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Depuis 70 ans, le concours annuel de photographies reconnaît les plus grandes œuvres produites l’année précédente. Cette année le cliché lauréat a été capturé par la photographe palestinienne Samar Abu Elouf pour le «New York Times».

La photo d’un garçon palestinien de neuf ans, qui a perdu ses deux bras alors qu’il fuyait une attaque israélienne à Gaza, a remporté ce jeudi 17 avril le premier prix du World Press Photo 2025. L’image, capturée par la photographe palestinienne Samar Abu Elouf pour le New York Times, est un portrait du jeune Mahmoud Ajjour, évacué à Doha après qu’une explosion lui a arraché un bras et mutilé l’autre en 2024. «L’une des choses les plus difficiles que la mère de Mahmoud m’ait expliquées, c’est que lorsque Mahmoud a compris que ses bras étaient amputés, la première phrase qu’il lui a dite a été : «Comment vais-je pouvoir te serrer dans mes bras», a expliqué Samar Abu Elouf. Originaire de Gaza, la photographe a également été évacuée en décembre 2023. Elle tire désormais le portrait de Palestiniens gravement blessés par la guerre, installés à Doha.

https://www.liberation.fr/international ... XA4XHZUFY/

J'aurais pu esquisser une blague mal placée du genre "il ne l'a pas volé" , mais non, je retire, c'est vraiment mal placé.

Fonck1 a écrit : ↑17 avril 2025 21:02 J'aurais pu esquisser une blague mal placée du genre "il ne l'a pas volé" , mais non, je retire, c'est vraiment mal placé.

Surtout que ça ne prête pas vraiment à rire.

Corvo a écrit : ↑17 avril 2025 20:16 ..................................

Depuis 70 ans, le concours annuel de photographies reconnaît les plus grandes œuvres produites l’année précédente. Cette année le cliché lauréat a été capturé par la photographe palestinienne Samar Abu Elouf pour le «New York Times».

La photo d’un garçon palestinien de neuf ans, qui a perdu ses deux bras alors qu’il fuyait une attaque israélienne à Gaza, a remporté ce jeudi 17 avril le premier prix du World Press Photo 2025. L’image, capturée par la photographe palestinienne Samar Abu Elouf pour le New York Times, est un portrait du jeune Mahmoud Ajjour, évacué à Doha après qu’une explosion lui a arraché un bras et mutilé l’autre en 2024. «L’une des choses les plus difficiles que la mère de Mahmoud m’ait expliquées, c’est que lorsque Mahmoud a compris que ses bras étaient amputés, la première phrase qu’il lui a dite a été : «Comment vais-je pouvoir te serrer dans mes bras», a expliqué Samar Abu Elouf. Originaire de Gaza, la photographe a également été évacuée en décembre 2023. Elle tire désormais le portrait de Palestiniens gravement blessés par la guerre, installés à Doha.

https://www.liberation.fr/international ... XA4XHZUFY/

Cette photo est terrible !
Le deuxième prix aurait pu être décerné à une photo de bébés israéliens assassinés par le Hamas , si une photo existe ??
C'est cru mais cette guerre est terrible , comme toutes les autres guerres !

le chimple a écrit : ↑18 avril 2025 10:19 Cette photo est terrible !
Le deuxième prix aurait pu être décerné à une photo de bébés israéliens assassinés par le Hamas , si une photo existe ??
C'est cru mais cette guerre est terrible , comme toutes les autres guerres !

Ce n'est pas le deuxième prix mais le premier prix qu'aurait dû recevoir cette photo d'un bébé massacré par le hamas.
Pour ne pas oublier que les victimes gazaouites ne sont qu'une conséquence du 7 octobre.
Sans les massacres et les otages du 7 octobre, tous ces gazaouis vivraient encore et cet enfant n'aurait pas perdu son bras.

Que dire de plus ? Quand l'enfant dit à sa mère "je ne pourrais plus te serrer dans mes bras", cela veut dire qu'on lui a volé ce geste simple plein d'amour. Il est l'un des symboles des milliers de victimes de guerres secouant le monde par des personnages où l'intérêt personnel prime sur le collectif.

A travers cette photo, on imagine l'avenir de ce jeune qui ne pourra pas aider sa mère lorsque cette dernière, une fois âgée, deviendra dépendante de son fils. Les guerres, ce sont des milliers de familles détruites, d'avenir amputés, de souffrances inutiles.

Et n'oublions pas que la haine et l'argent sont les premiers moteurs de ces atrocités.

J'ai connu un légionnaire qui avait perdu ses deux bras à Ðiện Biên Phủ.
Lui s'était battu pour la France.

Victor a écrit : ↑18 avril 2025 10:33 J'ai connu un légionnaire qui avait perdu ses deux bras à Ðiện Biên Phủ.
Lui s'était battu pour la France.

Vous voulez qu'un enfant de 9 ans se batte pour qui ?...
Sinon Il était mince, il était beau, Il sentait bon le sable chaud votre légionnaire ?

Victor a écrit : ↑18 avril 2025 10:27

le chimple a écrit : ↑18 avril 2025 10:19 Cette photo est terrible !
Le deuxième prix aurait pu être décerné à une photo de bébés israéliens assassinés par le Hamas , si une photo existe ??
C'est cru mais cette guerre est terrible , comme toutes les autres guerres !

Ce n'est pas le deuxième prix mais le premier prix qu'aurait dû recevoir cette photo d'un bébé massacré par le hamas.
Pour ne pas oublier que les victimes gazaouites ne sont qu'une conséquence du 7 octobre.
Sans les massacres et les otages du 7 octobre, tous ces gazaouis vivraient encore et cet enfant n'aurait pas perdu son bras.

Quand je vous dis que vous êtes un voyeur et morbide en plus.

Victor a écrit : ↑18 avril 2025 10:33 J'ai connu un légionnaire qui avait perdu ses deux bras à Ðiện Biên Phủ.
Lui s'était battu pour la France.

Oui, et à Diên Biên Phu, des civils ont été massacrés et leurs membres amputés par la folie de certains légionnaires étrangers. Car je suppose qu'ils ne demandaient qu'à vivre en paix et non à se faire envahir par des soldats étrangers.

Cela démontre bien que la guerre détruit des familles du côté de l'envahisseur et de ses victimes.
On le voit également dans la guerre en Ukraine.

Et pendant que ces hommes se font découpés en morceaux, de très hauts gradés (je parle des envahisseurs) sont protégés dans leurs abris, entourés de gardes du corps, profitant de la bonne chair et des bons vins, pendant que leurs soldats donnent leur vie pour une folie qui n'est pas la leur.

On a un bel exemple : Vladimir Poutine loin de ce conflit, à l'abri dans son bunker, pendant que ses soldats, et des soldats étrangers, courrent vers une mort certaine.
Et le courageux V. Zélenski, que certains ici critiquent, a refusé de partir pour rester auprès de ses hommes et partageant avec eux leurs quotidients. C'est là que l'on voit le vrai courage, le courage de ceux pour qui la liberté est bien plus qu'un simple mot.

Corvo a écrit : ↑18 avril 2025 10:43

Victor a écrit : ↑18 avril 2025 10:33 J'ai connu un légionnaire qui avait perdu ses deux bras à Ðiện Biên Phủ.
Lui s'était battu pour la France.

Vous voulez qu'un enfant de 9 ans se batte pour qui ?...
Sinon Il était mince, il était beau, Il sentait bon le sable chaud votre légionnaire ?

Une fois adolescent et adulte, cet enfant aura du mal à utiliser une arme à feu.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour la paix dans la région, vous ne trouvez pas ?

Victor a écrit : ↑18 avril 2025 13:21

Corvo a écrit : ↑18 avril 2025 10:43

Vous voulez qu'un enfant de 9 ans se batte pour qui ?...
Sinon Il était mince, il était beau, Il sentait bon le sable chaud votre légionnaire ?

Une fois adolescent et adulte, cet enfant aura du mal à utiliser une arme à feu.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour la paix dans la région, vous ne trouvez pas ?

Si cela avait été votre fils, vous seriez le premier à gueuler sur ses tortionnaires.
J'espère qu'il ne s'agit que d'humour noir de votre part.

Il ne pourra pas non plus aider sa mère lorsqu'il sera adulte et elle, très âgée, ni la serrer dans ses bras.
Je suppose que vous ferez les travaux des champs et ramener de l'argent à sa famille à sa place ?

Victor a écrit : ↑18 avril 2025 13:21

Corvo a écrit : ↑18 avril 2025 10:43

Vous voulez qu'un enfant de 9 ans se batte pour qui ?...
Sinon Il était mince, il était beau, Il sentait bon le sable chaud votre légionnaire ?

Une fois adolescent et adulte, cet enfant aura du mal à utiliser une arme à feu.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour la paix dans la région, vous ne trouvez pas ?

Elle aussi aura du mal à utiliser une arme à feu.

Cela dit et s’agissant d’un grand prix photo , ce portrait ( au 50 mm sûrement ) est assez quelconque.Deja vu des photos de Philippe Croizon plus " lechees " Bon après on récompense bien a Cannes dans le cadre d'un festival cinématographique Ken Loach ou les frères Dardenne.Bref que la vie doit être dure pour un photographe non palestinien qui veut remporter un prix ces dernières années

oups a écrit : ↑18 avril 2025 14:01 Cela dit et s’agissant d’un grand prix photo , ce portrait ( au 50 ou 85mm) est assez quelconque.Deja vu des photos de Philippe Croizon plus " lechees " Bon après on récompense bien a Cannes dans le cadre d'un festival cinématographique Ken Loach ou les frères Dardenne

Peut-être que Croizon devrait changer de nom.