Et pas seulement pour "faire barrage au RN", je crois mais plutôt par rejet viscéral des virages idéologiques et opportunistes réalisés par LFI avant les dernières élections présidentielles.
Once a écrit : ↑12 juin 2024 21:46Et pas seulement pour "faire barrage au RN", je crois mais plutôt par rejet viscéral des virages idéologiques et opportunistes réalisés par LFI avant les dernières élections présidentielles.
En commençant par l'abandon de la laïcité et le choix des minorités de confession musulmane. J'entendais tout à l'heure que Marion Aubry aurait fait 66 % auprès de ces communautés. C'est tout dire.
Les ennemis de LFI ont beau jeu de dire que LFI c'est "La France Islamiste".
Titre de gazette de droite! et repris ici avec jubilation par des accrocs du RN.«Il s’est fait avoir» Glucksmann ......
https://www.lemonde.fr/politique/articl ... 23448.htmlLe Parti socialiste, qui était parti avec 70 candidats il y a deux ans, en présentera désormais 175. Cette centaine supplémentaire est le reflet d’un nouveau rapport de force, tiré du score de 13,8 % de la liste PS-Place publique menée par Raphaël Glucksmann aux élections européennes, par opposition à 2022, quand Anne Hidalgo avait obtenu 1,75 % à l’élection présidentielle.
gare au gorille a écrit : ↑13 juin 2024 02:27Once a écrit : ↑12 juin 2024 21:46
Et pas seulement pour "faire barrage au RN", je crois mais plutôt par rejet viscéral des virages idéologiques et opportunistes réalisés par LFI avant les dernières élections présidentielles.
En commençant par l'abandon de la laïcité et le choix des minorités de confession musulmane. J'entendais tout à l'heure que Marion Aubry aurait fait 66 % auprès de ces communautés. C'est tout dire.
Les ennemis de LFI ont beau jeu de dire que LFI c'est "La France Islamiste".
Il existe un mot composé (ici censuré et susceptible d'un bannissement)
Respect des règles de cordialité de base
Message par Modéraldys » 18 février 2009 09:29
Chers membres,
Suite à des plaintes de plusieurs membres,depuis plusieurs mois déjà,sur des termes péjoratifs associés aux noms propres des noms des personnes publiques ainsi qu'aux classes politiques,nous demanderons désormais aux membres de respecter et de ne plus associer:
Tout mot péjoratif divers (exemple: fachô, gauchô ,ect...)
Ainsi qu'aux noms propres: la gourde,sarkoléon,Nicolaï et autres subtilités qui nuisent à l'atteinte des noms propres des personnes politiques et la cordialité des débats.
-les termes arabo muzz, nazislamistes, nazisionistes ou autres termes péjoratifs sont désormais passibles de bannissement 1 journée sans préavis.
Glucksmann, qui a apporté sur un plateau un nouvel élan de sympathisants au PS, a toujours refusé de mener des accords électoraux avec LFI. mardi, il 'est fait juste évincer par Olivier Faure , qui a récupéré les bénéfices de la campagne des européennes, en faisant fi des directives de la tète de liste. Ce n'est pas un programme, c'est juste de l'opportunisme à la petite semaine.UBUROI a écrit : ↑13 juin 2024 07:44Titre de gazette de droite! et repris ici avec jubilation par des accrocs du RN.«Il s’est fait avoir» Glucksmann ......
Sauf que ce titre est une fiction politique.
C'est qui Glucksmann?
C'est quoi "Place publique"?
Glucksmann a créé un "Mouvement" pas un parti pour les européennes. Ce Mouvement "Place Publique" est « mouvement politique 100 % société civile » en vue de rassembler la gauche pro-européenne sympathisante d'Europe Écologie Les Verts (EÉLV) en passant par le Parti socialiste (PS), le Parti communiste (PCF) et Génération.s.
Il n'a aucune "assise" en terme d'élus en France, sauf au Parlement Européen.
Ca peut choquer nos diafoirus en politique mais Place Publique, mouvement transversal de gauche "ne réclame pas de circo! Ben non, mes zozos! Place Publique participe au Front Populaire pour définir son programme électoral en vue des légismlatives de juin/juillet. POINT BARRE! Ces "conditions" sont une "ligne clairement pro-européenne", le "soutien indéfectible à la résistance ukrainienne et à la livraison d'armes" et "le rejet de la brutalisation de la vie politique et des calomnies". Des termes qui avaient déjà été posés par Raphaël Glucksmann sur France 2 ce lundi.
Alors Glucksmann ne s'est pas fait avoir! Ca chagrine ceux qui voient dans un parti ou un mouvement qu'une organisation clanique pour aller à la soupe!
C'est ça la politique, avant tout un programme; alors que CIOTTI et sa clique d'extrême droite du Rn à Z , c'est "des sous!"
Par contre le PS qui participe au mouvement Place Publique pour les Européennes sort gagnant dans les négociations à gauche: + 105 circoshttps://www.lemonde.fr/politique/articl ... 23448.htmlLe Parti socialiste, qui était parti avec 70 candidats il y a deux ans, en présentera désormais 175. Cette centaine supplémentaire est le reflet d’un nouveau rapport de force, tiré du score de 13,8 % de la liste PS-Place publique menée par Raphaël Glucksmann aux élections européennes, par opposition à 2022, quand Anne Hidalgo avait obtenu 1,75 % à l’élection présidentielle.
Olivier Faure, le carriériste qui me rappelle quelqu'un....sofasurfer a écrit : ↑13 juin 2024 09:09Glucksmann, qui a apporté sur un plateau un nouvel élan de sympathisants au PS, a toujours refusé de mener des accords électoraux avec LFI. mardi, il 'est fait juste évincer par Olivier Faure , qui a récupéré les bénéfices de la campagne des européennes, en faisant fi des directives de la tète de liste. Ce n'est pas un programme, c'est juste de l'opportunisme à la petite semaine.UBUROI a écrit : ↑13 juin 2024 07:44
Titre de gazette de droite! et repris ici avec jubilation par des accrocs du RN.
Sauf que ce titre est une fiction politique.
C'est qui Glucksmann?
C'est quoi "Place publique"?
Glucksmann a créé un "Mouvement" pas un parti pour les européennes. Ce Mouvement "Place Publique" est « mouvement politique 100 % société civile » en vue de rassembler la gauche pro-européenne sympathisante d'Europe Écologie Les Verts (EÉLV) en passant par le Parti socialiste (PS), le Parti communiste (PCF) et Génération.s.
Il n'a aucune "assise" en terme d'élus en France, sauf au Parlement Européen.
Ca peut choquer nos diafoirus en politique mais Place Publique, mouvement transversal de gauche "ne réclame pas de circo! Ben non, mes zozos! Place Publique participe au Front Populaire pour définir son programme électoral en vue des légismlatives de juin/juillet. POINT BARRE! Ces "conditions" sont une "ligne clairement pro-européenne", le "soutien indéfectible à la résistance ukrainienne et à la livraison d'armes" et "le rejet de la brutalisation de la vie politique et des calomnies". Des termes qui avaient déjà été posés par Raphaël Glucksmann sur France 2 ce lundi.
Alors Glucksmann ne s'est pas fait avoir! Ca chagrine ceux qui voient dans un parti ou un mouvement qu'une organisation clanique pour aller à la soupe!
C'est ça la politique, avant tout un programme; alors que CIOTTI et sa clique d'extrême droite du Rn à Z , c'est "des sous!"
Par contre le PS qui participe au mouvement Place Publique pour les Européennes sort gagnant dans les négociations à gauche: + 105 circos
https://www.lemonde.fr/politique/articl ... 23448.html
J'espère que les sympathisants PS apprécieront et renverront le PS la d'où il vient, du néant. Et au passage il faut applaudir la capacité de résilience de uburoi, qui accepte sans broncher que le PS créée une alliance avec un parti dans lequel des cadres tiennent des propos antisémites. C'est fou ce que la sacro sainte lutte contre le RN permet toutes les turpitudes...
L'avantage de cette dissolution est que beaucoup montre leur vrai visage : des hommes et des femmes prêts à vendre père et mère pour avoir une place chaude à l'Assemblée Nationale. Spectacle tristement pathétique et ce sont ces mêmes personnes qui veulent gouverner la France. Et ça parle au nom de la France, et cela veut aider les français alors, qu'en réalité, leurs intérêts personnels passent avant nous, pauvres français.Fonck1 a écrit : ↑13 juin 2024 09:15Olivier Faure, le carriériste qui me rappelle quelqu'un....sofasurfer a écrit : ↑13 juin 2024 09:09
Glucksmann, qui a apporté sur un plateau un nouvel élan de sympathisants au PS, a toujours refusé de mener des accords électoraux avec LFI. mardi, il 'est fait juste évincer par Olivier Faure , qui a récupéré les bénéfices de la campagne des européennes, en faisant fi des directives de la tète de liste. Ce n'est pas un programme, c'est juste de l'opportunisme à la petite semaine.
J'espère que les sympathisants PS apprécieront et renverront le PS la d'où il vient, du néant. Et au passage il faut applaudir la capacité de résilience de uburoi, qui accepte sans broncher que le PS créée une alliance avec un parti dans lequel des cadres tiennent des propos antisémites. C'est fou ce que la sacro sainte lutte contre le RN permet toutes les turpitudes...
... contre-sens politique/ méconnaissance crasse!
C'est la tout le génie de Macron, qui a parié sur les ténors qui se déchirent, et cela n'a pas loupé. En sus une annonce bien placée d'indexation des pensions de retraite sur l'inflation, et hop, la magie opère, les électeurs habituels de Renaissance vont rapidement rentrer dans le rang...Patchouli38 a écrit : ↑13 juin 2024 09:36L'avantage de cette dissolution est que beaucoup montre leur vrai visage : des hommes et des femmes prêts à vendre père et mère pour avoir une place chaude à l'Assemblée Nationale. Spectacle tristement pathétique et ce sont ces mêmes personnes qui veulent gouverner la France. Et ça parle au nom de la France, et cela veut aider les français alors, qu'en réalité, leurs intérêts personnels passent avant nous, pauvres français.
On est mal barré.
Si vous aviez une connaissance de l'histoire de france vous sauriez qu'une proportion des communistes français n'ont pas suivi les ordres dans l'huma de collaboration avec les nazis par respect du pactes germano soviétiquePatchouli38 a écrit : ↑13 juin 2024 09:36L'avantage de cette dissolution est que beaucoup montre leur vrai visage : des hommes et des femmes prêts à vendre père et mère pour avoir une place chaude à l'Assemblée Nationale. Spectacle tristement pathétique et ce sont ces mêmes personnes qui veulent gouverner la France. Et ça parle au nom de la France, et cela veut aider les français alors, qu'en réalité, leurs intérêts personnels passent avant nous, pauvres français.
On est mal barré.
on s'en balance un peu de ce qu'il s'est passé avant.vivarais a écrit : ↑13 juin 2024 09:48Si vous aviez une connaissance de l'histoire de france vous sauriez qu'une proportion des communistes français n'ont pas suivi les ordres dans l'huma de collaboration avec les nazis par respect du pactes germano soviétiquePatchouli38 a écrit : ↑13 juin 2024 09:36
L'avantage de cette dissolution est que beaucoup montre leur vrai visage : des hommes et des femmes prêts à vendre père et mère pour avoir une place chaude à l'Assemblée Nationale. Spectacle tristement pathétique et ce sont ces mêmes personnes qui veulent gouverner la France. Et ça parle au nom de la France, et cela veut aider les français alors, qu'en réalité, leurs intérêts personnels passent avant nous, pauvres français.
On est mal barré.
pour certains l'intérêt de la france passe avant les directive du parti (quel qu'il soit) et que cela passe avant l'intérêt personnel
partez du principe pour une bonne intégration que le français par tradition n'aime pas qu'on lui impose ce qu'il doit faire
le français par principe est laïc ce qui veut dire "sans dieu ; ni maitre "
Et au RN intelligemment l'a compris et ne donne jamais de directives électorales lorsqu'il est battu au premier tour
Vous pouvez remonter dans 40 ans d'archives du RN vous n'en trouverez pas
À l’initiative d’un «front populaire» pour contrer la poussée du Rassemblement national, le député de la Somme a lancé sa campagne, mercredi soir, à Amiens.
Jean-Luc Mélenchon se sent «capable» de devenir premier ministre en cas de victoire de la gauche aux élections législatives anticipées ? Lui aussi ! Le député LFI de la Somme, François Ruffin, l’a affirmé jeudi matin au micro de France Bleu Picardie. «Je m'en sens capable aussi. Si jamais il y a un consensus sur un nom, je suis prêt à prendre la place qu'on voudra pour transformer la vie des gens», a déclaré l’ancien journaliste. Une proposition de service en forme de réponse adressée au décrié fondateur du parti de gauche radicale, sorti du bois mercredi soir au 20H de France 2. «Je ne m'élimine pas, mais je ne m'impose pas», a lancé Jean-Luc Mélenchon.
À découvrir
Au moment même où ces mots étaient prononcés au journal télévisé, François Ruffin était occupé à lancer sa campagne dans sa circonscription picarde, où la droite nationale a frôlé les 50% des voix aux européennes dimanche dernier. «Chaque jour qui passe est un jour de perdu», a-t-il martelé dans un quartier populaire d’Amiens, sans cacher les menaces qui pèsent sur sa réélection à l’Assemblée nationale. Pas question, mercredi soir, d’ergoter sur l’hypothétique premier ministre du «nouveau front populaire». «Il faudra une équipe et j’aurai un rôle à jouer», a-t-il tout juste reconnu, parlant d’«incarnation plurielle».
À gauche, les candidats à Matignon se multiplient
C’est pourtant lui qui a émis le premier l’idée d’un large «front populaire» dimanche soir, enchaînant les duplex des télévisions nationales. «J'en appelle aux dirigeants des partis de gauche pour que maintenant on soit unis et qu'on arrête les conneries. Ça a assez duré de s'insulter», a-t-il tapé du poing sur la table, poussant nommément les dirigeants des quatre principaux partis de gauche à initier un «front populaire» contre «l’extrême droite». Le message a été entendu par les intéressés qui se sont retrouvés autour de la table des négociations dès le lendemain.
Manifestement satisfait de voir son idée reprise en chœur dans les heures qui ont suivi, François Ruffin et son entourage ont revendiqué dans un article de Libération lundi le «capitanat» de l’initiative. Une façon de se placer pour faire face en première ligne au candidat désigné par le Rassemblement national, Jordan Bardella. Mais l’idée a été mise en pause, l’équipe du Picard ne parlant plus mercredi soir de «capitanat» et refusant tout commentaire. Il faut dire que les négociations des partis de gauche, si elles aboutissent à un certain nombre d’accord, n’ont toujours pas tranché l’identité de leur figure de proue. Et les candidats se pressent au portillon : outre François Ruffin et Jean-Luc Mélenchon, le communiste Fabien Roussel s’est lui aussi porté candidat au poste de premier ministre.