la CFDT et la liberté d'opinion
- Mesoke
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
Hmmmm ... Et ? Quel est le rapport avec une quelconque histoire d'idéologie politique syndicale ?
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
celui que vous ne voulez pas voir
il y a anachronisme entre politique et syndicale
on peut avoir les 2 mais pas les amalgammer
rendre à césar à ce qui est à césar
le syndicalisme doit défendre et protéger le travailleurs sans tenir compte de leur opinion politique
et refuser une adhésion à cause d'une opinion politique et un contre sens
Mais cela dépasse la capacité de votre cortex cérébral
les travailleurs doivent être protégé selon leur opinion politique
vous l'avez confirmé avec le sujet "colombe"
où là on ne peut pas être bénévole en fonction des ses opinions politiques
mais la conclusion a donné tort à des gens comme vous
- Mesoke
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
Bah non justement. La CFDT a une ligne syndicale politique, elle vise une organisation du monde du travail selon une vision politique de la chose. Donc ne pas accepter en son sein des gens qui visent une ligne opposée (rappelons que rien au RN à part leurs belles paroles pour draguer un électorat populaire ne semble aller vers de la défense des travailleurs) me semble tout à fait légitime : comme veux-tu faire avancer ton combat syndical vers l'objectif que tu te donnes quand certains de tes membres militent pour un parti qui prône l'inverse ?
- Corvo
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
Radio RN ment...encore et encore et ce n'est que le début d'accord d'accord...
RN et immigration : stop à l’intox !
Contrairement aux idées véhiculées par le RN, les étrangers n’ont pas plus de droits que les Français. Ils en ont souvent moins. Ils ne volent pas nos emplois et n’ont pas une meilleure situation que celles et ceux ayant la citoyenneté française. La CFDT décrypte les intox véhiculées par l’extrême droite sur l’immigration.
Les étrangers en situation irrégulière sont soignés que les Français : FAUX !
L’Aide médicale de l’État (AME) assure les soins de base pour les personnes étrangères sans titre de séjour, mais elle ne couvre pas les soins haut de gamme ni les dépassements d’honoraires. Au-delà de l’aspect humanitaire, l’AME contribue à éviter les épidémies et la saturation des urgences. Supprimer l’AME serait un danger sanitaire coûteux.
Pour bénéficier de l’AME, il faut prouver une résidence en France de plus de 3 mois et déclarer des ressources inférieures à 810 euros par mois. Malheureusement, de nombreux bénéficiaires potentiels n’y ont pas recours, et ceux qui le font présentent souvent des retards de soins urgents.
En somme, supprimer l’AME serait non seulement coûteux, mais aussi contraire à l’humanisme attendu d’un pays comme la France.
Les étrangers perçoivent le minimum vieillesse dès leur arrivée, sans jamais avoir travaillé : FAUX !
L’Allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) est un minimum social versé aux retraités très modestes qui résident en France. Pour en bénéficier, il faut avoir au moins 65 ans (sauf exceptions rares), des ressources totales inférieures à 1 012 euros par mois pour une personne seule et il est obligatoire d’habiter en France. Mais surtout, il faut avoir été titulaire d’un permis de travail d’au moins 10 ans (pour les non-européens).
Elle concerne environ 4 % des retraités et représente environ 1 % du total des dépenses de retraite. 83 % des allocataires de l’Aspa ont acquis une partie de leurs droits à la retraite par leur travail en France. Les 17 % restant sont très souvent des « ex-mères au foyer », veuves de retraités pauvres, français ou immigrés, mais forcément résidant en France.
Les étrangers prennent le travail des Français : FAUX !
En France, les travailleurs immigrés sont surreprésentés dans les métiers dits « en tension », où les employeurs peinent à trouver suffisamment de main-d’œuvre. Ces métiers sont exposés à des conditions de travail difficiles (contraintes physiques, horaires atypiques durant les week-ends et jours fériés, journées morcelées, etc.). Les immigrés constituent 38,8 % des employés de maison, 28,4 % des agents de gardiennage et de sécurité, 24,1 % des ouvriers non qualifiés du BTP et 22 % des cuisiniers. Près de la moitié (44,4 %) des travailleurs immigrés vivent en Île-de-France, où ils représentent 60 % des aides à domicile.
La prétendue « concurrence » entre les travailleurs immigrés et les autres est un fantasme alimenté depuis longtemps par certains partis politiques, tels que le Rassemblement national et, avant lui, le Front national.
Accueillir les migrants, c’est accueillir la misère du monde : FAUX !
En France, les immigrés récemment arrivés se caractérisent par une surreprésentation des non-diplômés (24,1 % contre 11,9 %) et une proportion plus élevée de titulaires d’un Bac+3 ou plus (33,8 % contre 18,6 %). De nombreux hôpitaux dépendent des travailleurs immigrés, occupant des postes d’aides-soignants et même de médecins, malgré des conditions de travail plus exigeantes qu’en médecine libérale.
Les obstacles à l’intégration des migrants constituent une véritable trappe à pauvreté et coûtent davantage aux finances publiques que des politiques d’accueil favorisant l’intégration.
L’article complet est à lire sur le site de la CFDT
https://www.xn--cfdt-retraits-mhb.fr/RN ... -a-l-intox
RN et immigration : stop à l’intox !
Contrairement aux idées véhiculées par le RN, les étrangers n’ont pas plus de droits que les Français. Ils en ont souvent moins. Ils ne volent pas nos emplois et n’ont pas une meilleure situation que celles et ceux ayant la citoyenneté française. La CFDT décrypte les intox véhiculées par l’extrême droite sur l’immigration.
Les étrangers en situation irrégulière sont soignés que les Français : FAUX !
L’Aide médicale de l’État (AME) assure les soins de base pour les personnes étrangères sans titre de séjour, mais elle ne couvre pas les soins haut de gamme ni les dépassements d’honoraires. Au-delà de l’aspect humanitaire, l’AME contribue à éviter les épidémies et la saturation des urgences. Supprimer l’AME serait un danger sanitaire coûteux.
Pour bénéficier de l’AME, il faut prouver une résidence en France de plus de 3 mois et déclarer des ressources inférieures à 810 euros par mois. Malheureusement, de nombreux bénéficiaires potentiels n’y ont pas recours, et ceux qui le font présentent souvent des retards de soins urgents.
En somme, supprimer l’AME serait non seulement coûteux, mais aussi contraire à l’humanisme attendu d’un pays comme la France.
Les étrangers perçoivent le minimum vieillesse dès leur arrivée, sans jamais avoir travaillé : FAUX !
L’Allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) est un minimum social versé aux retraités très modestes qui résident en France. Pour en bénéficier, il faut avoir au moins 65 ans (sauf exceptions rares), des ressources totales inférieures à 1 012 euros par mois pour une personne seule et il est obligatoire d’habiter en France. Mais surtout, il faut avoir été titulaire d’un permis de travail d’au moins 10 ans (pour les non-européens).
Elle concerne environ 4 % des retraités et représente environ 1 % du total des dépenses de retraite. 83 % des allocataires de l’Aspa ont acquis une partie de leurs droits à la retraite par leur travail en France. Les 17 % restant sont très souvent des « ex-mères au foyer », veuves de retraités pauvres, français ou immigrés, mais forcément résidant en France.
Les étrangers prennent le travail des Français : FAUX !
En France, les travailleurs immigrés sont surreprésentés dans les métiers dits « en tension », où les employeurs peinent à trouver suffisamment de main-d’œuvre. Ces métiers sont exposés à des conditions de travail difficiles (contraintes physiques, horaires atypiques durant les week-ends et jours fériés, journées morcelées, etc.). Les immigrés constituent 38,8 % des employés de maison, 28,4 % des agents de gardiennage et de sécurité, 24,1 % des ouvriers non qualifiés du BTP et 22 % des cuisiniers. Près de la moitié (44,4 %) des travailleurs immigrés vivent en Île-de-France, où ils représentent 60 % des aides à domicile.
La prétendue « concurrence » entre les travailleurs immigrés et les autres est un fantasme alimenté depuis longtemps par certains partis politiques, tels que le Rassemblement national et, avant lui, le Front national.
Accueillir les migrants, c’est accueillir la misère du monde : FAUX !
En France, les immigrés récemment arrivés se caractérisent par une surreprésentation des non-diplômés (24,1 % contre 11,9 %) et une proportion plus élevée de titulaires d’un Bac+3 ou plus (33,8 % contre 18,6 %). De nombreux hôpitaux dépendent des travailleurs immigrés, occupant des postes d’aides-soignants et même de médecins, malgré des conditions de travail plus exigeantes qu’en médecine libérale.
Les obstacles à l’intégration des migrants constituent une véritable trappe à pauvreté et coûtent davantage aux finances publiques que des politiques d’accueil favorisant l’intégration.
L’article complet est à lire sur le site de la CFDT
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- Victor
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
Finalement votre truc c'est le racisme antipatron !
Vous savez que le racisme est interdit en France ?
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
Le RN a une ligne politique extrêmement sociale. (contrairement à Reconquête par exemple).Mesoke a écrit : ↑24 juin 2024 11:14 Bah non justement. La CFDT a une ligne syndicale politique, elle vise une organisation du monde du travail selon une vision politique de la chose. Donc ne pas accepter en son sein des gens qui visent une ligne opposée (rappelons que rien au RN à part leurs belles paroles pour draguer un électorat populaire ne semble aller vers de la défense des travailleurs) me semble tout à fait légitime : comme veux-tu faire avancer ton combat syndical vers l'objectif que tu te donnes quand certains de tes membres militent pour un parti qui prône l'inverse ?
Donc je ne vois pas en quoi elle s'oppose à celle des syndicats.
Séparer l'action politique de l'action syndicale me paraît le B.A BA dans une démocratie.
La CFDT risque fort de regretter cette politique de ségrégation et d'exclusion de ses militants.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
hors sujet "pollueur qui espère faire verrouiller le sujet"Corvo a écrit : ↑24 juin 2024 12:08 Radio RN ment...encore et encore et ce n'est que le début d'accord d'accord...
RN et immigration : stop à l’intox !
Contrairement aux idées véhiculées par le RN, les étrangers n’ont pas plus de droits que les Français. Ils en ont souvent moins. Ils ne volent pas nos emplois et n’ont pas une meilleure situation que celles et ceux ayant la citoyenneté française. La CFDT décrypte les intox véhiculées par l’extrême droite sur l’immigration.
Les étrangers en situation irrégulière sont soignés que les Français : FAUX !
L’Aide médicale de l’État (AME) assure les soins de base pour les personnes étrangères sans titre de séjour, mais elle ne couvre pas les soins haut de gamme ni les dépassements d’honoraires. Au-delà de l’aspect humanitaire, l’AME contribue à éviter les épidémies et la saturation des urgences. Supprimer l’AME serait un danger sanitaire coûteux.
Pour bénéficier de l’AME, il faut prouver une résidence en France de plus de 3 mois et déclarer des ressources inférieures à 810 euros par mois. Malheureusement, de nombreux bénéficiaires potentiels n’y ont pas recours, et ceux qui le font présentent souvent des retards de soins urgents.
En somme, supprimer l’AME serait non seulement coûteux, mais aussi contraire à l’humanisme attendu d’un pays comme la France.
Les étrangers perçoivent le minimum vieillesse dès leur arrivée, sans jamais avoir travaillé : FAUX !
L’Allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) est un minimum social versé aux retraités très modestes qui résident en France. Pour en bénéficier, il faut avoir au moins 65 ans (sauf exceptions rares), des ressources totales inférieures à 1 012 euros par mois pour une personne seule et il est obligatoire d’habiter en France. Mais surtout, il faut avoir été titulaire d’un permis de travail d’au moins 10 ans (pour les non-européens).
Elle concerne environ 4 % des retraités et représente environ 1 % du total des dépenses de retraite. 83 % des allocataires de l’Aspa ont acquis une partie de leurs droits à la retraite par leur travail en France. Les 17 % restant sont très souvent des « ex-mères au foyer », veuves de retraités pauvres, français ou immigrés, mais forcément résidant en France.
Les étrangers prennent le travail des Français : FAUX !
En France, les travailleurs immigrés sont surreprésentés dans les métiers dits « en tension », où les employeurs peinent à trouver suffisamment de main-d’œuvre. Ces métiers sont exposés à des conditions de travail difficiles (contraintes physiques, horaires atypiques durant les week-ends et jours fériés, journées morcelées, etc.). Les immigrés constituent 38,8 % des employés de maison, 28,4 % des agents de gardiennage et de sécurité, 24,1 % des ouvriers non qualifiés du BTP et 22 % des cuisiniers. Près de la moitié (44,4 %) des travailleurs immigrés vivent en Île-de-France, où ils représentent 60 % des aides à domicile.
La prétendue « concurrence » entre les travailleurs immigrés et les autres est un fantasme alimenté depuis longtemps par certains partis politiques, tels que le Rassemblement national et, avant lui, le Front national.
Accueillir les migrants, c’est accueillir la misère du monde : FAUX !
En France, les immigrés récemment arrivés se caractérisent par une surreprésentation des non-diplômés (24,1 % contre 11,9 %) et une proportion plus élevée de titulaires d’un Bac+3 ou plus (33,8 % contre 18,6 %). De nombreux hôpitaux dépendent des travailleurs immigrés, occupant des postes d’aides-soignants et même de médecins, malgré des conditions de travail plus exigeantes qu’en médecine libérale.
Les obstacles à l’intégration des migrants constituent une véritable trappe à pauvreté et coûtent davantage aux finances publiques que des politiques d’accueil favorisant l’intégration.
L’article complet est à lire sur le site de la CFDT
https://www.xn--cfdt-retraits-mhb.fr/RN ... -a-l-intox
mais comme à dit quelqu'un
pardonnes leur ; il ne sait pas ce qu'il fait "
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
expliquez moi comme un adhérent peut orienter la politique syndicale d'un bureau directeurMesoke a écrit : ↑24 juin 2024 11:14 Bah non justement. La CFDT a une ligne syndicale politique, elle vise une organisation du monde du travail selon une vision politique de la chose. Donc ne pas accepter en son sein des gens qui visent une ligne opposée (rappelons que rien au RN à part leurs belles paroles pour draguer un électorat populaire ne semble aller vers de la défense des travailleurs) me semble tout à fait légitime : comme veux-tu faire avancer ton combat syndical vers l'objectif que tu te donnes quand certains de tes membres militent pour un parti qui prône l'inverse ?
ne vous inquiétez pas , lorsque la politique syndicale ne convient pas le adhérents la quitte en masse
c'est ce qui s'est passé sous la tutelle de nicole NOTAT des adhérents CFDT ont quitté en masse celui ci est ont fondé le syndicat SUD
Cela s'est toujours produit ainsi dans le monde syndicale ans qu'il soit question de tendance politique
vous parlez ; vous parlez vous parlez seulement quand il y a le sigle RN mais en réalité vous ne connaissez rien au monde syndicale
voici par exemple pourquoi il a 2 syndicats CGT
Origine de la scission de la CGT
Si la scission de la CGT n'a eu lieu qu'à la fin de l'année 1947, après des tensions qui sont montées dès la « bataille du charbon » de l'année 1946 puis les grèves de 1947 en France, démarrées dès le printemps, Force ouvrière est l'héritière de la branche dite « réformiste » de la CGT, syndicat qui a été, dès sa création en 1895, tiraillé entre une tendance « réformiste » et une tendance « révolutionnaire » puis communiste à partir des années 1920.
svp n'intervenez pas dans des sujets que vous ne connaissez pas simplement pour un mot RN
Laissez cela à ceux qui savent ce qui est le syndicalisme , ses raisons d'être et son but "l'interet sociale des salariès"
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
"pollueur qui espère faire verrouiller le sujet"vivarais a écrit : ↑24 juin 2024 17:37hors sujet "pollueur qui espère faire verrouiller le sujet"Corvo a écrit : ↑24 juin 2024 12:08 Radio RN ment...encore et encore et ce n'est que le début d'accord d'accord...
RN et immigration : stop à l’intox !
Contrairement aux idées véhiculées par le RN, les étrangers n’ont pas plus de droits que les Français. Ils en ont souvent moins. Ils ne volent pas nos emplois et n’ont pas une meilleure situation que celles et ceux ayant la citoyenneté française. La CFDT décrypte les intox véhiculées par l’extrême droite sur l’immigration.
Les étrangers en situation irrégulière sont soignés que les Français : FAUX !
L’Aide médicale de l’État (AME) assure les soins de base pour les personnes étrangères sans titre de séjour, mais elle ne couvre pas les soins haut de gamme ni les dépassements d’honoraires. Au-delà de l’aspect humanitaire, l’AME contribue à éviter les épidémies et la saturation des urgences. Supprimer l’AME serait un danger sanitaire coûteux.
Pour bénéficier de l’AME, il faut prouver une résidence en France de plus de 3 mois et déclarer des ressources inférieures à 810 euros par mois. Malheureusement, de nombreux bénéficiaires potentiels n’y ont pas recours, et ceux qui le font présentent souvent des retards de soins urgents.
En somme, supprimer l’AME serait non seulement coûteux, mais aussi contraire à l’humanisme attendu d’un pays comme la France.
Les étrangers perçoivent le minimum vieillesse dès leur arrivée, sans jamais avoir travaillé : FAUX !
L’Allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) est un minimum social versé aux retraités très modestes qui résident en France. Pour en bénéficier, il faut avoir au moins 65 ans (sauf exceptions rares), des ressources totales inférieures à 1 012 euros par mois pour une personne seule et il est obligatoire d’habiter en France. Mais surtout, il faut avoir été titulaire d’un permis de travail d’au moins 10 ans (pour les non-européens).
Elle concerne environ 4 % des retraités et représente environ 1 % du total des dépenses de retraite. 83 % des allocataires de l’Aspa ont acquis une partie de leurs droits à la retraite par leur travail en France. Les 17 % restant sont très souvent des « ex-mères au foyer », veuves de retraités pauvres, français ou immigrés, mais forcément résidant en France.
Les étrangers prennent le travail des Français : FAUX !
En France, les travailleurs immigrés sont surreprésentés dans les métiers dits « en tension », où les employeurs peinent à trouver suffisamment de main-d’œuvre. Ces métiers sont exposés à des conditions de travail difficiles (contraintes physiques, horaires atypiques durant les week-ends et jours fériés, journées morcelées, etc.). Les immigrés constituent 38,8 % des employés de maison, 28,4 % des agents de gardiennage et de sécurité, 24,1 % des ouvriers non qualifiés du BTP et 22 % des cuisiniers. Près de la moitié (44,4 %) des travailleurs immigrés vivent en Île-de-France, où ils représentent 60 % des aides à domicile.
La prétendue « concurrence » entre les travailleurs immigrés et les autres est un fantasme alimenté depuis longtemps par certains partis politiques, tels que le Rassemblement national et, avant lui, le Front national.
Accueillir les migrants, c’est accueillir la misère du monde : FAUX !
En France, les immigrés récemment arrivés se caractérisent par une surreprésentation des non-diplômés (24,1 % contre 11,9 %) et une proportion plus élevée de titulaires d’un Bac+3 ou plus (33,8 % contre 18,6 %). De nombreux hôpitaux dépendent des travailleurs immigrés, occupant des postes d’aides-soignants et même de médecins, malgré des conditions de travail plus exigeantes qu’en médecine libérale.
Les obstacles à l’intégration des migrants constituent une véritable trappe à pauvreté et coûtent davantage aux finances publiques que des politiques d’accueil favorisant l’intégration.
L’article complet est à lire sur le site de la CFDT
https://www.xn--cfdt-retraits-mhb.fr/RN ... -a-l-intox
mais comme à dit quelqu'un
pardonnes leur ; il ne sait pas ce qu'il fait "
Vous vous rendez compte à quel point en écrivant ce genre d'imbécilité vous êtes ridicule ?...
Puis vivarais Jésus à dit : Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font et pas "pardonnes leur ; il ne sait pas ce qu'il fait "

vivarais vous "saguouinez" la parole de Jésu"ce" de la glace mais pas que.
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
En fait, vous devriez vous rendre compte qu'à force de faire des messages à sens unique anti RN je pense ( mais je peux me tromper) que vous êtes de moins en moins convainquant.
À travers 150 pages d'évaluation de la politique de lutte contre l'immigration irrégulière, la Cour des comptes s'est intéressée aux moyens financiers dégagés par l'État. Un rapport dévoilé ce jeudi matin et qui suggère plusieurs ajustements alors que le Conseil constitutionnel doit statuer d'ici au 26 janvier sur la loi immigration.
Selon un rapport de 150 pages, dévoilé ce jeudi matin par la Cour des comptes, le coût annuel de la lutte contre l'immigration irrégulière en France s'élève à près de 2 milliards d'euros.
Mais les étrangers qui travaillent et il y en a beaucoup :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/41 ... %C3%B4mage.
contribuent au PIB , au financement du budget social, donc aux retraites, à la consommation,etc...
Donc il faut continuer à lutter par tous les moyens contre l'immigration irrégulière ( et son utilisation frauduleuse par des employeurs sans foi ni loi), mais ne pas oublier que l'immigration régulière est un apport pour le pays et là vous pouvez rappeler l'apport dans les hôpitaux et les autres secteurs.
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
Sur un forum fréquenté par une vingtaine de personnes je ne cherche, chacun sachant dans quel camp il est, pas à convaincre qui que ce soit. Croire pompeusement que je pourrai convaincre confèrerait à la niaiserie.papibilou a écrit : ↑24 juin 2024 18:18En fait, vous devriez vous rendre compte qu'à force de faire des messages à sens unique anti RN je pense ( mais je peux me tromper) que vous êtes de moins en moins convainquant.
À travers 150 pages d'évaluation de la politique de lutte contre l'immigration irrégulière, la Cour des comptes s'est intéressée aux moyens financiers dégagés par l'État. Un rapport dévoilé ce jeudi matin et qui suggère plusieurs ajustements alors que le Conseil constitutionnel doit statuer d'ici au 26 janvier sur la loi immigration.
Selon un rapport de 150 pages, dévoilé ce jeudi matin par la Cour des comptes, le coût annuel de la lutte contre l'immigration irrégulière en France s'élève à près de 2 milliards d'euros.
Mais les étrangers qui travaillent et il y en a beaucoup :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/41 ... %C3%B4mage.
contribuent au PIB , au financement du budget social, donc aux retraites, à la consommation,etc...
Donc il faut continuer à lutter par tous les moyens contre l'immigration irrégulière ( et son utilisation frauduleuse par des employeurs sans foi ni loi), mais ne pas oublier que l'immigration régulière est un apport pour le pays et là vous pouvez rappeler l'apport dans les hôpitaux et les autres secteurs.
Si ça vous intéresse je vous "conseille" le livre de Guiliano da Empoli : Les ingénieurs du cahos.
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
Très bien. Dans ce cas essayez d'échanger.Corvo a écrit : ↑24 juin 2024 18:31Sur un forum fréquenté par une vingtaine de personnes je ne cherche, chacun sachant dans quel camp il est, pas à convaincre qui que ce soit. Croire pompeusement que je pourrai convaincre confèrerait à la niaiserie.papibilou a écrit : ↑24 juin 2024 18:18
En fait, vous devriez vous rendre compte qu'à force de faire des messages à sens unique anti RN je pense ( mais je peux me tromper) que vous êtes de moins en moins convainquant.
À travers 150 pages d'évaluation de la politique de lutte contre l'immigration irrégulière, la Cour des comptes s'est intéressée aux moyens financiers dégagés par l'État. Un rapport dévoilé ce jeudi matin et qui suggère plusieurs ajustements alors que le Conseil constitutionnel doit statuer d'ici au 26 janvier sur la loi immigration.
Selon un rapport de 150 pages, dévoilé ce jeudi matin par la Cour des comptes, le coût annuel de la lutte contre l'immigration irrégulière en France s'élève à près de 2 milliards d'euros.
Mais les étrangers qui travaillent et il y en a beaucoup :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/41 ... %C3%B4mage.
contribuent au PIB , au financement du budget social, donc aux retraites, à la consommation,etc...
Donc il faut continuer à lutter par tous les moyens contre l'immigration irrégulière ( et son utilisation frauduleuse par des employeurs sans foi ni loi), mais ne pas oublier que l'immigration régulière est un apport pour le pays et là vous pouvez rappeler l'apport dans les hôpitaux et les autres secteurs.
Si ça vous intéresse je vous "conseille" le livre de Guiliano da Empoli : Les ingénieurs du cahos.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
MON syndicat, chers non-syndiqués, mais suceurs invétérés des avancèes sociales obtenues grâce aux jours de grève et manifestation des syndiqués, mon syndicat donc a défini une CHARTE DES VALEURS qui a été reprise par la CONFEDERATION EUROPENNE DES SYNDICATS/Victor a écrit : ↑24 juin 2024 17:26Le RN a une ligne politique extrêmement sociale. (contrairement à Reconquête par exemple).Mesoke a écrit : ↑24 juin 2024 11:14 Bah non justement. La CFDT a une ligne syndicale politique, elle vise une organisation du monde du travail selon une vision politique de la chose. Donc ne pas accepter en son sein des gens qui visent une ligne opposée (rappelons que rien au RN à part leurs belles paroles pour draguer un électorat populaire ne semble aller vers de la défense des travailleurs) me semble tout à fait légitime : comme veux-tu faire avancer ton combat syndical vers l'objectif que tu te donnes quand certains de tes membres militent pour un parti qui prône l'inverse ?
Donc je ne vois pas en quoi elle s'oppose à celle des syndicats.
Séparer l'action politique de l'action syndicale me paraît le B.A BA dans une démocratie.
La CFDT risque fort de regretter cette politique de ségrégation et d'exclusion de ses militants.
Lisez donc ça! Mais comme pour les rillettes, "on n'a pas les mêmes valeurs" définitivement! https://www.etuc.org/sites/default/file ... urs_FR.pdf...Au deuxième jour du congrès de Berlin, les délégués de la Confédération européenne des syndicats ont très largement adopté une charte de valeurs. Portée par la CFDT, elle réaffirme notamment l’incompatibilité du syndicalisme avec l’extrême droite.
Solidarité, égalité, démocratie, justice sociale. Depuis le début du congrès, ces mots résonnent lors de chacune des interventions, rappelant par là même que ces valeurs défendues par la CES sont le fondement de son histoire et, plus largement, de l’engagement du syndicalisme européen à défendre les droits des travailleurs. Alors qu’elle célèbre son 50e anniversaire, la CES a voulu donner un nouveau souffle à cette ambition, en portant (par la voix de son président, Laurent Berger) une charte des valeurs.
En soi, « cette charte de la CES n’invente rien de nouveau », rappelle d’ailleurs son rapporteur. « Mais à l’heure où prolifèrent les discours qui visent à saper nos démocraties, où les droits les plus fondamentaux sont de plus en plus remis en question, où prospère la désinformation et où se radicalise le débat public, il est important de rappeler ce qui guide notre engagement et les combats que nous menons. »
Incompatibilité
1. Paix, démocratie et état de droit, Europe, dignité humaine, droits de l’homme, libertés civiles, solidarité, égalité, autonomie par rapport aux pouvoirs politiques et économiques, lutte contre l’extreme droite, protection de l’environnement, ouverture sur le monde, intégrité, transparence et responsabilité.
Largement inspirée des statuts de la CFDT, la charte des valeurs de la CES adoptée à Berlin tient en deux pages et quatorze points1– rappelés comme devant être « à la base de la politique et du travail du syndicalisme européen ». En ces temps troubles de guerre en Ukraine et de percée des mouvements populistes un peu partout en Europe, la paix et la lutte contre l’extrême droite ont naturellement pris une place importante dans les interventions des délégués. « Chacun de nous ici a peur pour les élections qui arrivent, rappelle d’ailleurs opportunément la Fédération européenne des transports (EFT), où les extrêmes, profitant d’un sentiment de déclinisme, creusent leur sillon et sèment la peur. »
Dans ce contexte, « il nous faut nous rappeler qui nous sommes et ce que nous voulons afin de ne pas affaiblir les valeurs qui nous ont dirigé depuis le début », estime l’UGT Espagne. Car ne nous y trompons pas : l’extrême droite a beau lisser son langage, ses idées demeurent les mêmes.
La charte rappelle donc précisément l’incompatibilité des idées d’extrême droite avec les valeurs fondamentales des syndicats et engage la CES à « combattre tous les mouvements d’extrême droite, organisations, association ou entité politique qui agirait contre ses valeurs fondamentales ». De la même manière, elle entend, au nom du principe d’égalité, « lutter contre toutes les formes d’exclusion, de harcèlement, de discrimination, de sexisme, de racisme, de xénophobie, d’islamophobie et d’antisémitisme ».
Point de référence
« Le syndicalisme est un rempart lorsqu’il ne se compromet pas et qu’il garde le cap avec ses valeurs comme seule boussole », réaffirmait Laurent Berger, en appelant à voter massivement cette charte qui prend la forme d’une résolution de congrès – lui conférant ainsi une forte valeur politique et symbolique. « Un point de référence important pour la CES mais également pour nos organisations respectives », soulignait l’UIL Italie. Avec cette charte, « le train est en marche, et je suis ravie que la CES ait le courage de ses ambitions », concluait la représentante de la Fédération européenne des travailleurs des transports.
Pour les flemmards geignards, je vous le mets en "vrai"

Vous comprenez pourquoi la CFDT ne sera jamais la tasse de thé des populistes, fachos, autocrates, illibéraux...
Quant à Vivarais...Résolution lors du 15e Congrès de la CES à l’occasion des 50 ans de la CES
(BERLIN, 23-26 MAI 2023)
Préambule
1. La Confédération européenne des syndicats (CES) est le résultat et l’avenir du mouvement syndical
européen. Elle porte la voix des travailleurs au travail, dans la société et dans l’économie partout en
Europe. Elle s’efforce d’améliorer les conditions de vie et de travail. De défendre, consolider et accroître
les droits et libertés de tous et de lutter pour la justice sociale.
2. Le mouvement syndical européen représente et œuvre pour renforcer la solidarité et la reconnaissance
des libertés individuelles et collectives. Il constitue le moyen de construire une société fondée sur l’État
de droit, les droits fondamentaux et la démocratie.
3. Pour remplir sa mission, le mouvement syndical interviendra au travers du dialogue social, de la
négociation collective et de l’action collective, aux côtés des employeurs et des alliés, pour atteindre ces
valeurs dans les lieux de travail et dans la société.
4. La CES rassemble les confédérations syndicales nationales et les fédérations syndicales européennes.
Toutes les organisations affiliées à la CES adhèrent à la Charte des valeurs de la CES.
Charte des valeurs
Les valeurs suivantes sont à la base de la politique et du travail du syndicalisme européen :
5. Paix : la paix est une condition préalable au plein exercice des droits de l’homme et à une démocratie
stable. Il n’y a pas de paix et de sécurité sans justice sociale;
6. Démocratie et État de droit : la CES s’efforce de garantir et de promouvoir la liberté d’expression et
la participation des femmes et des hommes à la vie démocratique dans la société, sur leur lieu de travail
et dans la gouvernance nationale, européenne et mondiale. Elle rejette le nazisme, le fascisme et tous
les régimes autoritaires ou totalitaires qui restreignent ou ébranlent la démocratie, le principe de partage
des pouvoirs, la liberté des médias, l’indépendance de la justice et des institutions, ainsi que les droits et
libertés fondamentaux des peuples;
7. Europe : la CES soutient et promeut un projet d’intégration européenne et œuvre à consolider le rôle de
l’Union européenne en tant qu’union politique capable de garantir la paix, la démocratie et le progrès social;
8. Dignité humaine, droits de l’homme et libertés civiles : la CES soutient et promeut le respect de la
dignité humaine et des libertés individuelles et collectives. Elle reconnaît le rôle de chaque individu et de
ses actions. Elle veille collectivement à assurer le respect de la dignité et de la liberté sur le lieu de travail
et dans la société, en reconnaissant le droit de chacun à faire reconnaître ses besoins matériels, culturels
et intellectuels dans sa vie professionnelle et personnelle;
9. Solidarité : solidarité entre travailleurs, entre générations et plus largement entre tous les peuples du
monde. La CES s’efforce dans ce contexte de promouvoir et de garantir le respect des droits syndicaux
et des travailleurs, ainsi que le renforcement et l’application de ces droits;
10. Égalité : la CES rejette et lutte contre toutes les formes d’exclusion, de harcèlement, de discrimination,
de sexisme, de racisme, de xénophobie, d’islamophobie et d’antisémitisme. La CES soutient et promeut
également le respect des minorités;
11. Autonomie par rapport aux pouvoirs politiques et économiques : le syndicalisme joue un rôle
important dans l’équilibre d’une société démocratique. Les syndicats apportent un contrepoids aux
intérêts politiques, économiques et financiers. Par conséquent, la CES et ses organisations affiliées
accordent une grande importance à leur autonomie par rapport à l’État, aux partis politiques ou aux
institutions religieuses et autres;
12. Lutte contre l’extrême droite : les valeurs et les idées d’extrême droite ne sont pas compatibles
avec les valeurs fondamentales des syndicats. L’extrême droite constitue une menace sérieuse pour la
démocratie et le mouvement syndical. Par conséquent, la CES combat tous les mouvements d’extrême
droite, organisations et partis antidémocratiques ainsi que toute autre association ou entité politique qui
parle ou agit contre ses valeurs fondamentales et qui entend diviser les travailleurs;
13. Protection de l’environnement : la CES promeut et œuvre pour une société qui défend un modèle
de développement économique vertueux, respectueux du climat, de l’environnement, de la biodiversité
et du vivant;
14. Ouverture sur le monde : la CES veut une Europe qui ne se coupe pas du monde. La CES s’opposera
à une Europe forteresse qui érige des murs contre ceux qui fuient les guerres, les catastrophes
climatiques, les persécutions et la misère;
15. Intégrité, transparence et responsabilité. La CES est fermement opposée à la corruption et
promeut la responsabilité, l’intégrité et la transparence à tous les niveaux.



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Re: la CFDT et la liberté d'opinion
et la défense des acquits sociaux dans tout cela "ce n'est plus du syndicalisme"UBUROI a écrit : ↑25 juin 2024 05:28MON syndicat, chers non-syndiqués, mais suceurs invétérés des avancèes sociales obtenues grâce aux jours de grève et manifestation des syndiqués, mon syndicat donc a défini une CHARTE DES VALEURS qui a été reprise par la CONFEDERATION EUROPENNE DES SYNDICATS/Victor a écrit : ↑24 juin 2024 17:26
Le RN a une ligne politique extrêmement sociale. (contrairement à Reconquête par exemple).
Donc je ne vois pas en quoi elle s'oppose à celle des syndicats.
Séparer l'action politique de l'action syndicale me paraît le B.A BA dans une démocratie.
La CFDT risque fort de regretter cette politique de ségrégation et d'exclusion de ses militants.
Lisez donc ça! Mais comme pour les rillettes, "on n'a pas les mêmes valeurs" définitivement! https://www.etuc.org/sites/default/file ... urs_FR.pdf...Au deuxième jour du congrès de Berlin, les délégués de la Confédération européenne des syndicats ont très largement adopté une charte de valeurs. Portée par la CFDT, elle réaffirme notamment l’incompatibilité du syndicalisme avec l’extrême droite.
Solidarité, égalité, démocratie, justice sociale. Depuis le début du congrès, ces mots résonnent lors de chacune des interventions, rappelant par là même que ces valeurs défendues par la CES sont le fondement de son histoire et, plus largement, de l’engagement du syndicalisme européen à défendre les droits des travailleurs. Alors qu’elle célèbre son 50e anniversaire, la CES a voulu donner un nouveau souffle à cette ambition, en portant (par la voix de son président, Laurent Berger) une charte des valeurs.
En soi, « cette charte de la CES n’invente rien de nouveau », rappelle d’ailleurs son rapporteur. « Mais à l’heure où prolifèrent les discours qui visent à saper nos démocraties, où les droits les plus fondamentaux sont de plus en plus remis en question, où prospère la désinformation et où se radicalise le débat public, il est important de rappeler ce qui guide notre engagement et les combats que nous menons. »
Incompatibilité
1. Paix, démocratie et état de droit, Europe, dignité humaine, droits de l’homme, libertés civiles, solidarité, égalité, autonomie par rapport aux pouvoirs politiques et économiques, lutte contre l’extreme droite, protection de l’environnement, ouverture sur le monde, intégrité, transparence et responsabilité.
Largement inspirée des statuts de la CFDT, la charte des valeurs de la CES adoptée à Berlin tient en deux pages et quatorze points1– rappelés comme devant être « à la base de la politique et du travail du syndicalisme européen ». En ces temps troubles de guerre en Ukraine et de percée des mouvements populistes un peu partout en Europe, la paix et la lutte contre l’extrême droite ont naturellement pris une place importante dans les interventions des délégués. « Chacun de nous ici a peur pour les élections qui arrivent, rappelle d’ailleurs opportunément la Fédération européenne des transports (EFT), où les extrêmes, profitant d’un sentiment de déclinisme, creusent leur sillon et sèment la peur. »
Dans ce contexte, « il nous faut nous rappeler qui nous sommes et ce que nous voulons afin de ne pas affaiblir les valeurs qui nous ont dirigé depuis le début », estime l’UGT Espagne. Car ne nous y trompons pas : l’extrême droite a beau lisser son langage, ses idées demeurent les mêmes.
La charte rappelle donc précisément l’incompatibilité des idées d’extrême droite avec les valeurs fondamentales des syndicats et engage la CES à « combattre tous les mouvements d’extrême droite, organisations, association ou entité politique qui agirait contre ses valeurs fondamentales ». De la même manière, elle entend, au nom du principe d’égalité, « lutter contre toutes les formes d’exclusion, de harcèlement, de discrimination, de sexisme, de racisme, de xénophobie, d’islamophobie et d’antisémitisme ».
Point de référence
« Le syndicalisme est un rempart lorsqu’il ne se compromet pas et qu’il garde le cap avec ses valeurs comme seule boussole », réaffirmait Laurent Berger, en appelant à voter massivement cette charte qui prend la forme d’une résolution de congrès – lui conférant ainsi une forte valeur politique et symbolique. « Un point de référence important pour la CES mais également pour nos organisations respectives », soulignait l’UIL Italie. Avec cette charte, « le train est en marche, et je suis ravie que la CES ait le courage de ses ambitions », concluait la représentante de la Fédération européenne des travailleurs des transports.
Pour les flemmards geignards, je vous le mets en "vrai"![]()
Vous comprenez pourquoi la CFDT ne sera jamais la tasse de thé des populistes, fachos, autocrates, illibéraux...
Quant à Vivarais...Résolution lors du 15e Congrès de la CES à l’occasion des 50 ans de la CES
(BERLIN, 23-26 MAI 2023)
Préambule
1. La Confédération européenne des syndicats (CES) est le résultat et l’avenir du mouvement syndical
européen. Elle porte la voix des travailleurs au travail, dans la société et dans l’économie partout en
Europe. Elle s’efforce d’améliorer les conditions de vie et de travail. De défendre, consolider et accroître
les droits et libertés de tous et de lutter pour la justice sociale.
2. Le mouvement syndical européen représente et œuvre pour renforcer la solidarité et la reconnaissance
des libertés individuelles et collectives. Il constitue le moyen de construire une société fondée sur l’État
de droit, les droits fondamentaux et la démocratie.
3. Pour remplir sa mission, le mouvement syndical interviendra au travers du dialogue social, de la
négociation collective et de l’action collective, aux côtés des employeurs et des alliés, pour atteindre ces
valeurs dans les lieux de travail et dans la société.
4. La CES rassemble les confédérations syndicales nationales et les fédérations syndicales européennes.
Toutes les organisations affiliées à la CES adhèrent à la Charte des valeurs de la CES.
Charte des valeurs
Les valeurs suivantes sont à la base de la politique et du travail du syndicalisme européen :
5. Paix : la paix est une condition préalable au plein exercice des droits de l’homme et à une démocratie
stable. Il n’y a pas de paix et de sécurité sans justice sociale;
6. Démocratie et État de droit : la CES s’efforce de garantir et de promouvoir la liberté d’expression et
la participation des femmes et des hommes à la vie démocratique dans la société, sur leur lieu de travail
et dans la gouvernance nationale, européenne et mondiale. Elle rejette le nazisme, le fascisme et tous
les régimes autoritaires ou totalitaires qui restreignent ou ébranlent la démocratie, le principe de partage
des pouvoirs, la liberté des médias, l’indépendance de la justice et des institutions, ainsi que les droits et
libertés fondamentaux des peuples;
7. Europe : la CES soutient et promeut un projet d’intégration européenne et œuvre à consolider le rôle de
l’Union européenne en tant qu’union politique capable de garantir la paix, la démocratie et le progrès social;
8. Dignité humaine, droits de l’homme et libertés civiles : la CES soutient et promeut le respect de la
dignité humaine et des libertés individuelles et collectives. Elle reconnaît le rôle de chaque individu et de
ses actions. Elle veille collectivement à assurer le respect de la dignité et de la liberté sur le lieu de travail
et dans la société, en reconnaissant le droit de chacun à faire reconnaître ses besoins matériels, culturels
et intellectuels dans sa vie professionnelle et personnelle;
9. Solidarité : solidarité entre travailleurs, entre générations et plus largement entre tous les peuples du
monde. La CES s’efforce dans ce contexte de promouvoir et de garantir le respect des droits syndicaux
et des travailleurs, ainsi que le renforcement et l’application de ces droits;
10. Égalité : la CES rejette et lutte contre toutes les formes d’exclusion, de harcèlement, de discrimination,
de sexisme, de racisme, de xénophobie, d’islamophobie et d’antisémitisme. La CES soutient et promeut
également le respect des minorités;
11. Autonomie par rapport aux pouvoirs politiques et économiques : le syndicalisme joue un rôle
important dans l’équilibre d’une société démocratique. Les syndicats apportent un contrepoids aux
intérêts politiques, économiques et financiers. Par conséquent, la CES et ses organisations affiliées
accordent une grande importance à leur autonomie par rapport à l’État, aux partis politiques ou aux
institutions religieuses et autres;
12. Lutte contre l’extrême droite : les valeurs et les idées d’extrême droite ne sont pas compatibles
avec les valeurs fondamentales des syndicats. L’extrême droite constitue une menace sérieuse pour la
démocratie et le mouvement syndical. Par conséquent, la CES combat tous les mouvements d’extrême
droite, organisations et partis antidémocratiques ainsi que toute autre association ou entité politique qui
parle ou agit contre ses valeurs fondamentales et qui entend diviser les travailleurs;
13. Protection de l’environnement : la CES promeut et œuvre pour une société qui défend un modèle
de développement économique vertueux, respectueux du climat, de l’environnement, de la biodiversité
et du vivant;
14. Ouverture sur le monde : la CES veut une Europe qui ne se coupe pas du monde. La CES s’opposera
à une Europe forteresse qui érige des murs contre ceux qui fuient les guerres, les catastrophes
climatiques, les persécutions et la misère;
15. Intégrité, transparence et responsabilité. La CES est fermement opposée à la corruption et
promeut la responsabilité, l’intégrité et la transparence à tous les niveaux.![]()
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C'est comme la gauche qui parle de droits des étrangers mai plus de celui des masses populaires
on a le résultat
aujourd'hui la majorité des syndiqués sont à la retraite (tous syndicat confondus)
une partie par conviction et une majorité parce que c'est une niche fiscale par déduction de 67 % de cotisation en crédit d'impôts qui par une baisse du RFR permet l'obtention de droits voir mêm diminuer une tranche fiscale
Tout comme vous est moi à la retraite on ne risque plus rien professionnellement pour être syndiqué
On va voir ce qui va se passer quand les niches fiscales seront supprimées si vous aurez autant d'adhérents

il suffit de regarder le nombres de syndiqués par tranche d'age
https://fr.statista.com/statistiques/67 ... iqu%C3%A9s.
Les gens ont vu que l'on se défend mieux soi même "gilets jaunes" qu'avec les syndicats
On a vu ce qu'ils ont obtenu alors qu'avec les syndicats rien "ils n'ont même pas empêcher la reforme des retraites
alors ils vont le faire avec le RN eux même
votre laïus parle de tout sauf du monde travail qui doit etre la raison d'être su syndicalisme
pour l'écologie il y a déjà assez de partis politiques : on l'a vu dan les 38 listes des européennes
à chacun sa tache
quand je faisais du syndicalisme c'était pour defendre les travailleurs , pas la petite crevette bleue contre les éoliennes en mer
à chacun son métier et les vaches sont bien gardées
en clair votre syndicat c'est cette fable
https://www.bing.com/videos/riverview/r ... &FORM=VIRE
Modifié en dernier par vivarais le 25 juin 2024 06:00, modifié 1 fois.
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- Dieu D'Interaldys
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- Enregistré le : 19 février 2017 21:40
Re: la CFDT et la liberté d'opinion
Tiens notre petit Papon, pignouf du RN, se voit déjà aux manettes du Ministère de la Propagande pour museler le syndicalisme.
Un vrai ancien mineur CGT, qu'a tout compris!
Un vrai ancien mineur CGT, qu'a tout compris!