Perversion
Posté : 24 février 2024 16:37
Bonjour, j'ai envie de lancer un petit sujet sur une problématique de psychopathologie dont on m'a accusé de façon assez régulière ces dernières années sans pour autant me le mettre par écrit. Bon. Et alors concrètement je ne comprend pas.
Il y aurait une déontologie de la sexualité en lien avec la masturbation. Donc là mon gars, c'est dans les milieux autorisés.
Drapeau chinois?
Non non.
Alors on y va :
"Lorsque ce mécanisme tend à valoriser l'égo, l'image extérieure de soi, on parle parfois de perversion narcissique, bien que ce terme soit peu utilisé dans le cadre médical et psychanalytique : toute perversion est en effet intrinsèquement un trouble du narcissisme. Lorsque ce mécanisme est porté sur les relations sexuelles, on parle de perversion sexuelle. Cette expression renvoie alors à l'imposition à l'autre d'une relation sexuelle au détriment de sa volonté et à l'encontre de son désir propre.
À sa source, la perversion est un fonctionnement défensif, qui pourrait être utilisé par tout un chacun. Néanmoins, chez certains, ce mécanisme s'installe comme un mode de fonctionnement préférentiel, plus confortable et plus gratifiant pour eux, en ce qu'il leur permet d'éviter la souffrance psychique (angoisses, dépressions, etc.), les limitations (dont l'existence et l'expression d'autrui), les pertes (deuils, vieillissement, maladie, mort…) et la remise en question de soi-même. Plus ce mécanisme est utilisé, et plus il se renforce, car l'utilisation de l'autre comme instrument prive la personne perverse de tout retour affectif structurant."
"Les perversions forment une unité clinique dont la structure est bien spécifique. Elles se différencient donc des névroses, des psychoses, des états limites, des états psychosomatiques, des troubles de la personnalité, même des psychopathies. De quoi s’agit-il ? Globalement, le terme perversion désigne une conduite sexuelle déviante dans laquelle le partenaire est considéré comme un simple objet au service de la satisfaction recherchée. Ce comportement camoufle en fait une forte hostilité. La perversion recouvre des formes très différentes.
Dans le cas de la sexualité aberrante, elles sont au nombre de deux :
quand l’objet sexuel est autre que celui que l’on peut considérer comme le plus pertinent (enfant, animal) ;
quand la nature (ou le but) du geste sexuel est différente (sadisme, exhibitionnisme).
Il convient d’ores et déjà de bien distinguer, d’un côté, les comportements et les symptômes pervers, et, de l’autre, la structure perverse. Les premiers sont des signes par lesquels les perversions s’expriment, tandis que la structure perverse est un mode inconscient d’organisation qui est stable, voire permanent, et qui détermine un fonctionnement psychique précis. En outre, les symptômes pervers peuvent se manifester de manière occasionnelle, alors que la structure inconsciente de la personne n’est pas précise, et lors de crises ou face à des traumatismes déstabilisants. Dans ce cas, ils n’ont pas tendance à se reproduire. Dès lors, la conduite thérapeutique sera différente…"
"Mode de fonctionnement préférentiel".
Préférentiel?
"Plus confortable", "plus gratifiant pour eux"
Non mais tu sais que les filles elles s'en racontent des histoires hein. Si y'a une femme célibataire qui veut venir sonner chez moi pour que je lui explique facilement que tout cela est en réalité de la calomnie. Y'aura aucun problème je pense. Et ce sera gratuit.
"Ce comportement camoufle en fait une forte hostilité"
Ouais ouais ouais...
Sinon y'a ça aussi : https://www.youtube.com/watch?v=sODZLSHJm6Q
Surtout quand on réussit l'exploit de confondre un film pornographique, avec une actrice qui frappe à une porte, et puis un gars qui se pointe et qui dit qu'il a pas le temps parce-qu'il a du travail avec l'étreinte de Squall et Linoa.
Ah tu sais que y'en a du fin analyste de la NSA qui n'arrive pas à déterminer qui est le plus pervers entre le duc et Karl Hungus dans The Big Lebowski
Et n'allez surtout pas chercher un rapport avec le destin de ceux qui critiquent l'armée américaine. Parce-que là bon...
Sans commentaires.
Il y aurait une déontologie de la sexualité en lien avec la masturbation. Donc là mon gars, c'est dans les milieux autorisés.
Drapeau chinois?

Alors on y va :
"Lorsque ce mécanisme tend à valoriser l'égo, l'image extérieure de soi, on parle parfois de perversion narcissique, bien que ce terme soit peu utilisé dans le cadre médical et psychanalytique : toute perversion est en effet intrinsèquement un trouble du narcissisme. Lorsque ce mécanisme est porté sur les relations sexuelles, on parle de perversion sexuelle. Cette expression renvoie alors à l'imposition à l'autre d'une relation sexuelle au détriment de sa volonté et à l'encontre de son désir propre.
À sa source, la perversion est un fonctionnement défensif, qui pourrait être utilisé par tout un chacun. Néanmoins, chez certains, ce mécanisme s'installe comme un mode de fonctionnement préférentiel, plus confortable et plus gratifiant pour eux, en ce qu'il leur permet d'éviter la souffrance psychique (angoisses, dépressions, etc.), les limitations (dont l'existence et l'expression d'autrui), les pertes (deuils, vieillissement, maladie, mort…) et la remise en question de soi-même. Plus ce mécanisme est utilisé, et plus il se renforce, car l'utilisation de l'autre comme instrument prive la personne perverse de tout retour affectif structurant."
"Les perversions forment une unité clinique dont la structure est bien spécifique. Elles se différencient donc des névroses, des psychoses, des états limites, des états psychosomatiques, des troubles de la personnalité, même des psychopathies. De quoi s’agit-il ? Globalement, le terme perversion désigne une conduite sexuelle déviante dans laquelle le partenaire est considéré comme un simple objet au service de la satisfaction recherchée. Ce comportement camoufle en fait une forte hostilité. La perversion recouvre des formes très différentes.
Dans le cas de la sexualité aberrante, elles sont au nombre de deux :
quand l’objet sexuel est autre que celui que l’on peut considérer comme le plus pertinent (enfant, animal) ;
quand la nature (ou le but) du geste sexuel est différente (sadisme, exhibitionnisme).
Il convient d’ores et déjà de bien distinguer, d’un côté, les comportements et les symptômes pervers, et, de l’autre, la structure perverse. Les premiers sont des signes par lesquels les perversions s’expriment, tandis que la structure perverse est un mode inconscient d’organisation qui est stable, voire permanent, et qui détermine un fonctionnement psychique précis. En outre, les symptômes pervers peuvent se manifester de manière occasionnelle, alors que la structure inconsciente de la personne n’est pas précise, et lors de crises ou face à des traumatismes déstabilisants. Dans ce cas, ils n’ont pas tendance à se reproduire. Dès lors, la conduite thérapeutique sera différente…"
"Mode de fonctionnement préférentiel".


"Plus confortable", "plus gratifiant pour eux"

"Ce comportement camoufle en fait une forte hostilité"

Ouais ouais ouais...
Sinon y'a ça aussi : https://www.youtube.com/watch?v=sODZLSHJm6Q
Surtout quand on réussit l'exploit de confondre un film pornographique, avec une actrice qui frappe à une porte, et puis un gars qui se pointe et qui dit qu'il a pas le temps parce-qu'il a du travail avec l'étreinte de Squall et Linoa.

Ah tu sais que y'en a du fin analyste de la NSA qui n'arrive pas à déterminer qui est le plus pervers entre le duc et Karl Hungus dans The Big Lebowski

Et n'allez surtout pas chercher un rapport avec le destin de ceux qui critiquent l'armée américaine. Parce-que là bon...
Sans commentaires.
