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le voleur termine avec une courgette dans les fesses


Hérault : surpris en flagrant délit, le voleur termine avec une courgette dans les fesses
Le 29 novembre, un ancien salarié accusé de vol est victime de sévices dans une épicerie. Quatre personnes sont poursuivies et placées sous contrôle judiciaire en attendant leur procès prévu le 21 février.

À Paulhan, à l’ouest de Montpellier, les gérants d’une épicerie et deux employés sont accusés d’avoir séquestré et agressé violemment un ancien salarié. Selon les informations de MidiLibre, cet homme aurait été surpris en train de voler des produits dans l’épicerie grâce à un code qu’il avait conservé.

Le 29 novembre dernier, les faits dégénèrent : l’individu est maîtrisé, ligoté dans une chambre froide et roué de coups, notamment avec un manche en bois. Une tentative d’acte sexuel avec une courgette, finalement brisée, aurait également eu lieu, mais n’a pas encore été retenue comme un viol par le parquet. Les blessures de l’individu ont conduit à une incapacité totale de travail de 21 jours.

Les magistrats ont décidé de renvoyer l’affaire au 21 février afin d’examiner les faits en profondeur. En attendant, les quatre accusés sont soumis à un contrôle judiciaire strict.

Fonck1 a écrit : ↑10 janvier 2025 18:27

le voleur termine avec une courgette dans les fesses


Hérault : surpris en flagrant délit, le voleur termine avec une courgette dans les fesses
Le 29 novembre, un ancien salarié accusé de vol est victime de sévices dans une épicerie. Quatre personnes sont poursuivies et placées sous contrôle judiciaire en attendant leur procès prévu le 21 février.

À Paulhan, à l’ouest de Montpellier, les gérants d’une épicerie et deux employés sont accusés d’avoir séquestré et agressé violemment un ancien salarié. Selon les informations de MidiLibre, cet homme aurait été surpris en train de voler des produits dans l’épicerie grâce à un code qu’il avait conservé.

Le 29 novembre dernier, les faits dégénèrent : l’individu est maîtrisé, ligoté dans une chambre froide et roué de coups, notamment avec un manche en bois. Une tentative d’acte sexuel avec une courgette, finalement brisée, aurait également eu lieu, mais n’a pas encore été retenue comme un viol par le parquet. Les blessures de l’individu ont conduit à une incapacité totale de travail de 21 jours.

Les magistrats ont décidé de renvoyer l’affaire au 21 février afin d’examiner les faits en profondeur. En attendant, les quatre accusés sont soumis à un contrôle judiciaire strict.

Fonck1 a écrit : ↑10 janvier 2025 18:27

le voleur termine avec une courgette dans les fesses


Hérault : surpris en flagrant délit, le voleur termine avec une courgette dans les fesses
Le 29 novembre, un ancien salarié accusé de vol est victime de sévices dans une épicerie. Quatre personnes sont poursuivies et placées sous contrôle judiciaire en attendant leur procès prévu le 21 février.

À Paulhan, à l’ouest de Montpellier, les gérants d’une épicerie et deux employés sont accusés d’avoir séquestré et agressé violemment un ancien salarié. Selon les informations de MidiLibre, cet homme aurait été surpris en train de voler des produits dans l’épicerie grâce à un code qu’il avait conservé.

Le 29 novembre dernier, les faits dégénèrent : l’individu est maîtrisé, ligoté dans une chambre froide et roué de coups, notamment avec un manche en bois. Une tentative d’acte sexuel avec une courgette, finalement brisée, aurait également eu lieu, mais n’a pas encore été retenue comme un viol par le parquet. Les blessures de l’individu ont conduit à une incapacité totale de travail de 21 jours.

Les magistrats ont décidé de renvoyer l’affaire au 21 février afin d’examiner les faits en profondeur. En attendant, les quatre accusés sont soumis à un contrôle judiciaire strict.

LeGrandNoir a écrit : ↑10 janvier 2025 22:52 Celle-ci aussi je n'avais pas osé, de peur d'une vague de plaisanteries homophobes ou douteuses.

Sinon, les gars qui ont fait cela ne sont pas très malins, une rossée suffisait.

Kabé a écrit : ↑12 janvier 2025 19:11 Les courgettes ne sont plus ce qu'elles étaient. Ça doit être la faute de Bruxelles !