................................."La boule au ventre": Un collège ferme ses portes à cause des violences entre élèves.
Le collège Dupaty, situé à Blanquefort (Gironde), a fermé ses portes ce mardi. Parents et professeurs protestent contre les faits de violences qui règnent à l'intérieur de l'établissement.
À bout de nerfs......
Devant les grilles du collège Dupaty, à Blanquefort (Gironde), parents et professeurs affichaient ce mardi 3 janvier un regard inquiet.
Malgré la rentrée des classes en France, cet établissement scolaire n'a reçu aucun élève. Une vingtaine de professeurs souhaitent alerter sur une violence devenue quotidienne dans ce collège. "J'ai la boule au ventre quand je traverse la cour et que je vois ces mouvements de foule.
Quand je vois que le seul intérêt des enfants, c'est de provoquer des bagarres ou que le jeu c'est de taper l'autre.Il faut leur expliquer que ce n'est pas la norme !", témoigne une femme auprès de nos confrères de TF1 Info.
Le personnel enseignant de l'établissement et des jeunes affirment avoir vu le nombre de bagarres entre élèves augmenter sensiblement au sein de l'établissement. À ce point d'ailleurs que des élèves n'osent pas se rendre aux toilettes et évitent certaines zones de la cour de récréation.
"On sait qu'il y en a certains qui s'en fichent des sanctions, vu que ce n'est pas assez fort. Et comme il n'y a pas de surveillants, il y en a qui sont capables de faire beaucoup", témoigne une jeune fille.
Une équipe de sécurité sur place:
Les surveillants expliquent de leur côté être en sous-effectif et manquer de moyens humains. Du côté de la direction de l'établissement, on affirme cependant que ces faits de violence sont davantage liés à des travaux de construction d'un nouveau bâtiment. Nicolas Bonnet, principal du collège explique également que la situation de cet établissement scolaire n'est pas exceptionnelle :
"Il y a effectivement des incivilités, des petites violences quotidiennes que nous gérons. Il n'y a pas un effet de bande. Il n'y a pas une violence systémique dans cet établissement".
Ce jeudi 5 janvier, une équipe de sécurité, diligentée par le rectorat de Bordeaux, doit se rendre sur place pour réaliser un diagnostic au sein de l'établissement.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Boule au ventre, ecolo anxiété & chouinages chroniques. On veut de l’aide nous scrogneugneu
Secouez vous les gens sinon les parasites vont vous devorez tout cru , eux agissent , ne cherchent pas celafauteaquietsurtoutpasamoi , ils agissent avec plus de burnes que de cerveaux certes .........mais ils agissent eux
il va surtout re-falloir mettre en place de la répression, accompagnée d'éducation, mais un ou deux élèves ne peuvent pas semer leur petite terreur sur tous les autres, puis ils font des émules en plus.
Les surveillants expliquent de leur côté être en sous-effectif et manquer de moyens humains. Du côté de la direction de l'établissement, on affirme cependant que ces faits de violence sont davantage liés à des travaux de construction d'un nouveau bâtiment. Nicolas Bonnet, principal du collège explique également que la situation de cet établissement scolaire n'est pas exceptionnelle :
"Il y a effectivement des incivilités, des petites violences quotidiennes que nous gérons. Il n'y a pas un effet de bande. Il n'y a pas une violence systémique dans cet établissement".
Un bonne compilation de la langue de bois :
- c'est la faute des autres ( travaux)
- il faut relativiser, nous gérons alors que visiblement plus personne ne maitrise rien
- on n'a rien vu ni rien entendu
Comme d'habitude la direction laisse les petit personnel gérer le problème et feint qu'il y en ai pour ne pas faire de vagues...
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne
Les surveillants expliquent de leur côté être en sous-effectif et manquer de moyens humains. Du côté de la direction de l'établissement, on affirme cependant que ces faits de violence sont davantage liés à des travaux de construction d'un nouveau bâtiment.
A quoi vont servir des moyens humains supplémentaires si les élèves se foutent des sanctions?
Et alors l'explication de la direction est magique: quel est le rapport entre des travaux et la violence des élèves?
Fonck1 a écrit : ↑04 janvier 2023 13:38
il va surtout re-falloir mettre en place de la répression, accompagnée d'éducation, mais un ou deux élèves ne peuvent pas semer leur petite terreur sur tous les autres, puis ils font des émules en plus.
Et encore une fois Fonck devoir demander des comptes à certains parents pour la non-éducation de leur enfant.....J'ai lu que le nombre d'enfants placés en foyers ou familles d'accueils voir accompagnés par des structures pour négligences(diverses) parentales avait augmenté cette année...
Il faut en finir avec ces parents démissionnaires ou tout simplement qui ne se sentent pas concernés par le fait que leur enfant devienne aussi un citoyen.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Fonck1 a écrit : ↑04 janvier 2023 13:38
il va surtout re-falloir mettre en place de la répression, accompagnée d'éducation, mais un ou deux élèves ne peuvent pas semer leur petite terreur sur tous les autres, puis ils font des émules en plus.
Tout à fait. Le bâton a ses vertus et une exclusion définitive d'un établissement ça existe. De plus, j'aimerais beaucoup voir la réaction des parents.
Crapulax a écrit : ↑04 janvier 2023 13:13
................................."La boule au ventre": Un collège ferme ses portes à cause des violences entre élèves.
Le collège Dupaty, situé à Blanquefort (Gironde), a fermé ses portes ce mardi. Parents et professeurs protestent contre les faits de violences qui règnent à l'intérieur de l'établissement.
À bout de nerfs......
Devant les grilles du collège Dupaty, à Blanquefort (Gironde), parents et professeurs affichaient ce mardi 3 janvier un regard inquiet.
Malgré la rentrée des classes en France, cet établissement scolaire n'a reçu aucun élève. Une vingtaine de professeurs souhaitent alerter sur une violence devenue quotidienne dans ce collège. "J'ai la boule au ventre quand je traverse la cour et que je vois ces mouvements de foule.
Quand je vois que le seul intérêt des enfants, c'est de provoquer des bagarres ou que le jeu c'est de taper l'autre.Il faut leur expliquer que ce n'est pas la norme !", témoigne une femme auprès de nos confrères de TF1 Info.
Le personnel enseignant de l'établissement et des jeunes affirment avoir vu le nombre de bagarres entre élèves augmenter sensiblement au sein de l'établissement. À ce point d'ailleurs que des élèves n'osent pas se rendre aux toilettes et évitent certaines zones de la cour de récréation.
"On sait qu'il y en a certains qui s'en fichent des sanctions, vu que ce n'est pas assez fort. Et comme il n'y a pas de surveillants, il y en a qui sont capables de faire beaucoup", témoigne une jeune fille.
Une équipe de sécurité sur place:
Les surveillants expliquent de leur côté être en sous-effectif et manquer de moyens humains. Du côté de la direction de l'établissement, on affirme cependant que ces faits de violence sont davantage liés à des travaux de construction d'un nouveau bâtiment. Nicolas Bonnet, principal du collège explique également que la situation de cet établissement scolaire n'est pas exceptionnelle :
"Il y a effectivement des incivilités, des petites violences quotidiennes que nous gérons. Il n'y a pas un effet de bande. Il n'y a pas une violence systémique dans cet établissement".
Ce jeudi 5 janvier, une équipe de sécurité, diligentée par le rectorat de Bordeaux, doit se rendre sur place pour réaliser un diagnostic au sein de l'établissement.
Un collège qui ferme en raison des violences entre élèves,
C'est un truc nouveau Il y a quelques décennies ça n''existait pas, comme les voitures qui brulent lors de fêtes.
Est-ce liée à la richesse apportée par la diversité ?
berger141 a écrit : ↑04 janvier 2023 21:04
Un collège qui ferme en raison des violences entre élèves,
C'est un truc nouveau Il y a quelques décennies ça n''existait pas, comme les voitures qui brulent lors de fêtes.
Est-ce liée à la richesse apportée par la diversité ?
De mon temps on excluait les indésirables, ça permettait à ceux qui voulaient bosser de bosser.
C'était pas les racailles qui faisaient la loi ....
berger141 a écrit : ↑04 janvier 2023 21:04
Un collège qui ferme en raison des violences entre élèves,
C'est un truc nouveau Il y a quelques décennies ça n''existait pas, comme les voitures qui brulent lors de fêtes.
Est-ce liée à la richesse apportée par la diversité ?
De mon temps on excluait les indésirables, ça permettait à ceux qui voulaient bosser de bosser.
C'était pas les racailles qui faisaient la loi ....
on a les conditions de vie que l'on se donne électoralement
et il semble qu'aujourd'hui encore ce soit cela que veut la majorité des français
De mon temps on excluait les indésirables, ça permettait à ceux qui voulaient bosser de bosser.
C'était pas les racailles qui faisaient la loi ....
on a les conditions de vie que l'on se donne électoralement
et il semble qu'aujourd'hui encore ce soit cela que veut la majorité des français
Cela n'a rien de politique, c'est plutôt un problème de gestion interne. A vous entendre, Marine Le Pen au pouvoir et tous les problèmes des français seraient réglés, à 80 ans, vous pensez encore à l'existence du Père Noël ?
Il faut aussi se poser la question sur le pourquoi de la violence de ces gamins (peut-être évoluent dans une ambiance familiale elle-même violente). La responsabilité des parents doit être également mise en avant.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
on a les conditions de vie que l'on se donne électoralement
et il semble qu'aujourd'hui encore ce soit cela que veut la majorité des français
Cela n'a rien de politique, c'est plutôt un problème de gestion interne. A vous entendre, Marine Le Pen au pouvoir et tous les problèmes des français seraient réglés, à 80 ans, vous pensez encore à l'existence du Père Noël ?
Il faut aussi se poser la question sur le pourquoi de la violence de ces gamins (peut-être évoluent dans une ambiance familiale elle-même violente). La responsabilité des parents doit être également mise en avant.
Moi, je dirais la responsabilité de la télé, des livres, films, BD, qui peuvent avoir une grande influence sur les enfants.
Cela n'a rien de politique, c'est plutôt un problème de gestion interne. A vous entendre, Marine Le Pen au pouvoir et tous les problèmes des français seraient réglés, à 80 ans, vous pensez encore à l'existence du Père Noël ?
Il faut aussi se poser la question sur le pourquoi de la violence de ces gamins (peut-être évoluent dans une ambiance familiale elle-même violente). La responsabilité des parents doit être également mise en avant.
Moi, je dirais la responsabilité de la télé, des livres, films, BD, qui peuvent avoir une grande influence sur les enfants.
Je ne crois pas, ça fait longtemps que tout cela existe et on ne voyait pas des gabegies de la sorte.
Il s'agit plutôt de la combinaison d'une immigration incontrôlée et du dogme de l'enfant roi lié à mai 68.