leur esprit, s'amuser plus longtemps.
Conséquence: on veut retarder le plus possible l'arrivée du premier enfant qui aujourd'hui, à sa naissance, a des parents plus âgés de 7 ou 8 ans qu'il y a 30 ans. Ce qui va retarder d'autant la naissance du second et ainsi de suite. Ajoutons à cela une baisse de la fertilité, et on obtient une natalité en fort déclin.
La baisse de la natalité va donc de pair avec le remplacement de la valeur travail par la valeur loisirs.
Avis ?

N'est ce pas le crédo d'une certaine gauche dont même le PCF s'est dissocié
"L e droit à la paresse"

Du coup c'est bien non de profiter de la vie quand on est jeune au lieu de se bloquer 20 ans à élever des mioches et d'avoir de la dispo quand on commence à vieillir ?

Mesoke a écrit : ↑17 février 2024 19:12 Du coup c'est bien non de profiter de la vie quand on est jeune au lieu de se bloquer 20 ans à élever des mioches et d'avoir de la dispo quand on commence à vieillir ?

On ne dit pas des mioches on dit des enfants ..
Et quand ce n'est pas les siens on dit des morveux ...

Mesoke a écrit : ↑17 février 2024 19:12 Du coup c'est bien non de profiter de la vie quand on est jeune au lieu de se bloquer 20 ans à élever des mioches et d'avoir de la dispo quand on commence à vieillir ?

Question de point de vue
Si on a des enfants à 20 ans on est bloqué jusqu'à 40 ans
Si on veut en avoir à 40 déjà ce sera galère par perte de fécondité et ensuite on est bloqué jusqu'à 60 ans
Et croyez moi on profite mieux de la vie à 40 ans qu'à 60 ans
Le delta de blocage reste le même
Mais à 55 ans essayez de faire des activités avec un ados de 15 ans

papibilou a écrit : ↑17 février 2024 18:56 La valeur "loisirs" se développant, les jeunes en âge de procréer veulent d'abord "vivre leur vie" ce qui signifie, dans leur esprit, s'amuser plus longtemps.
Conséquence: on veut retarder le plus possible l'arrivée du premier enfant qui aujourd'hui, à sa naissance, a des parents plus âgés de 7 ou 8 ans qu'il y a 30 ans. Ce qui va retarder d'autant la naissance du second et ainsi de suite. Ajoutons à cela une baisse de la fertilité, et on obtient une natalité en fort déclin.
La baisse de la natalité va donc de pair avec le remplacement de la valeur travail par la valeur loisirs.
Avis ?

La baisse de la natalité en France coïncide avec l'abaissement de la politique familiale sous F. Hollande : le quotient familial a été abaissé à deux reprises en 2013 et en 2014. En 2015, les allocations familiales ont été placées sous condition de ressources. Ces mesures ont eu un impact négatif sur la natalité, puisqu’un Français sur trois affirmait que la dégradation de la politique familiale l’avait amené à renoncer à un enfant supplémentaire. Le démographe Gérard-François Dumont lie ce phénomène à la perte de confiance des Français dans la politique familiale.

https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... e-20230511

papibilou a écrit : ↑17 février 2024 18:56 La valeur "loisirs" se développant, les jeunes en âge de procréer veulent d'abord "vivre leur vie" ce qui signifie, dans leur esprit, s'amuser plus longtemps.
Conséquence: on veut retarder le plus possible l'arrivée du premier enfant qui aujourd'hui, à sa naissance, a des parents plus âgés de 7 ou 8 ans qu'il y a 30 ans. Ce qui va retarder d'autant la naissance du second et ainsi de suite. Ajoutons à cela une baisse de la fertilité, et on obtient une natalité en fort déclin.
La baisse de la natalité va donc de pair avec le remplacement de la valeur travail par la valeur loisirs.
Avis ?

C'est l'une des raisons, qui ressort souvent quand on discute avec des gens de 25-30 ans. Effectivement, il y a une part d'égoïsme assumé qui auparavant était relativement taboue -bonne ou mauvaise évolution, chacun jugera selon ses propres repères.

Mais il y en a d'autres, qui sont bien connues : l'instabilité professionnelle, sentimentale et/ou de logement; le coût financier d'un enfant, les difficultés à trouver un mode de garde, l'incompatibilité avec certaines carrières... l'aspect purement "aides financières" est à mon sens marginal (les allocations ne se débloquent qu'au deuxième enfant et restent relativement dérisoires par rapport aux dépenses engendrées), mais c'est tout le contexte qui freine certaines personnes.

Quoi qu'il en soit, la baisse est effectivement marquée et inquiétante.

C'est vrai que la natalité est un peu en panne en France malgré les efforts de PPDA et Depardieu ?

Parlons de la valeur travail quand un des salaires part intégralement chez la nounou, il y'a de quoi dégoûter les futurs parents.
Et vu le nombre de migrants acceuillis chaque année, il n'est pas nécessaire de procréer pour assurer une stabilité de la population.

Kelenner a écrit : ↑17 février 2024 20:15

papibilou a écrit : ↑17 février 2024 18:56 La valeur "loisirs" se développant, les jeunes en âge de procréer veulent d'abord "vivre leur vie" ce qui signifie, dans leur esprit, s'amuser plus longtemps.
Conséquence: on veut retarder le plus possible l'arrivée du premier enfant qui aujourd'hui, à sa naissance, a des parents plus âgés de 7 ou 8 ans qu'il y a 30 ans. Ce qui va retarder d'autant la naissance du second et ainsi de suite. Ajoutons à cela une baisse de la fertilité, et on obtient une natalité en fort déclin.
La baisse de la natalité va donc de pair avec le remplacement de la valeur travail par la valeur loisirs.
Avis ?

C'est l'une des raisons, qui ressort souvent quand on discute avec des gens de 25-30 ans. Effectivement, il y a une part d'égoïsme assumé qui auparavant était relativement taboue -bonne ou mauvaise évolution, chacun jugera selon ses propres repères.

Mais il y en a d'autres, qui sont bien connues : l'instabilité professionnelle, sentimentale et/ou de logement; le coût financier d'un enfant, les difficultés à trouver un mode de garde, l'incompatibilité avec certaines carrières... l'aspect purement "aides financières" est à mon sens marginal (les allocations ne se débloquent qu'au deuxième enfant et restent relativement dérisoires par rapport aux dépenses engendrées), mais c'est tout le contexte qui freine certaines personnes.

Quoi qu'il en soit, la baisse est effectivement marquée et inquiétante.

En gros les emmerdes de la vie ,,, coup de bol ,on a pas eut de guerre , mais pas assez de coupures d'électricité