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Rusé le Russe ?...

Survol du Danemark par des drones : des militaires français à bord du navire fantôme russe immobilisé au large de Saint-Nazaire

Le pétrolier russe stagne au large du parc éolien de Saint-Nazaire, près des eaux territoriales françaises depuis plusieurs jours. Une enquête a été ouverte par le parquet de Brest. Ce navire pourrait être en lien avec le survol de drones au-dessus de l'aéroport de Copenhague au Danemark le 22 septembre dernier.

Le pétrolier russe est un navire long de 244 mètres. Son nom : le Pushpa, mais aussi Boraçay. Officiellement, il bat pavillon béninois. Il est parti de Russie il y a une dizaine de jours et était attendu à Vadinar en Inde dans trois semaines.

Il est soupçonné d'appartenir à la flotte fantôme russe composée de navires pétroliers utilisés par la Russie pour exporter son pétrole malgré les sanctions internationales.

Ce navire fantôme est également soupçonné d'avoir servi de plateforme de lancement pour les drones qui ont survolé les aéroports de Copenhague au Danemark et d'Oslo en Norvège le 22 septembre dernier provoquant la panique et l'annulation de nombreux vols aériens.

Le navire a donc été immobilisé près du parc éolien au large de Saint-Nazaire.

D'après la Marine nationale, un patrouilleur a été envoyé sur place pour le surveiller.

Selon l'un de nos journalistes qui a survolé le navire en milieu d'après-midi ce mercredi, une dizaine de militaires français seraient à bord.

D'après la rédaction internationale de France Info, le parquet maritime de Brest a ouvert une enquête pour "suspicion de violation de la loi à bord", "défaut de documentation de la nationalité et du pavillon du navire" et pour "refus d'obtempérer aux instructions des autorités".

D'après le site Vessel Finder, qui permet de suivre la position d'un bateau en temps réel, "le navire fait route vers Valdinar, en Inde, où il devrait arriver le 20 octobre à 1h".

Le navire, que l'on trouve sous le nom de Boraçay dans Vessel Finder, est un pétrolier construit en 2007, battant actuellement pavillon béninois.

https://france3-regions.franceinfo.fr/p ... 25728.html

Et stupide les pays de l'OTAN
Tout au long de son trajet ce rafiot pourrait être victimes de pirates et disparaitre au large de l'Afrique et l'équipage sauvé par un rafiot sous pavillon de complaisance suivant le même couloir maritime
Est ce que poutine pourrait se plaindre de la disparation d'un bateau qui n'est pas de sa nationalité ou même les indiens à qui le pétrole est destiné
Peut être l'armateur grec à qui appartient cette épave encore à flot ?

le bateau n'est pas à lui, mais ce qu'il y a dans les cales oui....

Fonck1 a écrit : ↑02 octobre 2025 09:36 le bateau n'est pas à lui, mais ce qu'il y a dans les cales oui....

Mais il ne niera prétendant que cela a été mis pour lui nuire
Pour l'instant il n'y a pas de réaction des russes comme s'ils étaient étrangers à cela
C'est l'omerta du coté de Poutine

Le rafiot bat pavillon béninois, sauf que le bénin ne le connaît pas. Tout comme les russes qui n'ont jamais entendu parler de cette épave.
Une bonne raison pour le stopper et le cas échéant lui pomper ses 200000 tonnes de brut, les vacances de la Toussaint approchent, les voitures ont besoin de carburant.

Mickey a écrit : ↑02 octobre 2025 13:57 Le rafiot bat pavillon béninois, sauf que le bénin ne le connaît pas. Tout comme les russes qui n'ont jamais entendu parler de cette épave.
Une bonne raison pour le stopper et le cas échéant lui pomper ses 200000 tonnes de brut, les vacances de la Toussaint approchent, les voitures ont besoin de carburant.

tu as parfaitement raison ,,, on pourrait invoquer des raisons de sécurité (menaces de pollution) ,,, puis bazarder à la ferraille le rafiot ; c'est tout bénef
bon ,on entendrait parler d'acte de piraterie ,,,,, pendant une semaine

Couler un tel bateau ? Attention à la marée noire s'il transporte du pétrole !!!!

Agnostirex a écrit : ↑02 octobre 2025 17:20 Couler un tel bateau ? Attention à la marée noire s'il transporte du pétrole !!!!

mais non ,, on le vide et on le revend à la casse (aux indes )