Un gynécologue accusé de transphobie pour avoir refusé une femme trans

[fleur2jasmin]

Que vient faire chez un gynécologue... non pas une femme trans mais un mec avec une queue ? ...

Ah oui d’ailleurs c’est quoi le motif de sa consultation ? Cette personne s’est trompée de porte en s’adressant à un gynécologue à mon avis.

[Mesoke]

Ah je n’en sais rien sûrement que ce n’est pas obligatoire mais les traitements hormonaux et la chirurgie c’est quand même l’aboutissement de leur transition. Comment vouloir être femme et se sentir femme avec des attributs masculins ? Ou alors c’est dans la tête que ça se passe…. Cela relève de la psychiatrie à mon avis.

Non, ça dépend carrément des personnes. Pour certaines femmes transgenres par exemple, se faire appeler au féminin, s'habiller "en femme" et se maquiller leur suffit, sans avoir à toucher à leur corps.

[Mesoke]

Oui c’est exact mais refuser d’ausculter cette personne ne relève pas de transphobie c’est même tout à fait légitime de la part de ce praticien d’avoir refusé. Il connaît les limites de sa fonction : comme je disais il n’est pas spécialiste pour ce genre de cas. Après oui on ne connaît pas les échanges qu’ils ont eu…visiblement le gynécologue a été lui aussi victime d’un lynchage sur les réseaux sociaux accusé (à tort ou à raison je ne sais pas) d’homophobie et de transphobie.

C'est bien tout le problème : avec le peu d'info dont on dispose on ne sait pas. A priori c'est débile pour une femme trans d'aller chez le gynéco. Mais p'têt qu'elle avait de bonnes raison d'y aller, et qu'elle a juste mal choisi un gynéco qui n'était pas compétent pour ce genre de patiente. A priori le gynéco lui a juste fait remarquer qu'il n'était pas compétent, mais p'têt qu'il a appuyé ça avec des propos outrageux.

Les deux se sont fait pourrir par le camp de l'autre, et le harcèlement c'est mal.

[da capo]

Oui c’est exact mais refuser d’ausculter cette personne ne relève pas de transphobie c’est même tout à fait légitime de la part de ce praticien d’avoir refusé. Il connaît les limites de sa fonction : comme je disais il n’est pas spécialiste pour ce genre de cas. Après oui on ne connaît pas les échanges qu’ils ont eu…visiblement le gynécologue a été lui aussi victime d’un lynchage sur les réseaux sociaux accusé (à tort ou à raison je ne sais pas) d’homophobie et de transphobie.

C'est bien tout le problème : avec le peu d'info dont on dispose on ne sait pas. A priori c'est débile pour une femme trans d'aller chez le gynéco. Mais p'têt qu'elle avait de bonnes raison d'y aller, et qu'elle a juste mal choisi un gynéco qui n'était pas compétent pour ce genre de patiente. A priori le gynéco lui a juste fait remarquer qu'il n'était pas compétent, mais p'têt qu'il a appuyé ça avec des propos outrageux.

Les deux se sont fait pourrir par le camp de l'autre, et le harcèlement c'est mal.

Cette personne devrait consulter chez un transgenrologue.

[berger141]

Que vient faire chez un gynécologue... non pas une femme trans mais un mec avec une queue ? ...

Ah oui d’ailleurs c’est quoi le motif de sa consultation ? Cette personne s’est trompée de porte en s’adressant à un gynécologue à mon avis.

Le transgenre aurait du consulter un psychiatre

[Mesoke]

Et pourquoi ça ?

[grishka]

C'est juste une différence dans la construction du cerveau, un peu comme l'autisme.

Affirmation pondue par les milieux militants transgenres américains qui n'a pas l'ombre d'un support scientifique.

D'ailleurs:
https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html
"Il est impossible de deviner si un cerveau appartient à un homme ou une femme"
Catherine Vidal (neurobiologiste)

Les personnes transgenres ne délirent pas. Pas plus qu'un homosexuel ne délire en étant attiré par une personne du même sexe.

Comparaison absurde.
Qu'une personne soit attirée par un homme, une femme, un hamster ou un pot de chambre, c'est une réalité purement subjective qui ne dépend que du ressenti déclaré de la personne.
Le sexe d'une personne est une donnée objective. Evidemment, vous allez me rétorquer que le "genre est différent du sexe"... tout en ne cessant de confondre les deux.

Je le dis carrément: le "genre" est un concept qui n'explique rien, donc parfaitement inutile et vide de sens véritable.

[grishka]

La transidentité n'est pas une maladie psychiatrique. C'est juste une différence du développement cérébral. Ca ne se soigne pas, c'est du "hardware" dans le cerveau. Aller contre sa nature transidentitaire provoque, par contre, des troubles psychiques.

De nouveau, mot pour mot, propagande des milieux militants transgenre.
Qui ne repose sur absolument AUCUNE preuve scientifique.

[grishka]

En France
https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... ntale-.php

Le transsexualisme n'est plus une maladie mentale
Par Marion Joseph
Publié le 12/02/2010 à 13:19, Mis à jour le 03/03/2010 à 13:20

Roselyne Bachelot, la ministre de la Santé, l'avait promis en mai dernier. Le décret a été publié mercredi au Journal officiel. La France devient le premier pays du monde à franchir le pas.

Une avancée historique. Les transsexuels ne sont plus considérés comme des malades mentaux en France. Le ministère de la Santé a en effet publié mercredi au Journal officiel un décret qui retire «les troubles précoces de l'identité de genre» de la liste des affections psychiatriques. Dans l'hexagone, entre 40.000 et 60.000 personnes seraient concernées par cette décision, selon les estimations des associations.

«La France est le premier pays au monde à ne plus considérer le transsexualisme comme pathologie mentale», s'est félicité vendredi Joël Bedos, responsable français au comité IDAHO (International Day Against Homophobia and transphobia, NDLR). «C'est historique», a renchéri Philippe Castel, porte-parole de l'Interassociative lesbienne gay bi et trans. «C'était quelque chose de très important et très attendu depuis la promesse» de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, le 16 mai 2009, à la veille de la journée mondiale de lutte contre l'homophobie et la transphobie», a poursuivi le porte-parole.
Une affection longue durée «hors liste»

Jusqu'à mercredi, la France s'en référait à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Cette dernière s'appuie en effet sur la liste des pathologies recensées dans le manuel médical DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, NDLR), auquel se réfère le corps médical. Et si la révision de ce manuel est en cours, personne ne semble envisager d'en retirer le transsexualisme, précise Joël Bedos du Comité IDAHO.

En septembre, Roselyne Bachelot avait assuré que les transsexuels pourraient continuer à être pris en charge par la Sécurité sociale. Ce processus devrait se faire par le classement du transsexualisme comme affection longue durée (ALD) «hors liste» ou comme «maladie orpheline», explique le Comité IDAHO.
Traiter la «question du changement d'état civil»

Jusqu'à présent, les transsexuels bénéficiaient d'une exonération du ticket modérateur pour leur prise en charge médicale au titre d'une affection de longue durée pour «troubles récurrents ou persistants». Pour le ministère de la Santé, il s'agit d'un «signal fort envoyé à l'ensemble de la communauté», les transsexuels ressentant cette disposition comme «stigmatisante».

«Il reste encore beaucoup de choses en suspens qui doivent être absolument traitées», a toutefois rappelé Philippe Castel, citant notamment «la question du changement d'état civil». Et d'ajouter : «Actuellement, la France oblige à subir une opération chirurgicale qui implique une stérilisation pour passer de ?M.' à ?Mme' ou l'inverse sur les papiers d'identité alors que la moitié, environ, des transsexuels ne souhaitent pas changer physiquement de sexe.»

Jiimmy, cathos intégristes, RN, même combat.

Donc en France, par décret ministériel, ce n'est plus considéré comme un trouble mental... alors que la référence médicale mondiale le liste.
Ainsi que l'OMS.
Et donc pour vous, le premier est scientifiquement parfaitement objectif, et le second, non.

[grishka]

Sauf que ce que j'entends est relatif à des faits avérés

rien ne nous le prouve, c'est donc de la flûte, mais on commence à être habitué.

Suffit de chercher pour trouver:
https://apnews.com/article/transgender- ... 5371c6ba2b
Cela existe.

Evidemment, vu que ce type de recherche est entre les mains de gens qui dépendent financièrement des transitions chimiques et cliniques puisque ce sont eux qui les pratiquent, voire de militants (voir carrément les deux), c'est minimisé au maximum.

L'un des plus fameux cas, supervisé par le psychologue John William Money, est David Reimer: l'essentiel de la Genèse des travaux démontrant que le "genre" est essentiellement acquis est basé sur ce cas.
John Money est quasiment l'inventeur du concept de "genre" qui n'aurait rien à voir avec le sexe.
David Reimer a fini par se suicider. Gros succès.

[grishka]

Pour certaines femmes transgenres par exemple, se faire appeler au féminin, s'habiller "en femme" et se maquiller leur suffit, sans avoir à toucher à leur corps.

Et vous ne réalisez pas l'absurdité de la chose?
Des décennies (si ce n'est des siècles) de luttes féministes, y compris pour avoir le droit de s'habiller comme des "hommes" (port du pantalon) ou de ne pas porter de maquillage, et aujourd'hui, il suffit de porter une robe et de se maquiller pour devenir une femme?
Et même au-delà, en creux, c'est admettre que c'est ce qui les définirait!

On ne naît pas femme, on le devient.
Simone de Beauvoir

Je n'aurais jamais cru qu'elle voulait dire qu'en deux minutes, je pouvais moi-même le devenir en enfilant une robe...
Ah mais j'oubliais: je ne suis pas doté des fameux "cablages" cérébraux des transgenres...

[fleur2jasmin]

Et pourquoi ça ?

Parce qu’il/elle est sans doute atteint(e) de troubles psychiatriques et cela nécessite des soins en conséquence. Se sentir femme dans le corps d’un homme est une chose mais poussez le vice en allant frapper à la porte d’un gynécologue afin de renforcer ce sentiment d’appartenance (j’imagine)… Il faut quand même avoir un pète au casque (pardonnez moi l’expression). Prochaine étape c’est quoi il simule une grossesse ? Non mais reconnaissez quand même que c’est risible comme situation.

[vivarais]

Et pourquoi ça ?

Parce qu’il/elle est sans doute atteint(e) de troubles psychiatriques et cela nécessite des soins en conséquence. Se sentir femme dans le corps d’un homme est une chose mais poussez le vice en allant frapper à la porte d’un gynécologue afin de renforcer ce sentiment d’appartenance (j’imagine)… Il faut quand même avoir un pète au casque (pardonnez moi l’expression). Prochaine étape c’est quoi il simule une grossesse ? Non mais reconnaissez quand même que c’est risible comme situation.

certains n'ont pas encore la partie de l'anatomie concernée par la gynécologie
ce n'est pas l'orifice quelques cm vers l'arriéré de l'entre jambe et orifice unique chez ceux de type masculin
même avec un vagin artificiel il n'y aura jamais d'utérus ni de trompes de Fallope

[Fonck1]

Et pourquoi ça ?

Parce qu’il/elle est sans doute atteint(e) de troubles psychiatriques et cela nécessite des soins en conséquence. Se sentir femme dans le corps d’un homme est une chose mais poussez le vice en allant frapper à la porte d’un gynécologue afin de renforcer ce sentiment d’appartenance (j’imagine)… Il faut quand même avoir un pète au casque (pardonnez moi l’expression). Prochaine étape c’est quoi il simule une grossesse ? Non mais reconnaissez quand même que c’est risible comme situation.

non ce qui est risible, c'est votre tolérance.
c'est la tolérance de comprendre qu' une personne peut être autrement que vos fondements, c'est la tolérance de comprendre que le mal être peut être un état que l'on accepte pas, vous croyez qu'il faut du vice pour aller en parler à un gynéco? je pense qu'il faut au contraire beaucoup de courage.
ils n'ont pas besoin de renforcer quoi que ce soit, souvent, ces personnes essayent de comprendre pourquoi leur sexualité n'est pas en liaison avec leur intimité, que leur amour de l'autre n'est pas possible car peut être du même sexe, tout cela vous dépasse avec certitude, mais par pitié, ne parlez pas de vice, parce que vous n'en savez rien, ne parlez pas de soins parce que vous n'en savez rien, et on est pas atteint par cela, on EST comme cela.

[Corvo]

À moins que je ne fasse erreur..."quelqu'un" équipé d'un pénis n'a rien à faire chez un ou une gynécologue.