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En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 11:20
par Corvo
Vive la France ! :f_fr: Comme quoi face à l'extrême droite il faut savoir prendre des précautions et c'est ce qu'a fait la France en inscrivant dans la Constitution la « liberté garantie » à l'IVG.

Les Italiennes doivent obtenir un certificat médical pour pouvoir avorter. Désormais, des militants anti-IVG pourront venir tenter de dissuader les femmes de recourir à une IVG.

ITALIE - Une nouvelle plus qu’inquiétante pour les droits des femmes. La décision des députés italiens d’autoriser la présence de militants ou d’organisations anti-avortement au sein des cliniques et centres médicaux qui délivrent les attestations médicales pour avorter provoque l’indignation de l’opposition de gauche ce mercredi 17 avril.

Cette décision, adoptée par amendement dans un paquet de lois voulues par le gouvernement d’extrême droite de Giorgia Meloni, donne encore un sérieux coup d’accélérateur à la volonté de la Première ministre de réduire l’accès à l’IVG dans le pays en en dissuadant les Italiennes par tous les moyens. Quitte à ce que les associations anti-avortement occupent une place de choix dans les cliniques italiennes.

Pourtant, le vice-Premier ministre Antonio Tajani assure que la nouvelle mesure, qui doit encore être adoptée par le Sénat − ce qui sera visiblement le cas −, n’a pas pour objectif de faire changer la loi sur l’avortement en Italie (« loi 194 »), adoptée en 1978. Il prône néanmoins l’absence de criminalisation de « ceux qui sont contre l’avortement ». Et ajoute que la « liberté de conscience » sera « toujours permise sur des questions de ce type ».

Vive émotion dans l’opposition
Sans grande surprise, cette mesure – qui sera d’ailleurs financée par le fonds de relance post-Covid de l’UE, dont l’Italie est le plus grand bénéficiaire – a été dénoncée sous tous les angles par l’opposition. Et plusieurs élus du Parti démocrate (centre gauche) ont utilisé des mots forts concernant cette décision votée mardi au Parlement.

« La droite continue d’afficher sa nature nostalgique et sa vision obscurantiste et patriarcale en essayant, par tous les moyens, d’éroder les droits des femmes. C’est honteux », a notamment réagi Silvia Roggiani, députée du Parti démocrate. Même son de cloche pour son collègue Marco Furfaro, chargé des questions sociales, qui évoque pour La Repubblica « une gifle pour les femmes, leurs droits et leur autodétermination ». La cheffe du parti, Elly Schlein, évoque quant à elle une « «grave attaque contre la liberté des femmes ».

Le constat est d’ailleurs le même (ou presque) pour les députés du Mouvement Cinq Étoiles, qui dénoncent d’une même voix un nouveau pas en arrière de l’Italie gouvernée par Giorgia Meloni.

Discrète stratégie
Mais derrière cette mesure controversée, The Guardian rappelle qu’en Italie, plusieurs régions dirigées par la droite ont déjà voté en faveur du financement de groupes de pression visant à s’infiltrer dans les cliniques de consultation délivrant le certificat médical permettant d’avorter en toute sécurité.

Pour autant, Jacopo Coghe, porte-parole de l’organisation anti-avortement Pro Vita, assurait avant le vote au Parlement que le but ne serait pas d’entrer concrètement dans les cliniques de consultation, mais plutôt de « revenir à la fonction initiale » de ces centres médicaux. Qui est, selon ce membre de la plus grande organisation anti-IVG italienne, « d’aider les femmes à trouver des alternatives concrètes à l’avortement ».

Pour ce faire, Jacopo Coghe compte notamment sur la « sensibilisation du public et l’influence politique à travers des campagnes nationales ».

Il faut dire qu’en Italie, les propositions d’alternatives à l’IVG sont de plus en plus fréquemment utilisées par les professionnels de santé pour refuser d’interrompre une grossesse. Ils avancent pour cela des arguments moraux ou religieux. D’ailleurs, selon les chiffres relayés par Rai News 24, 63 % des gynécologues italiens refusent de pratiquer l’IVG. Un chiffre en constante progression du fait de la discrète politique menée par le Giorgia Meloni pour réduire l’accès à l’avortement dans le pays.

Preuve en est dans la région des Marches. Située sur les bords de l’Adriatique, cette région dirigée par Frères d’Italie, le parti de la Première ministre italienne, a fortement restreint l’accès à la pilule abortive. Et ce, avant même l’arrivée de Giorgia Meloni au pouvoir en septembre 2022.

https://www.huffingtonpost.fr/internati ... 32782.html

Marine le Pen et Marion Maréchal devaient en rêver Giorgia Meloni l'a fait.

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 11:45
par gare au gorille
Corvo a écrit : 19 avril 2024 11:20 Vive la France ! :f_fr: Comme quoi face à l'extrême droite il faut savoir prendre des précautions et c'est ce qu'a fait la France en inscrivant dans la Constitution la « liberté garantie » à l'IVG.

Les Italiennes doivent obtenir un certificat médical pour pouvoir avorter. Désormais, des militants anti-IVG pourront venir tenter de dissuader les femmes de recourir à une IVG.

ITALIE - Une nouvelle plus qu’inquiétante pour les droits des femmes. La décision des députés italiens d’autoriser la présence de militants ou d’organisations anti-avortement au sein des cliniques et centres médicaux qui délivrent les attestations médicales pour avorter provoque l’indignation de l’opposition de gauche ce mercredi 17 avril.

Cette décision, adoptée par amendement dans un paquet de lois voulues par le gouvernement d’extrême droite de Giorgia Meloni, donne encore un sérieux coup d’accélérateur à la volonté de la Première ministre de réduire l’accès à l’IVG dans le pays en en dissuadant les Italiennes par tous les moyens. Quitte à ce que les associations anti-avortement occupent une place de choix dans les cliniques italiennes.

Pourtant, le vice-Premier ministre Antonio Tajani assure que la nouvelle mesure, qui doit encore être adoptée par le Sénat − ce qui sera visiblement le cas −, n’a pas pour objectif de faire changer la loi sur l’avortement en Italie (« loi 194 »), adoptée en 1978. Il prône néanmoins l’absence de criminalisation de « ceux qui sont contre l’avortement ». Et ajoute que la « liberté de conscience » sera « toujours permise sur des questions de ce type ».

Vive émotion dans l’opposition
Sans grande surprise, cette mesure – qui sera d’ailleurs financée par le fonds de relance post-Covid de l’UE, dont l’Italie est le plus grand bénéficiaire – a été dénoncée sous tous les angles par l’opposition. Et plusieurs élus du Parti démocrate (centre gauche) ont utilisé des mots forts concernant cette décision votée mardi au Parlement.

« La droite continue d’afficher sa nature nostalgique et sa vision obscurantiste et patriarcale en essayant, par tous les moyens, d’éroder les droits des femmes. C’est honteux », a notamment réagi Silvia Roggiani, députée du Parti démocrate. Même son de cloche pour son collègue Marco Furfaro, chargé des questions sociales, qui évoque pour La Repubblica « une gifle pour les femmes, leurs droits et leur autodétermination ». La cheffe du parti, Elly Schlein, évoque quant à elle une « «grave attaque contre la liberté des femmes ».

Le constat est d’ailleurs le même (ou presque) pour les députés du Mouvement Cinq Étoiles, qui dénoncent d’une même voix un nouveau pas en arrière de l’Italie gouvernée par Giorgia Meloni.

Discrète stratégie
Mais derrière cette mesure controversée, The Guardian rappelle qu’en Italie, plusieurs régions dirigées par la droite ont déjà voté en faveur du financement de groupes de pression visant à s’infiltrer dans les cliniques de consultation délivrant le certificat médical permettant d’avorter en toute sécurité.

Pour autant, Jacopo Coghe, porte-parole de l’organisation anti-avortement Pro Vita, assurait avant le vote au Parlement que le but ne serait pas d’entrer concrètement dans les cliniques de consultation, mais plutôt de « revenir à la fonction initiale » de ces centres médicaux. Qui est, selon ce membre de la plus grande organisation anti-IVG italienne, « d’aider les femmes à trouver des alternatives concrètes à l’avortement ».

Pour ce faire, Jacopo Coghe compte notamment sur la « sensibilisation du public et l’influence politique à travers des campagnes nationales ».

Il faut dire qu’en Italie, les propositions d’alternatives à l’IVG sont de plus en plus fréquemment utilisées par les professionnels de santé pour refuser d’interrompre une grossesse. Ils avancent pour cela des arguments moraux ou religieux. D’ailleurs, selon les chiffres relayés par Rai News 24, 63 % des gynécologues italiens refusent de pratiquer l’IVG. Un chiffre en constante progression du fait de la discrète politique menée par le Giorgia Meloni pour réduire l’accès à l’avortement dans le pays.

Preuve en est dans la région des Marches. Située sur les bords de l’Adriatique, cette région dirigée par Frères d’Italie, le parti de la Première ministre italienne, a fortement restreint l’accès à la pilule abortive. Et ce, avant même l’arrivée de Giorgia Meloni au pouvoir en septembre 2022.

https://www.huffingtonpost.fr/internati ... 32782.html

Marine le Pen et Marion Maréchal devaient en rêver Giorgia Meloni l'a fait.


Boff, ce n'est en rien une remise en cause des lois IVG par madame Méloni . Prenez juste une tisane pour calmer vos petites vapeurs.

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 12:05
par Corvo
gare au gorille a écrit : 19 avril 2024 11:45
Corvo a écrit : 19 avril 2024 11:20 Vive la France ! :f_fr: Comme quoi face à l'extrême droite il faut savoir prendre des précautions et c'est ce qu'a fait la France en inscrivant dans la Constitution la « liberté garantie » à l'IVG.

Les Italiennes doivent obtenir un certificat médical pour pouvoir avorter. Désormais, des militants anti-IVG pourront venir tenter de dissuader les femmes de recourir à une IVG.

ITALIE - Une nouvelle plus qu’inquiétante pour les droits des femmes. La décision des députés italiens d’autoriser la présence de militants ou d’organisations anti-avortement au sein des cliniques et centres médicaux qui délivrent les attestations médicales pour avorter provoque l’indignation de l’opposition de gauche ce mercredi 17 avril.

Cette décision, adoptée par amendement dans un paquet de lois voulues par le gouvernement d’extrême droite de Giorgia Meloni, donne encore un sérieux coup d’accélérateur à la volonté de la Première ministre de réduire l’accès à l’IVG dans le pays en en dissuadant les Italiennes par tous les moyens. Quitte à ce que les associations anti-avortement occupent une place de choix dans les cliniques italiennes.

Pourtant, le vice-Premier ministre Antonio Tajani assure que la nouvelle mesure, qui doit encore être adoptée par le Sénat − ce qui sera visiblement le cas −, n’a pas pour objectif de faire changer la loi sur l’avortement en Italie (« loi 194 »), adoptée en 1978. Il prône néanmoins l’absence de criminalisation de « ceux qui sont contre l’avortement ». Et ajoute que la « liberté de conscience » sera « toujours permise sur des questions de ce type ».

Vive émotion dans l’opposition
Sans grande surprise, cette mesure – qui sera d’ailleurs financée par le fonds de relance post-Covid de l’UE, dont l’Italie est le plus grand bénéficiaire – a été dénoncée sous tous les angles par l’opposition. Et plusieurs élus du Parti démocrate (centre gauche) ont utilisé des mots forts concernant cette décision votée mardi au Parlement.

« La droite continue d’afficher sa nature nostalgique et sa vision obscurantiste et patriarcale en essayant, par tous les moyens, d’éroder les droits des femmes. C’est honteux », a notamment réagi Silvia Roggiani, députée du Parti démocrate. Même son de cloche pour son collègue Marco Furfaro, chargé des questions sociales, qui évoque pour La Repubblica « une gifle pour les femmes, leurs droits et leur autodétermination ». La cheffe du parti, Elly Schlein, évoque quant à elle une « «grave attaque contre la liberté des femmes ».

Le constat est d’ailleurs le même (ou presque) pour les députés du Mouvement Cinq Étoiles, qui dénoncent d’une même voix un nouveau pas en arrière de l’Italie gouvernée par Giorgia Meloni.

Discrète stratégie
Mais derrière cette mesure controversée, The Guardian rappelle qu’en Italie, plusieurs régions dirigées par la droite ont déjà voté en faveur du financement de groupes de pression visant à s’infiltrer dans les cliniques de consultation délivrant le certificat médical permettant d’avorter en toute sécurité.

Pour autant, Jacopo Coghe, porte-parole de l’organisation anti-avortement Pro Vita, assurait avant le vote au Parlement que le but ne serait pas d’entrer concrètement dans les cliniques de consultation, mais plutôt de « revenir à la fonction initiale » de ces centres médicaux. Qui est, selon ce membre de la plus grande organisation anti-IVG italienne, « d’aider les femmes à trouver des alternatives concrètes à l’avortement ».

Pour ce faire, Jacopo Coghe compte notamment sur la « sensibilisation du public et l’influence politique à travers des campagnes nationales ».

Il faut dire qu’en Italie, les propositions d’alternatives à l’IVG sont de plus en plus fréquemment utilisées par les professionnels de santé pour refuser d’interrompre une grossesse. Ils avancent pour cela des arguments moraux ou religieux. D’ailleurs, selon les chiffres relayés par Rai News 24, 63 % des gynécologues italiens refusent de pratiquer l’IVG. Un chiffre en constante progression du fait de la discrète politique menée par le Giorgia Meloni pour réduire l’accès à l’avortement dans le pays.

Preuve en est dans la région des Marches. Située sur les bords de l’Adriatique, cette région dirigée par Frères d’Italie, le parti de la Première ministre italienne, a fortement restreint l’accès à la pilule abortive. Et ce, avant même l’arrivée de Giorgia Meloni au pouvoir en septembre 2022.

https://www.huffingtonpost.fr/internati ... 32782.html

Marine le Pen et Marion Maréchal devaient en rêver Giorgia Meloni l'a fait.


Boff, ce n'est en rien une remise en cause des lois IVG par madame Méloni . Prenez juste une tisane pour calmer vos petites vapeurs.
Et ça c'est du Parmigiano Reggiano ?...

"Cette décision, adoptée par amendement dans un paquet de lois voulues par le gouvernement d’extrême droite de Giorgia Meloni, donne encore un sérieux coup d’accélérateur à la volonté de la Première ministre de réduire l’accès à l’IVG dans le pays en en dissuadant les Italiennes par tous les moyens. Quitte à ce que les associations anti-avortement occupent une place de choix dans les cliniques italiennes."

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 12:09
par Kelenner
Un écran de fumée pour tenter, probablement en vain, de faire oublier son bilan catastrophique à la tête du pays. On peut s'attendre aux mêmes guignolades de la part de nos pitres RNPoutineux.

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 13:04
par Fonck1
Le nationalisme dans toute sa splendeur….

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 14:12
par gare au gorille
Fonck1 a écrit : 19 avril 2024 13:04 Le nationalisme dans toute sa splendeur….

Boff, aucun rapport avec du nationalisme.

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 14:36
par Fonck1
gare au gorille a écrit : 19 avril 2024 14:12
Fonck1 a écrit : 19 avril 2024 13:04 Le nationalisme dans toute sa splendeur….

Boff, aucun rapport avec du nationalisme.

La décision des députés italiens d’autoriser la présence de militants ou d’organisations anti-avortement au sein des cliniques et centres médicaux qui délivrent les attestations médicales pour avorter provoque l’indignation de l’opposition de gauche ce mercredi 17 avril.


rappelez nous de quel côté se trouvent la majorité des députés italiens?.

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 18:06
par vivarais
Kelenner a écrit : 19 avril 2024 12:09 Un écran de fumée pour tenter, probablement en vain, de faire oublier son bilan catastrophique à la tête du pays. On peut s'attendre aux mêmes guignolades de la part de nos pitres RNPoutineux.
On gouvernement qui tient plus longtemps que les autres "la moyenne etant de 6 à 12 mois"
Rappelez nous combien a tenu le précédent avec pourtant à sa tête l'homme miracle en économie qui était economiste dans les intances européennes
mario draghi 29décembre 2021 / 14 juillet 2022
Et depuis cela faire bientot 2 ans que c'est Melloni
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mario_Draghi
La désinformation à la sovièt çà ne prend plus
C'est bien parti pour que mélloni accomplisse tout son mandat et peur être un autre :hehe:
Informez vous sur la crédibilité de vos propos avant de balancer des trucs à la soviet dont personne ne fera emblant d'y croire

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 18:38
par Corvo
vivarais a écrit : 19 avril 2024 18:06
Kelenner a écrit : 19 avril 2024 12:09 Un écran de fumée pour tenter, probablement en vain, de faire oublier son bilan catastrophique à la tête du pays. On peut s'attendre aux mêmes guignolades de la part de nos pitres RNPoutineux.
On gouvernement qui tient plus longtemps que les autres "la moyenne etant de 6 à 12 mois"
Rappelez nous combien a tenu le précédent avec pourtant à sa tête l'homme miracle en économie qui était economiste dans les intances européennes
mario draghi 29décembre 2021 / 14 juillet 2022
Et depuis cela faire bientot 2 ans que c'est Melloni
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mario_Draghi
La désinformation à la sovièt çà ne prend plus
C'est bien parti pour que mélloni accomplisse tout son mandat et peur être un autre :hehe:
Informez vous sur la crédibilité de vos propos avant de balancer des trucs à la soviet dont personne ne fera emblant d'y croire
Encore une fois vivarais est complètement hors sujet. Vous avez lu l'intitulé du fil ou bien...? Ah j'ai compris vous vous êtes gourré de fil.

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 18:50
par gare au gorille
Fonck1 a écrit : 19 avril 2024 14:36
gare au gorille a écrit : 19 avril 2024 14:12


Boff, aucun rapport avec du nationalisme.

La décision des députés italiens d’autoriser la présence de militants ou d’organisations anti-avortement au sein des cliniques et centres médicaux qui délivrent les attestations médicales pour avorter provoque l’indignation de l’opposition de gauche ce mercredi 17 avril.


rappelez nous de quel côté se trouvent la majorité des députés italiens?.

Ils se trouvent du coté de la majorité des électeurs Italiens qui ont voté pour que ce parti politique les représente. Cela s'appelle la démocratie et il n'y a pas de meilleurs systèmes. L'indignation de la gauche ils s'en tapent un peu et ils ont bien raison, d'ailleurs chez nous aussi la gauche s'indigne souvent et pas forcément pour les meilleurs causes.

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 18:57
par oups
Moi ce qui m’étonne c’est que l’on puisse penser les patientes suffisamment " influençables" pour risquer de changer d’avis suite au passage d’une paire de grenouilles de bénitiers en ruth. .Voilà est on obligé de prendre ces dames pour des connes et de penser qu’en tout on puisse être trop informé ? :-/
Mais bon le temps est au musellement du gars avec qui on est pas trop d’accord .On régresse quoi :cry:

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 19:07
par Corvo
gare au gorille a écrit : 19 avril 2024 18:50
Fonck1 a écrit : 19 avril 2024 14:36

La décision des députés italiens d’autoriser la présence de militants ou d’organisations anti-avortement au sein des cliniques et centres médicaux qui délivrent les attestations médicales pour avorter provoque l’indignation de l’opposition de gauche ce mercredi 17 avril.


rappelez nous de quel côté se trouvent la majorité des députés italiens?.

Ils se trouvent du coté de la majorité des électeurs Italiens qui ont voté pour que ce parti politique les représente. Cela s'appelle la démocratie et il n'y a pas de meilleurs systèmes. L'indignation de la gauche ils s'en tapent un peu et ils ont bien raison, d'ailleurs chez nous aussi la gauche s'indigne souvent et pas forcément pour les meilleurs causes.
À votre avis qu'en pense les femmes Italiennes qui pour des raisons personnelles sont dans ces cliniques pour se faire avorter ? Vous croyez qu'elles ont envie qu'une bande de cinglés culs bénis viennent les inciter à renoncer à avorter ?

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 19:09
par gare au gorille
Corvo a écrit : 19 avril 2024 19:07
gare au gorille a écrit : 19 avril 2024 18:50


Ils se trouvent du coté de la majorité des électeurs Italiens qui ont voté pour que ce parti politique les représente. Cela s'appelle la démocratie et il n'y a pas de meilleurs systèmes. L'indignation de la gauche ils s'en tapent un peu et ils ont bien raison, d'ailleurs chez nous aussi la gauche s'indigne souvent et pas forcément pour les meilleurs causes.
À votre avis qu'en pense les femmes Italiennes qui pour des raisons personnelles sont dans ces cliniques pour se faire avorter ? Vous croyez qu'elles ont envie qu'une bande de cinglés culs bénis viennent les inciter à renoncer à avorter ?
Les femmes Italiennes ont un bulletin de vote, même si cela semble vous contrarier.

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 19:11
par Corvo
gare au gorille a écrit : 19 avril 2024 19:09
Corvo a écrit : 19 avril 2024 19:07

À votre avis qu'en pense les femmes Italiennes qui pour des raisons personnelles sont dans ces cliniques pour se faire avorter ? Vous croyez qu'elles ont envie qu'une bande de cinglés culs bénis viennent les inciter à renoncer à avorter ?
Les femmes Italiennes ont un bulletin de vote, même si cela semble vous contrarier.
Répondez plutôt à la question.

Re: En Italie, les associations anti-IVG auront bientôt le droit d’entrer directement dans les cliniques italiennes

Posté : 19 avril 2024 19:12
par oups
gare au gorille a écrit : 19 avril 2024 18:50
Fonck1 a écrit : 19 avril 2024 14:36

La décision des députés italiens d’autoriser la présence de militants ou d’organisations anti-avortement au sein des cliniques et centres médicaux qui délivrent les attestations médicales pour avorter provoque l’indignation de l’opposition de gauche ce mercredi 17 avril.


rappelez nous de quel côté se trouvent la majorité des députés italiens?.

Ils se trouvent du coté de la majorité des électeurs Italiens qui ont voté pour que ce parti politique les représente. Cela s'appelle la démocratie et il n'y a pas de meilleurs systèmes. L'indignation de la gauche ils s'en tapent un peu et ils ont bien raison, d'ailleurs chez nous aussi la gauche s'indigne souvent et pas forcément pour les meilleurs causes.
Ah mais s’indigner devient pour certain un job full time , ça occupe et permet de se croire plus beau qu’on ne l’est :]
Ça me penser à un reportage sur la Lithuanie vu récemment .La bas quand on est pas trop " investi " on paye des gars pour aller pleurer ses morts dans les cimetières .Une idee de boulot pour certain ailleurs et ici :gene3: