Ecologie et extrême droite : un dangereux mélange

[Hdelapampa]

Et?
Vous en concluez quoi?

[Patchouli38]

"La parole du RN à l'épreuve du changement climatique"

La mise en doute des travaux du Giec par un député du RN, ce lundi matin, a fait réagir une partie de la classe politique. Le parti de Marine Le Pen est partagé entre besoin de plaire à ses électeurs et nécessité d'apparaître à la hauteur du défi climatique.

Alors que l' Hexagone suffoque sous des températures record , le sujet climatique s'invite au coeur de la rentrée politique. Interrogé ce lundi matin sur France Inter, le député RN du Loiret et porte-parole du parti, Thomas Ménagé, a semblé sous-estimer la capacité du Giec à mesurer l'ampleur des effets du changement climatique. « Ils ont parfois tendance à exagérer », a-t-il expliqué à l'antenne, avant d'avancer que le rôle du politique était de « tempérer » pour éviter de « contrevenir à la qualité de vie des Français ».

Des propos qui ont fait réagir la classe politique jusqu'au ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, en visite dans l'Ain auprès d' une entreprise concernée par le plan sobriété en eau. « Je laisse les Français savoir à qui il faut faire confiance, à un député RN qui vous explique qu'il n'y a pas de problème de dérèglement climatique, ou à un consortium de scientifiques d'à peu près tous les pays du monde et variant les spécialités, a-t-il déclaré face à des journalistes. Je laisse les Français juges pour savoir lequel est le plus crédible. »

Equilibre difficile à tenir

Les rapports du Giec font d'autant plus consensus que chaque mot de leurs « résumés pour décideurs » doit être approuvé par les gouvernements de ses 195 pays membres. Leurs conclusions sont d'ailleurs souvent jugées trop prudentes par les militants écologiques.

Plus à l'aise pour dénoncer les effets d'une immigration incontrôlée que pour avancer des solutions concrètes face à la crise climatique, le parti de Marine Le Pen peine à défendre un discours cohérent sur l'écologie.

Un équilibre, en réalité, difficile à tenir. D'un côté, une part importante de son électorat rejette en bloc les mesures visant à combattre les effets du réchauffement. Dernier exemple en date, l'instauration de zones à faible émission (ZFE) dans plusieurs grandes villes visant à limiter l'usage de certains véhicules anciens et combattues par le RN dans l'hémicycle.

De l'autre, la prétendante à l'Elysée veut continuer à peaufiner l'image d'un parti de gouvernement responsable et attentif aux risques climatiques, parmi les principaux sujets de préoccupation des Français dans les sondages.
« L'extrême droite est climatosceptique »

Plusieurs députés RN sont ainsi montés au créneau pour défendre leur collègue député. « Les climato-hypocrites macronistes en roue libre ! Thomas Ménagé a juste rappelé la primauté du politique en démocratie », a contre-attaqué Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme et proche de Marine Le Pen, sur X (anciennement Twitter) après que le compte de Renaissance, le parti présidentiel, a dénoncé : « L'extrême droite est climatosceptique ».
Lire aussi :

Jean-Philippe Tanguy, le nouveau monsieur Economie du RN

« Je persiste et signe. Le rôle du politique, après avoir écouté l'avis des scientifiques, c'est de savoir placer le bon curseur pour limiter l'impact social et économique des politiques publiques », précise Thomas Ménagé, sollicité par « Les Echos ».

Un « localisme » d'inspiration patriotique

Mais dans ce domaine, le programme du RN se limite essentiellement à défendre la relocalisation de l'appareil productif et des industries en France. Un « localisme » d'inspiration patriotique censé diminuer les émissions de CO2 liées au transport mondial.

Dans le même temps, fort de ses 89 députés , le RN écarte toute mesure contraignante et dénonce régulièrement une « écologie de la punition ». Ses membres prônent aussi un renforcement du nucléaire comme seule énergie décarbonée au détriment de l'éolien. Quant au discours sur le changement climatique, il est parfois sujet à caution dans les rangs d'un parti où l'on explique ne pas vouloir céder à l'alarmisme ambiant.

Un pas de deux très politique et fonction des circonstances - à l'image de ces récentes déclarations - alors que les températures record enregistrées sur le globe confirment de façon inquiétante les prévisions du Giec."

https://www.lesechos.fr/politique-socie ... ue-1971334

Selon le RN, faut pas être alarmiste, même si les français font face à des températures jamais vu en France (42° à Toulouse) avec toutes les conséquences qui vont avec. Le RN pense d'abord à faire plaisir à son électorat avant les français dans leur globalité.

[vivarais]

Et?
Vous en concluez quoi?

que surtout les petits agriculteurs bien plus nombreux que les gros qui empoisonnent l'environnement apprécient le volet ecologique responsable et non punitif du RN
par contre LFI ne prend pas le risque de se confronter aux agriculteurs au salon de l'agriculture
https://www.tf1info.fr/politique/salon- ... 11614.html
voila ce que j'en conclus
et vous que concluez vous que mélenchon n'ose pas se rendre au salon de l'agriculture comme le font tous les candidats à la présidentielle

[vivarais]

"La parole du RN à l'épreuve du changement climatique"

La mise en doute des travaux du Giec par un député du RN, ce lundi matin, a fait réagir une partie de la classe politique. Le parti de Marine Le Pen est partagé entre besoin de plaire à ses électeurs et nécessité d'apparaître à la hauteur du défi climatique.

Alors que l' Hexagone suffoque sous des températures record , le sujet climatique s'invite au coeur de la rentrée politique. Interrogé ce lundi matin sur France Inter, le député RN du Loiret et porte-parole du parti, Thomas Ménagé, a semblé sous-estimer la capacité du Giec à mesurer l'ampleur des effets du changement climatique. « Ils ont parfois tendance à exagérer », a-t-il expliqué à l'antenne, avant d'avancer que le rôle du politique était de « tempérer » pour éviter de « contrevenir à la qualité de vie des Français ».

Des propos qui ont fait réagir la classe politique jusqu'au ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, en visite dans l'Ain auprès d' une entreprise concernée par le plan sobriété en eau. « Je laisse les Français savoir à qui il faut faire confiance, à un député RN qui vous explique qu'il n'y a pas de problème de dérèglement climatique, ou à un consortium de scientifiques d'à peu près tous les pays du monde et variant les spécialités, a-t-il déclaré face à des journalistes. Je laisse les Français juges pour savoir lequel est le plus crédible. »

Equilibre difficile à tenir

Les rapports du Giec font d'autant plus consensus que chaque mot de leurs « résumés pour décideurs » doit être approuvé par les gouvernements de ses 195 pays membres. Leurs conclusions sont d'ailleurs souvent jugées trop prudentes par les militants écologiques.

Plus à l'aise pour dénoncer les effets d'une immigration incontrôlée que pour avancer des solutions concrètes face à la crise climatique, le parti de Marine Le Pen peine à défendre un discours cohérent sur l'écologie.

Un équilibre, en réalité, difficile à tenir. D'un côté, une part importante de son électorat rejette en bloc les mesures visant à combattre les effets du réchauffement. Dernier exemple en date, l'instauration de zones à faible émission (ZFE) dans plusieurs grandes villes visant à limiter l'usage de certains véhicules anciens et combattues par le RN dans l'hémicycle.

De l'autre, la prétendante à l'Elysée veut continuer à peaufiner l'image d'un parti de gouvernement responsable et attentif aux risques climatiques, parmi les principaux sujets de préoccupation des Français dans les sondages.
« L'extrême droite est climatosceptique »

Plusieurs députés RN sont ainsi montés au créneau pour défendre leur collègue député. « Les climato-hypocrites macronistes en roue libre ! Thomas Ménagé a juste rappelé la primauté du politique en démocratie », a contre-attaqué Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme et proche de Marine Le Pen, sur X (anciennement Twitter) après que le compte de Renaissance, le parti présidentiel, a dénoncé : « L'extrême droite est climatosceptique ».
Lire aussi :

Jean-Philippe Tanguy, le nouveau monsieur Economie du RN

« Je persiste et signe. Le rôle du politique, après avoir écouté l'avis des scientifiques, c'est de savoir placer le bon curseur pour limiter l'impact social et économique des politiques publiques », précise Thomas Ménagé, sollicité par « Les Echos ».

Un « localisme » d'inspiration patriotique

Mais dans ce domaine, le programme du RN se limite essentiellement à défendre la relocalisation de l'appareil productif et des industries en France. Un « localisme » d'inspiration patriotique censé diminuer les émissions de CO2 liées au transport mondial.

Dans le même temps, fort de ses 89 députés , le RN écarte toute mesure contraignante et dénonce régulièrement une « écologie de la punition ». Ses membres prônent aussi un renforcement du nucléaire comme seule énergie décarbonée au détriment de l'éolien. Quant au discours sur le changement climatique, il est parfois sujet à caution dans les rangs d'un parti où l'on explique ne pas vouloir céder à l'alarmisme ambiant.

Un pas de deux très politique et fonction des circonstances - à l'image de ces récentes déclarations - alors que les températures record enregistrées sur le globe confirment de façon inquiétante les prévisions du Giec."

https://www.lesechos.fr/politique-socie ... ue-1971334

Selon le RN, faut pas être alarmiste, même si les français font face à des températures jamais vu en France (42° à Toulouse) avec toutes les conséquences qui vont avec. Le RN pense d'abord à faire plaisir à son électorat avant les français dans leur globalité.

savez vous seulement que depuis que l'on fait des relevés météos et qu'on les archives tout cela s'est déja produit
plutot que de blablater cherchez pour voir si à toulouse il n'y a pas eu moult fois 42 ° à toulouse
c'est sure que c'est plus chiant et fatiguant de faire cela que de colporter des colporter des conneries sur le RN
https://www.meteo-paris.com/actualites/ ... -en-france
par exemple le 12 aout 2003 le record etait de 44.1 °
si certains jouent les alarmistes ce n'est surement pas le RN en créant des phobies
on a donc de la marge avec 42 °

[vivarais]

"La parole du RN à l'épreuve du changement climatique"

La mise en doute des travaux du Giec par un député du RN, ce lundi matin, a fait réagir une partie de la classe politique. Le parti de Marine Le Pen est partagé entre besoin de plaire à ses électeurs et nécessité d'apparaître à la hauteur du défi climatique.

Alors que l' Hexagone suffoque sous des températures record , le sujet climatique s'invite au coeur de la rentrée politique. Interrogé ce lundi matin sur France Inter, le député RN du Loiret et porte-parole du parti, Thomas Ménagé, a semblé sous-estimer la capacité du Giec à mesurer l'ampleur des effets du changement climatique. « Ils ont parfois tendance à exagérer », a-t-il expliqué à l'antenne, avant d'avancer que le rôle du politique était de « tempérer » pour éviter de « contrevenir à la qualité de vie des Français ».

Des propos qui ont fait réagir la classe politique jusqu'au ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, en visite dans l'Ain auprès d' une entreprise concernée par le plan sobriété en eau. « Je laisse les Français savoir à qui il faut faire confiance, à un député RN qui vous explique qu'il n'y a pas de problème de dérèglement climatique, ou à un consortium de scientifiques d'à peu près tous les pays du monde et variant les spécialités, a-t-il déclaré face à des journalistes. Je laisse les Français juges pour savoir lequel est le plus crédible. »

Equilibre difficile à tenir

Les rapports du Giec font d'autant plus consensus que chaque mot de leurs « résumés pour décideurs » doit être approuvé par les gouvernements de ses 195 pays membres. Leurs conclusions sont d'ailleurs souvent jugées trop prudentes par les militants écologiques.

Plus à l'aise pour dénoncer les effets d'une immigration incontrôlée que pour avancer des solutions concrètes face à la crise climatique, le parti de Marine Le Pen peine à défendre un discours cohérent sur l'écologie.

Un équilibre, en réalité, difficile à tenir. D'un côté, une part importante de son électorat rejette en bloc les mesures visant à combattre les effets du réchauffement. Dernier exemple en date, l'instauration de zones à faible émission (ZFE) dans plusieurs grandes villes visant à limiter l'usage de certains véhicules anciens et combattues par le RN dans l'hémicycle.

De l'autre, la prétendante à l'Elysée veut continuer à peaufiner l'image d'un parti de gouvernement responsable et attentif aux risques climatiques, parmi les principaux sujets de préoccupation des Français dans les sondages.
« L'extrême droite est climatosceptique »

Plusieurs députés RN sont ainsi montés au créneau pour défendre leur collègue député. « Les climato-hypocrites macronistes en roue libre ! Thomas Ménagé a juste rappelé la primauté du politique en démocratie », a contre-attaqué Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme et proche de Marine Le Pen, sur X (anciennement Twitter) après que le compte de Renaissance, le parti présidentiel, a dénoncé : « L'extrême droite est climatosceptique ».
Lire aussi :

Jean-Philippe Tanguy, le nouveau monsieur Economie du RN

« Je persiste et signe. Le rôle du politique, après avoir écouté l'avis des scientifiques, c'est de savoir placer le bon curseur pour limiter l'impact social et économique des politiques publiques », précise Thomas Ménagé, sollicité par « Les Echos ».

Un « localisme » d'inspiration patriotique

Mais dans ce domaine, le programme du RN se limite essentiellement à défendre la relocalisation de l'appareil productif et des industries en France. Un « localisme » d'inspiration patriotique censé diminuer les émissions de CO2 liées au transport mondial.

Dans le même temps, fort de ses 89 députés , le RN écarte toute mesure contraignante et dénonce régulièrement une « écologie de la punition ». Ses membres prônent aussi un renforcement du nucléaire comme seule énergie décarbonée au détriment de l'éolien. Quant au discours sur le changement climatique, il est parfois sujet à caution dans les rangs d'un parti où l'on explique ne pas vouloir céder à l'alarmisme ambiant.

Un pas de deux très politique et fonction des circonstances - à l'image de ces récentes déclarations - alors que les températures record enregistrées sur le globe confirment de façon inquiétante les prévisions du Giec."

https://www.lesechos.fr/politique-socie ... ue-1971334

Selon le RN, faut pas être alarmiste, même si les français font face à des températures jamais vu en France (42° à Toulouse) avec toutes les conséquences qui vont avec. Le RN pense d'abord à faire plaisir à son électorat avant les français dans leur globalité.

savez vous seulement que depuis que l'on fait des relevés météos et qu'on les archives tout cela s'est déja produit
plutot que de blablater cherchez pour voir si à toulouse il n'y a pas eu moult fois 42 ° à toulouse
c'est sure que c'est plus chiant et fatiguant de faire cela que de colporter des colporter des conneries sur le RN
https://www.meteo-paris.com/actualites/ ... -en-france
par exemple le 12 aout 2003 le record était de 44.1 °
si certains jouent les alarmistes ce n'est surement pas le RN en créant des phobies
on a donc de la marge avec 42 °
j'espère que vous n'avez pas oubliez comment s'habillaient vos ascendants avec de températures bien plus élevées que 42 °
moi j'ai opté pour le boubou
https://www.bing.com/images/search?view ... ajaxserp=0
ma femme plus coquette a flashé sur le sari lorsque l'on etait en Pondichéry
https://www.bing.com/images/search?view ... ajaxserp=0

[gare au gorille]

On a déjà parlé de la porosité entre extrême droite et complotisme. Là on en a juste une nouvelle preuve, vu le programme climatonégationniste (qui est un type de complotisme) qui est décrit.

Décidément y'a vraiment rien à garder dans cette idéologie ... Mais ça on l'a déjà largement remarqué partout où ils ont du pouvoir.

Ah ben oui, la porosité, ma dyeu-madyeu et encore enfoncer le clous genre (texte ci-dessus) Après avoir dérobé la laïcité, le patriotisme et la valeur travail à la gauche, le RN pourrait-il en faire de même avec l’écologie ?

La laïcité de la gauche
Le patriotisme de gauche
Je n'ose m'aventurer dans la "valeur de travail à la gauche"



L'écologie (et non les bobos-gôchô EELV) n'a pas le monopole de la gauche

Tout à fait et j'aimerais bien que quelqu'un essaye de trouver le début d'un argument pour justifier le titre idiot de ce sujet, à savoir " Ecologie et extrême droite, un dangereux mélange" !! Et c'est quoi qui serait tellement dangereux dans ce mélange ??
Ce qui a été un mélange néfaste ce serait plutôt "l'écologie et le macronisme" qui nous a conduit à un truc aussi stupide que la fermeture de Fessenheim.

[gare au gorille]

On a déjà parlé de la porosité entre extrême droite et complotisme. Là on en a juste une nouvelle preuve, vu le programme climatonégationniste (qui est un type de complotisme) qui est décrit.

Décidément y'a vraiment rien à garder dans cette idéologie ... Mais ça on l'a déjà largement remarqué partout où ils ont du pouvoir.

Ah ben oui, la porosité, ma dyeu-madyeu et encore enfoncer le clous genre (texte ci-dessus) Après avoir dérobé la laïcité, le patriotisme et la valeur travail à la gauche, le RN pourrait-il en faire de même avec l’écologie ?

La laïcité de la gauche
Le patriotisme de gauche
Je n'ose m'aventurer dans la "valeur de travail à la gauche"



L'écologie (et non les bobos-gôchô EELV) n'a pas le monopole de la gauche

Tout à fait et j'aimerais bien que quelqu'un essaye de trouver le début d'un argument pour justifier le titre idiot de ce sujet, à savoir " Ecologie et extrême droite, un dangereux mélange" !! Et c'est quoi qui serait tellement dangereux dans ce mélange ??
Ce qui a été un mélange néfaste ce serait plutôt "l'écologie et le macronisme" qui nous a conduit à un truc aussi stupide que la fermeture de Fessenheim.

[Patchouli38]

Ah ben oui, la porosité, ma dyeu-madyeu et encore enfoncer le clous genre (texte ci-dessus) Après avoir dérobé la laïcité, le patriotisme et la valeur travail à la gauche, le RN pourrait-il en faire de même avec l’écologie ?

La laïcité de la gauche
Le patriotisme de gauche
Je n'ose m'aventurer dans la "valeur de travail à la gauche"



L'écologie (et non les bobos-gôchô EELV) n'a pas le monopole de la gauche

Tout à fait et j'aimerais bien que quelqu'un essaye de trouver le début d'un argument pour justifier le titre idiot de ce sujet, à savoir " Ecologie et extrême droite, un dangereux mélange" !! Et c'est quoi qui serait tellement dangereux dans ce mélange ??
Ce qui a été un mélange néfaste ce serait plutôt "l'écologie et le macronisme" qui nous a conduit à un truc aussi stupide que la fermeture de Fessenheim.

Déjà, remettre en cause les données du GIEC constitue un problème, aller dire que cette instituations exagère alors que la France a fait face à un épisode caniculaire inédit (jusqu'à 42° dans certaines villes), et que d'autres pays voisins et éloignée (tels que la Chine) subissent le même phénomène,... Franchement, votre copain aurait mieux fait de se taire, surtout qu'il n'est ni scientifique, ni climatologue, ni météorologue.

Ensuite, Marine Le Pen a proposé, pour économiser l'eau, d'arrêter la construction de logement sociaux. Alors, même si la France fait face à une terrible sécheresse, le bon français pourra continuer à prendre 2 bains par jour, remplir sa piscine. On voit bien là le niveau, et ça vole bas.

Ensuite, on voit bien que le RN n'a aucune maîtrise de l'écologie et propose des solutions ne se concentrant que sur le localisme, comme si cela permettait de lutter contre le réchauffement climatique. Franchement, ils n'ont fait aucune proposition pour éviter que nos belles entreprises françaises limitent leur pollution dans l'atmosphère, dans les sols et dans l'eau, rien contre l'élevagte extensif, rien sur la limitation des pesticides, bref le néant total.

Voilà de quoi appuyer mon argumentaire :

"Localisme, décroissance et climatoscepticisme… Quand la jeunesse d’extrême droite se pare d’écologie"
https://vert.eco/articles/localisme-dec ... -decologie

"Une écologie enracinée et identitaire
Contre «l’écologie punitive», ces jeunes d’extrême droite prônent «le localisme» et «l’enracinement». Ils remettent en cause la mondialisation et appellent à une consommation plus locale, pour réindustrialiser le pays, créer des emplois et réduire le bilan carbone des Français·es. Un discours facile à appréhender, sorte «d’écologie pour les nuls, selon Erwan Lecoeur. Face aux défis écologiques, l’extrême droite donne à voir un âge d’or imaginaire, un passé idéalisé, celui durant lequel on mangeait la vache élevée dans le pré et où tout allait bien. Comme si la France pouvait revenir à une forme de production des années 20 ou 30. Évidemment, ça ne fonctionne pas.»

L’idée : non pas sauver la planète, mais sauvegarder un terroir, un pays et ses habitant·es. «Il ne s’agit pas d’une écologie mondiale avec une prise en compte de la planète au sens large, mais d’une France qui doit se protéger contre la dégradation du monde. On en revient à une vision écologico-nationaliste, qui permet de se donner bonne conscience à moindre frais. Et à moindre effort», note le chercheur."


Si pour vous, votre critique sur l'écologie et le macronisme se limite à une action faite dans le passé (fermeture de Fesseheim), cela veut donc dire que vous n'avez pas de matière à critiquer sur les mesures actuelles du Président de la République. Seriez-vous en manque d'arguments ?

[gare au gorille]

Tout à fait et j'aimerais bien que quelqu'un essaye de trouver le début d'un argument pour justifier le titre idiot de ce sujet, à savoir " Ecologie et extrême droite, un dangereux mélange" !! Et c'est quoi qui serait tellement dangereux dans ce mélange ??
Ce qui a été un mélange néfaste ce serait plutôt "l'écologie et le macronisme" qui nous a conduit à un truc aussi stupide que la fermeture de Fessenheim.

Déjà, remettre en cause les données du GIEC constitue un problème, aller dire que cette instituations exagère alors que la France a fait face à un épisode caniculaire inédit (jusqu'à 42° dans certaines villes), et que d'autres pays voisins et éloignée (tels que la Chine) subissent le même phénomène,... Franchement, votre copain aurait mieux fait de se taire, surtout qu'il n'est ni scientifique, ni climatologue, ni météorologue.

Ensuite, Marine Le Pen a proposé, pour économiser l'eau, d'arrêter la construction de logement sociaux. Alors, même si la France fait face à une terrible sécheresse, le bon français pourra continuer à prendre 2 bains par jour, remplir sa piscine. On voit bien là le niveau, et ça vole bas.

Ensuite, on voit bien que le RN n'a aucune maîtrise de l'écologie et propose des solutions ne se concentrant que sur le localisme, comme si cela permettait de lutter contre le réchauffement climatique. Franchement, ils n'ont fait aucune proposition pour éviter que nos belles entreprises françaises limitent leur pollution dans l'atmosphère, dans les sols et dans l'eau, rien contre l'élevagte extensif, rien sur la limitation des pesticides, bref le néant total.

Voilà de quoi appuyer mon argumentaire :

"Localisme, décroissance et climatoscepticisme… Quand la jeunesse d’extrême droite se pare d’écologie"
https://vert.eco/articles/localisme-dec ... -decologie

"Une écologie enracinée et identitaire
Contre «l’écologie punitive», ces jeunes d’extrême droite prônent «le localisme» et «l’enracinement». Ils remettent en cause la mondialisation et appellent à une consommation plus locale, pour réindustrialiser le pays, créer des emplois et réduire le bilan carbone des Français·es. Un discours facile à appréhender, sorte «d’écologie pour les nuls, selon Erwan Lecoeur. Face aux défis écologiques, l’extrême droite donne à voir un âge d’or imaginaire, un passé idéalisé, celui durant lequel on mangeait la vache élevée dans le pré et où tout allait bien. Comme si la France pouvait revenir à une forme de production des années 20 ou 30. Évidemment, ça ne fonctionne pas.»

L’idée : non pas sauver la planète, mais sauvegarder un terroir, un pays et ses habitant·es. «Il ne s’agit pas d’une écologie mondiale avec une prise en compte de la planète au sens large, mais d’une France qui doit se protéger contre la dégradation du monde. On en revient à une vision écologico-nationaliste, qui permet de se donner bonne conscience à moindre frais. Et à moindre effort», note le chercheur."


Si pour vous, votre critique sur l'écologie et le macronisme se limite à une action faite dans le passé (fermeture de Fesseheim), cela veut donc dire que vous n'avez pas de matière à critiquer sur les mesures actuelles du Président de la République. Seriez-vous en manque d'arguments ?

Bien sur que non madame Patchouli, les arguments contre la politique de Macron, ses erreurs stratégiques et le désastre de sa politique ne manquent pas, mais peut être avez vous remarqué que votre haine vous emmène à nous pondre pratiquement que des sujets anti RN et que nous sommes justement ici en train de chercher ou serait "ce dangereux mélange' entre écologie et "l'extrême droite" si chère à votre coeur.
Les errances de monsieur Macron ne sont pas vraiment le sujet.
Quant à votre écologie "mondiale" que la France devrait assumer, qu'elle commence déjà par assumer une écologie à son propre niveau et ce sera déjà pas mal, on attendra un peu avant d'aller donner des leçons à la planète entière.