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Fonck1 a écrit : ↑11 septembre 2024 19:42 je pense que l'on réagit au hurlements de la gamine un peu trop sans la moindre rationalité.
moi la mienne fait ça elle en prends un autre.
on dirait du gros cinéma.

Mickey a écrit : ↑11 septembre 2024 19:58 Déjà ce n'est pas une fessée mais un gros coup dans le dos pour être ensuite être aspergé d'un liquide.
En outre on peut se demander légitimement si la place d'un mioche de trois ans est dans une école, il serait mieux dans une crèche si les parents ne peuvent s'en occuper.

oups a écrit : ↑11 septembre 2024 20:05 Bon , une instituttice qui merdoie ,une ATSEM des plus discrète ,une maman qui filme , des médias qui diffusent abondament.Comme une odeur de petites négligences cumulées , nan
Allez , on coupe le son qui fait peur et on regarde a nouveau ,tout va bien

Kelenner a écrit : ↑11 septembre 2024 20:21 Je suis enseignant en PS. L'attitude de la gamine est parfaitement normale lors d'une semaine de rentrée, au moment de la séparation le matin certains enfants sont en panique et peuvent se mettre à hurler, taper, vouloir s'enfuir ou faire de vraies crises d'hystérie. Ca dure rarement plus de quelques minutes, mais il faut être capable de supporter cela, sachant que ça peut facilement être suivi par 5 ou 10 gosses. Ce n'est pas à la portée de tout le monde, beaucoup d'enseignants même expérimentés n'ont pas le sang-froid nécessaire et ne veulent absolument pas enseigner chez les petits. Moi je suis habitué, ça ne me fait rien. Les sanctions contre l'instit sont légitimes, rien ne justifie de réagir ainsi, si elle ne se sentait pas en état psychologique de supporter une rentrée en PS il ne fallait pas le faire, et la directrice et/ou l'ATSEM auraient dû intervenir.

Ceci étant dit, je trouve le lynchage médiatique qu'elle subit assez déguelasse, avec une exagération qui confine au délire, "extrêmement choquée", "cellule d'écoute", la mère qui se répand chez Hanouna, l'avocate minable qui saute sur l'aubaine, la hiérarchie qui va la massacrer pour la simple raison que ça a été mis sur la place publique, alors qu'une explication avec les parents en présence de l'inspectrice suivie d'une sanction adaptée aurait dû suffire pour régler cette histoire. Il faut quand même savoir que dans le sens inverse, élèves comme parents peuvent absolument TOUT se permettre, frapper, insulter, tout casser dans l'école, sans qu'aucune sanction ne soit possible, ni exclusion, ni changement d'école, ni même éloignement envers les parents violents ou menaçants. C'est ce deux poids deux mesures qui est particulièrement dérangeant, surtout de la part d'une hiérarchie incompétente qui ne soutient jamais ses enseignants et est incapable de mettre les élèves et les parents à leur place.

Kelenner a écrit : ↑11 septembre 2024 20:21 Je suis enseignant en PS. L'attitude de la gamine est parfaitement normale lors d'une semaine de rentrée, au moment de la séparation le matin certains enfants sont en panique et peuvent se mettre à hurler, taper, vouloir s'enfuir ou faire de vraies crises d'hystérie. Ca dure rarement plus de quelques minutes, mais il faut être capable de supporter cela, sachant que ça peut facilement être suivi par 5 ou 10 gosses. Ce n'est pas à la portée de tout le monde, beaucoup d'enseignants même expérimentés n'ont pas le sang-froid nécessaire et ne veulent absolument pas enseigner chez les petits. Moi je suis habitué, ça ne me fait rien. Les sanctions contre l'instit sont légitimes, rien ne justifie de réagir ainsi, si elle ne se sentait pas en état psychologique de supporter une rentrée en PS il ne fallait pas le faire, et la directrice et/ou l'ATSEM auraient dû intervenir.

Ceci étant dit, je trouve le lynchage médiatique qu'elle subit assez déguelasse, avec une exagération qui confine au délire, "extrêmement choquée", "cellule d'écoute", la mère qui se répand chez Hanouna, l'avocate minable qui saute sur l'aubaine, la hiérarchie qui va la massacrer pour la simple raison que ça a été mis sur la place publique, alors qu'une explication avec les parents en présence de l'inspectrice suivie d'une sanction adaptée aurait dû suffire pour régler cette histoire. Il faut quand même savoir que dans le sens inverse, élèves comme parents peuvent absolument TOUT se permettre, frapper, insulter, tout casser dans l'école, sans qu'aucune sanction ne soit possible, ni exclusion, ni changement d'école, ni même éloignement envers les parents violents ou menaçants. C'est ce deux poids deux mesures qui est particulièrement dérangeant, surtout de la part d'une hiérarchie incompétente qui ne soutient jamais ses enseignants et est incapable de mettre les élèves et les parents à leur place.

Kelenner a écrit : ↑11 septembre 2024 20:21 Je suis enseignant en PS. L'attitude de la gamine est parfaitement normale lors d'une semaine de rentrée, au moment de la séparation le matin certains enfants sont en panique et peuvent se mettre à hurler, taper, vouloir s'enfuir ou faire de vraies crises d'hystérie. Ca dure rarement plus de quelques minutes, mais il faut être capable de supporter cela, sachant que ça peut facilement être suivi par 5 ou 10 gosses. Ce n'est pas à la portée de tout le monde, beaucoup d'enseignants même expérimentés n'ont pas le sang-froid nécessaire et ne veulent absolument pas enseigner chez les petits. Moi je suis habitué, ça ne me fait rien. Les sanctions contre l'instit sont légitimes, rien ne justifie de réagir ainsi, si elle ne se sentait pas en état psychologique de supporter une rentrée en PS il ne fallait pas le faire, et la directrice et/ou l'ATSEM auraient dû intervenir.

Ceci étant dit, je trouve le lynchage médiatique qu'elle subit assez déguelasse, avec une exagération qui confine au délire, "extrêmement choquée", "cellule d'écoute", la mère qui se répand chez Hanouna, l'avocate minable qui saute sur l'aubaine, la hiérarchie qui va la massacrer pour la simple raison que ça a été mis sur la place publique, alors qu'une explication avec les parents en présence de l'inspectrice suivie d'une sanction adaptée aurait dû suffire pour régler cette histoire. Il faut quand même savoir que dans le sens inverse, élèves comme parents peuvent absolument TOUT se permettre, frapper, insulter, tout casser dans l'école, sans qu'aucune sanction ne soit possible, ni exclusion, ni changement d'école, ni même éloignement envers les parents violents ou menaçants. C'est ce deux poids deux mesures qui est particulièrement dérangeant, surtout de la part d'une hiérarchie incompétente qui ne soutient jamais ses enseignants et est incapable de mettre les élèves et les parents à leur place.