jeandu53 a écrit : ↑12 janvier 2024 08:46
vivarais a écrit : ↑11 janvier 2024 23:19
Combien de politiques sortent de l'ENA
En politique il y a ceux qui font partie de la caste et qui même s'ils perdent leur strapontin on crée au besoin un tabouret pour eux
et il y a les kleenex qui servent temporairement électoralement et qui après quelques semaines ou mois retournent à l'anonymat
Les kleenex sont rarement en position éligible sur les listes électorales et parfois ils sont élus
Julien Denormandie, lui n'est pas un kleenex : Il est issu d'une vieille famille parisienne de la bourgeoisie de robe
A 30 ans il était déja tombé dans la marmite de la caste politique (c'est à dire dès ses etudes finies)
l est, de 2012 à 2014, conseiller commun de la ministre chargée du commerce extérieur Nicole Bricq et du ministre de l'Économie et des Finances Pierre Moscovici, puis directeur de cabinet adjoint du ministre de l'Économie Emmanuel Macron. Il démissionne de ce poste en mars 2016 pour participer à la création du mouvement En marche !, dont il devient secrétaire général adjoint.
Et Denormandie, malgré ses belles origines, a préféré travailler dans le privé plutôt que de rester en politique. Plus rémunérateur, moins d'emmerdes.
Fonck1 a écrit : ↑12 janvier 2024 06:20
vous vous plaignez que les ministres, secrétaires d'état, travaillent trop?
une première en france.
J'observe juste que s'engager en politique, surtout à un haut niveau, représente beaucoup de sacrifices, beaucoup d'emmerdes, pour une reconnaissance nulle. Et je constate une fuite des talents.
depuis 2012 Denormandie combien de temps à t il travaillé dans le privé
Nommé ingénieur du génie rural, des eaux et des forêts le 1er octobre 2004, il est affecté en détachement à compter du 25 novembre 2004 à la direction des Relations économiques extérieures du ministère de l'Économie et des Finances. De 2008 à 2010, il est en poste à l'ambassade de France au Caire comme conseiller économique.
l rejoint les cabinets ministériels, d'abord comme conseiller commun de la ministre chargée du commerce extérieur Nicole Bricq16 et du ministre de l'Économie et des Finances Pierre Moscovici en juillet 2012, poste où il est remarqué par son directeur de cabinet Rémy Rioux8, puis par Emmanuel Macron, alors secrétaire général adjoint de l'Élysée
Il démissionne du cabinet d'Emmanuel Macron en mars 2016 pour participer à la création du mouvement En marche, dont il rédige les statuts et devient secrétaire général adjoint9,18, participant ainsi à son développement17 : il est considéré comme sa cheville ouvrière pour la présidentielle puis les législatives8,19.
Alors qu'il était sur le point de quitter la vie politique pour rejoindre dans le privé un incubateur d'entreprise d'Axa17, ce très proche de Macron20 est nommé secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires Jacques Mézard, le 21 juin 201721,22, notamment chargé de la politique du logement17. Le 22 septembre 2017, il présente le plan logement du quinquennat, avec notamment la reconduction des dispositifs de défiscalisation Pinel qui devaient prendre fin le 31 décembre, mais en y ajoutant la création d'un bail mobilité allant de 1 à 8 mois pour les personnes en mobilité (travailleurs en formation, étudiants ou encore jeunes actifs), l’augmentation de la création de logements sociaux et l’amélioration de la mobilité dans le parc actuel, et la création de 80 000 logements pour les jeunes9. Lors du congrès annuel du logement social de 2017, il est accueilli sous les huées à cause des coupes budgétaires subies par le secteur23.
À l'occasion du remaniement ministériel du 16 octobre 2018, il est nommé ministre délégué auprès de la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, Jacqueline Gourault, chargé de la Ville et du Logement, alors même qu'à fin août 2018 le nombre de permis de construire recule de 5 % et que le nombre de demandeurs de logements sociaux a cru de 10 % en 20178. En 2019, il parvient à négocier auprès du ministère de l'Économie et des Finances des coupes budgétaires moins fortes que prévu23. L'Opinion estime alors qu'il « est devenu en deux ans un expert de son secteur » et relève qu'il « s’est montré si charmant que beaucoup de professionnels, comme atteints d’un syndrome de Stockholm, ne lui reprochent même plus le rabot des aides publiques, qui fait ralentir la construction »23. Par ailleurs, il figure « au premier rang » des ministres recadrés par Édouard Philippe au sujet de la mise en place de la contemporanéité des aides personnelles au logement (APL), reportée à cause d'une mauvaise gestion24.
Membre de la commission nationale d'investiture de LREM pour les élections municipales de 2020, il se déporte du choix du candidat pour Paris, étant soutien de Benjamin Griveaux, alors que son concurrent Cédric Villani dénonce une commission « partiale »25,26.
Dans le contexte de la pandémie de Covid-19, il s'oppose au moratoire sur les loyers demandé par des associations, estimant que cela mettrait « en difficulté certains propriétaires »27.
Le 6 juillet 2020, à la surprise de Didier Guillaume15 et de son cabinet, il est nommé ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation dans le gouvernement de Jean Castex28.
A part la brève création d'une start up qui a fait chou blanc en 2014 où est son cursus en dehors des sphères politiques
avant de balancer des conneries ,informez vous
comme lui j'ai fait un bref passage dans les ministères qui me vaut aujourd'hui une pension d'un peu plus de 400 € de l'IRCANTEC mais que j'ai vite quitté en voyant les magouille et le panier de crabe que c'était
Moi oui je suis vite retourné dans le privé
à l'époque et je l'ai toujours dit la seule avec qui j'aurais pu éventuellement travailler était Ségolène Royale qui avait encore des convictions et n'en démordait pas