
Voici les résultats tous secteurs confondus.
Globalement la CGT est en tête (20,8 %).
Le syndicalisme des primes et du cémieukerien repasse derrière.
Logique au vu des derniers événements.
Plutôt d'accord avec Kelenner.
On va demander à notre "sans opinion personnelle" sur quels faits incontestables il fonde son vomi diffamatoire:
...Au service des "travailleurs"...mais pas de Kelenner qui ne nous dit rien de l'employeur chez qui il sévit. Pauvre patron, je le plains.La CFDT stabilise son audience dans la fonction publique et reste première public-privé confondus
Les résultats des élections professionnelles dans les trois versants de la fonction publique ont été rendus publics. Ils ne modifient pas le paysage syndical français. La CFDT conforte sa place de première organisation syndicale française, tous secteurs confondus, accentuant son avance sur la CGT.
Avec 18,5 % des suffrages recueillis au total dans la fonction publique, la CFDT stabilise son audience. Elle recule malgré tout d’une place au classement des organisations syndicales représentatives dans la fonction publique, légèrement devancée par FO.
...Dans ces conditions, les équipes CFDT lui ont permis de progresser dans le secteur des finances, parmi les douaniers, aux ministères du Travail et de l’Ecologie. Totalement investies, ses équipes ont placé la CFDT en tête au centre de gestion du Finistère et au Centre hospitalier d’Auxerre. La CFDT devient ainsi première organisation syndicale au Conseil régional d’Occitanie, renforce sa première place dans le public en Bourgogne-Franche-Comté, au ministère de la défense, à Orange ou à La poste…
Cette forte implication n’a malheureusement pas suffi à faire voter massivement les agents et les contractuels. La CFDT regrette un taux de participation en recul. Un mauvais signe, sans doute renforcé par les difficultés que certains ont éprouvé devant la complexité des procédures de vote. Mais surtout un signal inquiétant pour une démocratie qui, scrutin après scrutin, enregistre des taux de participation en baisse.
Durant les quatre prochaines années, les élus CFDT seront présents auprès des agents de la fonction publique et des contractuels pour faire vivre un syndicalisme différent, un syndicalisme de dialogue, de construction et de résultats. Un syndicalisme au service des travailleurs.
Et ça c'est un accord "incontestable" sur les milliers d'autres signés chaque année par les fédérations de la CFDT...La CFDT Finances est la seule fédération syndicale à avoir demandé l’ouverture de négociations ministérielles sur le télétravail depuis 2019 afin d’octroyer plus de droits aux agents et améliorer les conditions de travail des télétravailleurs
Les avancées obtenues par la cfdt fonction publique qui s’appliquent depuis janvier 2022
L’implication de la CFDT a permis l’intégration de nombreuses avancées à l’accord Fonction publique, qui s’appliquent déjà :
Une indemnisation forfaitaire des frais à hauteur 2,50 euros/jours plafonnées à 220 euros annuels maximum dès septembre 2021
Un véritable droit à la déconnexion
La possibilité pour un proche aidant, avec l’accord de son employeur, de télétravailler plus de trois jours par semaine, et pour une femme enceinte de le faire sans accord préalable du médecin du travail
Des dispositions diverses en matière de formation, de management, de santé au travail, d’organisation du travail, d’implication de l’ensemble du collectif de travail…
Ces nouveaux droits ont été précisés au niveau ministériel par la négociation d’un accord télétravail ambitieux.
Les avancées obtenues par la cfdt finances dans le projet d’accord ministériel
Durant les négociations ministérielles, la CFDT Finances a obtenu l’intégration de nombreuses avancées favorables à tous les agents du ministère :
Le télétravail, c’est l’affaire de tous : la formation a été étendue à l’ensemble des collectifs de travail et pas uniquement au télétravailleur et à son responsable.
La charge de travail sera discutée dans tous les services : l’accord précise bien qu’il faut parler travail, charge de travail et organisation du travail dans tous les services afin de faire en sorte de réunir les meilleures conditions de travail pour tous les agents. Des espaces de dialogues sur le télétravail peuvent être mis en place.
Le droit à la déconnexion est pour la première fois précisé. À la demande de la CFDT, il a été intégré à la négociation : chartes du droit à la déconnexion, chartes du temps et plans d’actions seront négociés (quand ils n’existent pas déjà) au niveau directionnel au premier semestre 2023 afin d’être opérationnels au second semestre.
Du matériel pour télétravailler : les matériels et outils mis à dispositions des télétravailleurs ont été précisés (téléphone, micro-casque, double écran…) ainsi que les applications permettant le travail collaboratif.
Des négociations locales, c’est possible avec la CFDT ! La possibilité de négociations dans les directions locales a été intégrée au texte à la demande de la seule CFDT pour discuter concrètement de l’organisation et de la charge de travail du service dans son ensemble.
3 jours de télétravail, c’est possible ! L’accord confirme la possibilité de demander 3 jours de télétravail et les directions qui refusaient cette possibilité devront motiver leur refus.
L’information syndicale (HMI, RMIS...), c’est aussi pour les télétravailleurs ! A compter du second semestre 2022, des expérimentations seront lancées pour organiser des heures mensuelles d’information (HMI) à distance ou en mode mixte (présentiel et distanciel) sur l’ensemble du périmètre d’une direction locale, en mettant à disposition une salle équipée, ou encore pour des HMI nationales et des webinaires.
Un fond de 3 millions € pour l’accompagnement du développement du télétravail est mis en place.
Toutes ces avancées ont conduit la CFDT Finances a rapidement faire part de sa décision de le signer !
Solidaires Finances, FO Finances, la CFTC Finances, l’UNSA Finances et la CFE- CGC Finances ont également décidé de le signer, contrairement à la CGT Finances. Cet accord ministériel est majoritaire et s’appliquera donc.
Le plan Juppé était une mesure de bon gestionnaire et même une partie des socialistes y a adhéré ( Evin par exemple).Kelenner a écrit : ↑17 décembre 2022 21:29 Et l'autre qui nous sort le ministère des Finances...Oui, je te confirme, je suis bien placé pour savoir qu'en effet ils ne sont pas à plaindre. La question c'est plutôt de savoir quand tout ce beau monde se met au boulot...
La CFDT actuelle n'est qu'une contrefaçon d'un syndicat autrefois respectable. Depuis Nicole Notat, mise en minorité en 95 par ses propres congressistes, elle n'est qu'une mascarade destinée à simuler un dialogue social. Elle a soutenu la réforme Juppé de 95. Elle se soumet en 2000 aux propositions du MEDEF, en signant tous les accords. Sous Chérèque, elle signe à nouveau la réforme des retraites de Raffarin, puis appelle à voter "oui" au référendum de 2005. La seule action positive à mettre à son crédit est l'opposition au CPE en 2006.
Les choses empirent à nouveau avec Berger. La CFDT se soumet à la loi El Khomry (Macron, en réalité) et soutient le projet de réforme des retraites, innommable, proposé par Macron en 2019. Aucune autre organisation syndicale n'en fait de même.
On ne peut plus parler d'égarements devant une liste aussi édifiante. La CFDT a sciemment trahi son histoire et les valeurs qu'elle était censé défendre, elle a trahi les travailleurs qui ont cru en elle. Elle mérite le mépris et l'opprobre qui est désormais associée à son nom. Tous les syndicalistes respectables l'ont quitté depuis belle lurette, il ne reste que les minables, les ambitieux, les sans scrupules, ceux qui se foutent des intérêts de ceux qu'ils représentent.
Ce ne sont pas les nuances qui t'étouffent toi!Kelenner a écrit : ↑17 décembre 2022 21:29 Et l'autre qui nous sort le ministère des Finances...Oui, je te confirme, je suis bien placé pour savoir qu'en effet ils ne sont pas à plaindre. La question c'est plutôt de savoir quand tout ce beau monde se met au boulot...
La CFDT actuelle n'est qu'une contrefaçon d'un syndicat autrefois respectable. Depuis Nicole Notat, mise en minorité en 95 par ses propres congressistes, elle n'est qu'une mascarade destinée à simuler un dialogue social. Elle a soutenu la réforme Juppé de 95. Elle se soumet en 2000 aux propositions du MEDEF, en signant tous les accords. Sous Chérèque, elle signe à nouveau la réforme des retraites de Raffarin, puis appelle à voter "oui" au référendum de 2005. La seule action positive à mettre à son crédit est l'opposition au CPE en 2006.
Les choses empirent à nouveau avec Berger. La CFDT se soumet à la loi El Khomry (Macron, en réalité) et soutient le projet de réforme des retraites, innommable, proposé par Macron en 2019. Aucune autre organisation syndicale n'en fait de même.
On ne peut plus parler d'égarements devant une liste aussi édifiante. La CFDT a sciemment trahi son histoire et les valeurs qu'elle était censé défendre, elle a trahi les travailleurs qui ont cru en elle. Elle mérite le mépris et l'opprobre qui est désormais associée à son nom. Tous les syndicalistes respectables l'ont quitté depuis belle lurette, il ne reste que les minables, les ambitieux, les sans scrupules, ceux qui se foutent des intérêts de ceux qu'ils représentent.
Sur la réforme avortée des retraites de 2019Le texte initial, « visant à instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs », a été amplement transformé et rebaptisé « projet de loi relatif au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels ». Tout du long, la CFDT a été en première ligne pour en faire un texte porteur de progrès pour les salariés, à la fois par davantage de dialogue social, dans l’esprit du rapport Combrexelle, et par de nouveaux droits attachés à la personne, dans la continuité d’une décennie de sécurisation des parcours professionnels.
La compétitivité (aussi) dans l’intérêt des salariés
Les mesures inacceptables de la première version n’ont pas fait long feu face à une contestation unanime : le gouvernement a dû céder sur le plafonnement des indemnités prud’hommes, rétablir un droit du travail supplétif (qui s’applique en l’absence d’accord) à la hauteur de l’existant, renoncer à étendre le pouvoir de décision unilatéral de l’employeur, rétablir le périmètre du groupe pour apprécier la justification d’un licenciement économique… Mais c’est surtout par l’ampleur de ses propositions que la CFDT a pesé. Avec deux lignes de force : le renforcement des droits des travailleurs et l’affirmation du dialogue social comme vecteur de compromis permettant de concilier la compétitivité des entreprises (et donc l’emploi en France) et les intérêts des salariés, en faisant confiance aux acteurs de terrain pour trouver les solutions les plus adaptées à leurs réalités.
C’est l’esprit du fameux article 2 : si les conditions d’un accord majoritaire (validé par des organisations pesant 50% ou à défaut la majorité des salariés consultés à la demande d’organisations pesant 30%) sont réunies, les modalités d’organisation du temps de travail peuvent être négociées, dans les limites ouvertes par la loi. Si tel n’est pas le cas, c’est le droit du travail actuel qui continue de s’appliquer. La loi entérine également, en les encadrant, les accords défensifs et offensifs pour l’emploi, tels qu’en ont signé STX, Renault, Michelin ou Peugeot, mais aussi nombre de plus petites entreprises qui font face aux mêmes mutations : partage de l’information pour un diagnostic partagé ; préambule précisant les objectifs poursuivis ; négociation par la voie du mandatement ; droit à l’expertise ; durée de cinq ans par défaut.
Le Conseil constitutionnel valide le texte
Les députés du groupe Les Républicains ont saisi le Conseil constitutionnel sur la création d’une instance de dialogue social dans les réseaux de franchise de plus de 300 salariés. Le Conseil constitutionnel s'est prononcé le 4 août en validant les pincipales avancés du texte.
Après le Conseil constitutionnel l'essentiel des avancées obtenues sont préservées ac le CPA et le dialogue social en entreprise #loitravail
— Laurent Berger (@CfdtBerger) August 4, 2016
La culture du dialogue social
La loi vise aussi à renforcer la culture du dialogue social. À commencer par le mandatement (d’un élu ou d’un salarié) en l’absence de délégué syndical, qui n’est plus limité aux négociations obligatoires. La branche a vu son rôle de régulateur réaffirmé en matière de salaires minima, classifications, garanties collectives complémentaires et mutualisation des fonds de la formation professionnelle, mais aussi de prévention de la pénibilité et d’égalité professionnelle. D’ici deux ans, chaque branche devra négocier son ordre public conventionnel, soit « les thèmes sur lesquels les accords d’entreprise ne peuvent être moins favorables que les accords conclus au niveau de la branche, à l’exclusion des thèmes pour lesquels la loi prévoit la primauté de l’accord d’entreprise ».
Concernant les acteurs du dialogue social, la loi sécurise la mise à disposition de locaux syndicaux par les collectivités territoriales ; elle augmente de 20% les heures de délégation syndicale ; elle clarifie la prise en charge de l’expertise CHSCT par l’employeur ; elle permet de répartir, par accord, le budget des activités sociales et culturelles des comités d’établissement au prorata des effectifs ; une partie du budget de fonctionnement pourra aller à la formation des élus. Enfin, la CFDT a obtenu la création d’une instance de dialogue social dans les réseaux de franchise de plus de 300 salariés si les conditions et l’organisation du travail dépendent de la tête de réseau.
Droits sociaux du XXIe siècle
L’autre grand volet de la loi, c’est l’ambition de construire des droits adaptés aux bouleversements du marché du travail. C’est l’objectif des mesures encadrant les forfaits-jours (mesure de la charge de travail, droit à la déconnexion, etc.) comme de la responsabilisation des plateformes (accidents du travail, formation professionnelle, droits syndicaux, etc.) vis-à-vis de « leurs » travailleurs lorsqu’elles dictent la nature de la relation avec les clients. Cette ambition est surtout au cœur du compte personnel d’activité que la CFDT a mis sur les rails lors du congrès de Marseille en 2014 et que le gouvernement a repris à son compte. C’est une première étape majeure, même si son contenu est pour l’heure limité au compte personnel de formation et au compte personnel de prévention de la pénibilité, auquel s’ajoute un nouveau compte d’engagement citoyen – mais pas de compte épargne-temps, comme la CFDT le revendiquait. La grande nouveauté du CPA, c’est qu’il bénéficiera à tous les travailleurs – jeunes, indépendants, agents publics, salariés – dès l’âge de 16 ans jusqu’à la fin de leur vie. En outre, et la CFDT y tenait, la loi acte le principe d’un accompagnement global et personnalisé, notamment par le biais du conseil en évolution professionnelle, pour renforcer l’effectivité de ces droits. Autant de briques à partir desquelles la CFDT ambitionne de construire à terme un dispositif plus complet. La concertation sur « les dispositifs pouvant être intégrés dans le compte personnel d’activité », prévue d’ici le 1er octobre 2016 entre les partenaires sociaux devrait servir cet objectif. Reste à savoir si l’ensemble des acteurs, patronat en tête, auront retrouvé le chemin de la raison d’ici là.
Les syndicats CFDT, CFTC et UNSA sont initialement favorables, sous certaines conditions, à l'instauration du système universel. Ils sont, par contre, opposés à des mesures d'économie préalable à l'entrée en vigueur de la réforme. La CGT, FO, SUD et la CFE-CGC sont opposés au principe de la création d'un système universel à points. À la suite de la confirmation par le Premier ministre le 11 décembre de l'âge pivot de 64 ans pour disposer des droits pleins avant le départ à la retraite, les trois syndicats CFDT, CFTC et UNSA décident de rejoindre le mouvement d'opposition à la réforme.
Excellents rappels.Kelenner a écrit : ↑17 décembre 2022 21:29 Et l'autre qui nous sort le ministère des Finances...Oui, je te confirme, je suis bien placé pour savoir qu'en effet ils ne sont pas à plaindre. La question c'est plutôt de savoir quand tout ce beau monde se met au boulot...
La CFDT actuelle n'est qu'une contrefaçon d'un syndicat autrefois respectable. Depuis Nicole Notat, mise en minorité en 95 par ses propres congressistes, elle n'est qu'une mascarade destinée à simuler un dialogue social. Elle a soutenu la réforme Juppé de 95. Elle se soumet en 2000 aux propositions du MEDEF, en signant tous les accords. Sous Chérèque, elle signe à nouveau la réforme des retraites de Raffarin, puis appelle à voter "oui" au référendum de 2005. La seule action positive à mettre à son crédit est l'opposition au CPE en 2006.
Les choses empirent à nouveau avec Berger. La CFDT se soumet à la loi El Khomry (Macron, en réalité) et soutient le projet de réforme des retraites, innommable, proposé par Macron en 2019. Aucune autre organisation syndicale n'en fait de même.
On ne peut plus parler d'égarements devant une liste aussi édifiante. La CFDT a sciemment trahi son histoire et les valeurs qu'elle était censé défendre, elle a trahi les travailleurs qui ont cru en elle. Elle mérite le mépris et l'opprobre qui est désormais associée à son nom. Tous les syndicalistes respectables l'ont quitté depuis belle lurette, il ne reste que les minables, les ambitieux, les sans scrupules, ceux qui se foutent des intérêts de ceux qu'ils représentent.
Après des propos caricaturaux dignes d'une officine de propagande de Sud rail, tu me prends pour un branleur de la SNCF!? J'étais cadre du privé, et je suis normalement parti à la retraite à 60 ans, grâce à des trimestres acquis pendant mes études supérieures et des CDD de vacances dès 17 ans.
Manager, et en effet, déjà une grande autonomie qui nous permettait de rédiger les conclusions de nos missions d'audit... à domicile. Notre entreprise a précédé de 10 ans l'utilisation des NTIC que tes copains de la FP ont découvert avec stupeur après 1995. Des manchots, des bras cassés ta clique de suceurs de roue.
Le résultat d'un "bon dialogue social" ... partagé. Kelenner et ses miliciens qualifieront cette concertation réussie...de "collaboration". Ils ne peuvent être que des opposants sans propositions opérationnelle. Des ânes bâtés!papibilou a écrit : ↑18 décembre 2022 09:04 Pour avoir eu affaire avec les syndicats, j'ai pu constater qu'en entreprise, les syndicalistes n'étaient pas forcément la copie conforme de ce que laissait croire leur centrale. J'ai eu d'excellents rapports, constructifs, en particulier avec avec des délégués FO qui ne se préoccupaient pas de politique mais bien des salariés de l'entreprise et parfois proposaient des solutions que les dirigeants étaient ravis d'adopter car intelligentes.
« Manager « , ce n’est pas un travail. Tu ne sers à rien, tu ne produis rien, tu n’apportes aucun service. D’ailleurs tous tes semblables ont arrêté de « bosser « (ou plutôt de faire semblant) pendant les 2 ans du Covid, planqués chez eux en petant de trouille devant Zoom, pendant que les vrais travailleurs faisaient tourner le pays. Tu es un digne représentant de ta génération pourrie, fainéante, inapte à bosser, égoïste, malveillante. Tu mériterais qu’on te coupe les vivres, tu ne mérites aucune pension, juste de retourner découvrir le vrai travail que tu n’as jamais pratiqué.UBUROI a écrit : ↑18 décembre 2022 08:51Manager, et en effet, déjà une grande autonomie qui nous permettait de rédiger les conclusions de nos missions d'audit... à domicile. Notre entreprise a précédé de 10 ans l'utilisation des NTIC que tes copains de la FP ont découvert avec stupeur après 1995. Des manchots, des bras cassés ta clique de suceurs de roue.
Beurk! Pour toi, pas plus que le SMIC et Wagner pour te forcer à bosser.
. jusqu'à 67 ans