Je pense que ce raisonnement est exact. Mais vers les années 2000/2003, Poutine était disposé à frapper aux portes de l'Europe. C'est la mère Merkel, caniche des USA qui a refermé 'notre' porte. On connait la suite ... Sans parler de son 'welcome, welcome' en 2015 avec les conséquences que nous avons vu et la vague de soit-disant réfugiés politiques ...Victor a écrit : ↑21 mai 2024 12:27 La Russie ne veut pas de l'UE et encore moins de l'OTAN à ses frontières.
La Biélorussie, L'Ukraine , la Géorgie sont des pays qui, dans la stratégie russe de Poutine et de ses sbires, doivent rester sous contrôle (sous domination) russe.
La Russie déjà perdu les pays Baltes, il est hors de question pour elle que l'Ukraine ou la Géorgie passent dans le camp occidental.
La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
Merkel est devenue chancelière à la fin de l’année 2005 et n’a donc pas pu jouer le rôle que vous lui attribuez en 2000/2003.Saturne a écrit : ↑21 mai 2024 14:11 Je pense que ce raisonnement est exact. Mais vers les années 2000/2003, Poutine était disposé à frapper aux portes de l'Europe. C'est la mère Merkel, caniche des USA qui a refermé 'notre' porte. On connait la suite ... Sans parler de son 'welcome, welcome' en 2015 avec les conséquences que nous avons vu et la vague de soit-disant réfugiés politiques ...
La Russie n’a jamais postulé pour adhérer à l’UE. La Russie n’est pas un pays ordinaire, c’est un empire. Son adhésion à l’UE soulèverait de nombreux problèmes, en raison des divergences politiques et économiques, et de la taille même de la Russie qui déstabiliserait l’UE.
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
c'est peut être pas aux russes de décider si l’Ukraine ou la Géorgie veulent qu'on les laisse à la Russie.Victor a écrit : ↑21 mai 2024 12:27 La Russie ne veut pas de l'UE et encore moins de l'OTAN à ses frontières.
La Biélorussie, L'Ukraine , la Géorgie sont des pays qui, dans la stratégie russe de Poutine et de ses sbires, doivent rester sous contrôle (sous domination) russe.
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
Merkel a joué la carte du gaz russe. Elle pensait dissocier l'économie de la géopolitique.Cépajuste a écrit : ↑21 mai 2024 14:45Merkel est devenue chancelière à la fin de l’année 2005 et n’a donc pas pu jouer le rôle que vous lui attribuez en 2000/2003.Saturne a écrit : ↑21 mai 2024 14:11 Je pense que ce raisonnement est exact. Mais vers les années 2000/2003, Poutine était disposé à frapper aux portes de l'Europe. C'est la mère Merkel, caniche des USA qui a refermé 'notre' porte. On connait la suite ... Sans parler de son 'welcome, welcome' en 2015 avec les conséquences que nous avons vu et la vague de soit-disant réfugiés politiques ...
La Russie n’a jamais postulé pour adhérer à l’UE. La Russie n’est pas un pays ordinaire, c’est un empire. Son adhésion à l’UE soulèverait de nombreux problèmes, en raison des divergences politiques et économiques, et de la taille même de la Russie qui déstabiliserait l’UE.
Grave erreur. L'énergie ce n'est pas qu'un sujet économique, c'est aussi un sujet terriblement géopolitique.
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
Oui tout à fait, mais on fait comment face à un ours quand il sort ces griffes ?Fonck1 a écrit : ↑21 mai 2024 15:08c'est peut être pas aux russes de décider si l’Ukraine ou la Géorgie veulent qu'on les laisse à la Russie.Victor a écrit : ↑21 mai 2024 12:27 La Russie ne veut pas de l'UE et encore moins de l'OTAN à ses frontières.
La Biélorussie, L'Ukraine , la Géorgie sont des pays qui, dans la stratégie russe de Poutine et de ses sbires, doivent rester sous contrôle (sous domination) russe.
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
C'est tout à fait exact et je me suis mal exprimé ! J'aurais dû écrire que Poutine (sans postuler évidemment à devenir membre de l'Europe) avait essayé un rapprochement stratégique avec la Russie avait accepté l’installation par les États-Unis de bases militaires en Asie centrale pour soutenir leurs opérations en Afghanistan. Des sommets se tenaient régulièrement (deux fois par an) entre l’UE et la Russie – plus souvent qu’avec les États-Unis – et l’Union envisageait de conclure un « partenariat stratégique » avec ce pays … Il ne s’agissait évidemment pas d’une tentative d’adhésion à l’Europe mais d’un simple partenariat.Cépajuste a écrit : ↑21 mai 2024 14:45Merkel est devenue chancelière à la fin de l’année 2005 et n’a donc pas pu jouer le rôle que vous lui attribuez en 2000/2003.Saturne a écrit : ↑21 mai 2024 14:11 Je pense que ce raisonnement est exact. Mais vers les années 2000/2003, Poutine était disposé à frapper aux portes de l'Europe. C'est la mère Merkel, caniche des USA qui a refermé 'notre' porte. On connait la suite ... Sans parler de son 'welcome, welcome' en 2015 avec les conséquences que nous avons vu et la vague de soit-disant réfugiés politiques ...
La Russie n’a jamais postulé pour adhérer à l’UE. La Russie n’est pas un pays ordinaire, c’est un empire. Son adhésion à l’UE soulèverait de nombreux problèmes, en raison des divergences politiques et économiques, et de la taille même de la Russie qui déstabiliserait l’UE.
Malgré l’élargissement de l’UE et de l’OTAN aux pays d’Europe centrale et orientale, Moscou acceptait en 2002 la mise en place d’un Conseil OTAN-Russie et bouclait entre 2003 et 2005 les négociations de « quatre espaces » de coopération UE-Russie, sur proposition de la France et de l’Allemagne : un espace économique ; un espace de liberté, de sécurité et de justice ; un espace de recherche, d’éducation et de culture ; un espace de sécurité extérieure. Ensuite, tout s'est compliqué avec la Serbie et le Kosovo puis le coup de grâce des relations Russie Europe est venu avec l'Ukraine. Depuis, la Russie s'est définitivement rapprochée de la Chine et on a vu se dessiner un axe Chine-Russie-Inde-Brésil et globalement ce qu'on appelle les pays du Sud pour contrer le camp occidental (USA, Europe). C'est du moins l'analyse que je fais.
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
Effectivement, on n'a pas mesuré à l'époque à quel point la guerre du Kosovo a impacté négativement la relation entre la Russie et l'Europe. (et les occidentaux au sens large).Saturne a écrit : ↑21 mai 2024 17:42C'est tout à fait exact et je me suis mal exprimé ! J'aurais dû écrire que Poutine (sans postuler évidemment à devenir membre de l'Europe) avait essayé un rapprochement stratégique avec la Russie avait accepté l’installation par les États-Unis de bases militaires en Asie centrale pour soutenir leurs opérations en Afghanistan. Des sommets se tenaient régulièrement (deux fois par an) entre l’UE et la Russie – plus souvent qu’avec les États-Unis – et l’Union envisageait de conclure un « partenariat stratégique » avec ce pays … Il ne s’agissait évidemment pas d’une tentative d’adhésion à l’Europe mais d’un simple partenariat.Cépajuste a écrit : ↑21 mai 2024 14:45
Merkel est devenue chancelière à la fin de l’année 2005 et n’a donc pas pu jouer le rôle que vous lui attribuez en 2000/2003.
La Russie n’a jamais postulé pour adhérer à l’UE. La Russie n’est pas un pays ordinaire, c’est un empire. Son adhésion à l’UE soulèverait de nombreux problèmes, en raison des divergences politiques et économiques, et de la taille même de la Russie qui déstabiliserait l’UE.
Malgré l’élargissement de l’UE et de l’OTAN aux pays d’Europe centrale et orientale, Moscou acceptait en 2002 la mise en place d’un Conseil OTAN-Russie et bouclait entre 2003 et 2005 les négociations de « quatre espaces » de coopération UE-Russie, sur proposition de la France et de l’Allemagne : un espace économique ; un espace de liberté, de sécurité et de justice ; un espace de recherche, d’éducation et de culture ; un espace de sécurité extérieure. Ensuite, tout s'est compliqué avec la Serbie et le Kosovo puis le coup de grâce des relations Russie Europe est venu avec l'Ukraine. Depuis, la Russie s'est définitivement rapprochée de la Chine et on a vu se dessiner un axe Chine-Russie-Inde-Brésil et globalement ce qu'on appelle les pays du Sud pour contrer le camp occidental (USA, Europe). C'est du moins l'analyse que je fais.
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
c'est fou ce que vous rencontrez comme personnes en fonction de l'actualitéFonck1 a écrit : ↑21 mai 2024 15:08c'est peut être pas aux russes de décider si l’Ukraine ou la Géorgie veulent qu'on les laisse à la Russie.Victor a écrit : ↑21 mai 2024 12:27 La Russie ne veut pas de l'UE et encore moins de l'OTAN à ses frontières.
La Biélorussie, L'Ukraine , la Géorgie sont des pays qui, dans la stratégie russe de Poutine et de ses sbires, doivent rester sous contrôle (sous domination) russe.
La Russie déjà perdu les pays Baltes, il est hors de question pour elle que l'Ukraine ou la Géorgie passent dans le camp occidental.
la liberté est un droit sacré.
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Moi je ne rencontre personne et en tant qu'européen je pense que l'UE n'a pas à se mêler de la politique interne des autres pays
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
La guerre du Kosovo, c'était en 1998-1999, donc bien avant les événements que vous relatez.Saturne a écrit : ↑21 mai 2024 17:42 C'est tout à fait exact et je me suis mal exprimé ! J'aurais dû écrire que Poutine (sans postuler évidemment à devenir membre de l'Europe) avait essayé un rapprochement stratégique avec la Russie avait accepté l’installation par les États-Unis de bases militaires en Asie centrale pour soutenir leurs opérations en Afghanistan. Des sommets se tenaient régulièrement (deux fois par an) entre l’UE et la Russie – plus souvent qu’avec les États-Unis – et l’Union envisageait de conclure un « partenariat stratégique » avec ce pays … Il ne s’agissait évidemment pas d’une tentative d’adhésion à l’Europe mais d’un simple partenariat.
Malgré l’élargissement de l’UE et de l’OTAN aux pays d’Europe centrale et orientale, Moscou acceptait en 2002 la mise en place d’un Conseil OTAN-Russie et bouclait entre 2003 et 2005 les négociations de « quatre espaces » de coopération UE-Russie, sur proposition de la France et de l’Allemagne : un espace économique ; un espace de liberté, de sécurité et de justice ; un espace de recherche, d’éducation et de culture ; un espace de sécurité extérieure. Ensuite, tout s'est compliqué avec la Serbie et le Kosovo puis le coup de grâce des relations Russie Europe est venu avec l'Ukraine. Depuis, la Russie s'est définitivement rapprochée de la Chine et on a vu se dessiner un axe Chine-Russie-Inde-Brésil et globalement ce qu'on appelle les pays du Sud pour contrer le camp occidental (USA, Europe). C'est du moins l'analyse que je fais.
Il est vrai qu'il y avait eu un rapprochement entre l'Europe et la Russie, et même entre l'OTAN et la Russie, mais c'est la Russie qui a provoqué la rupture, avec la guerre en Géorgie en 2008, puis l'annexion de la Crimée en 2014.
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
Cette loi si elle était votée en France serait-elle considérée comme un rapprochement avec la Russie ?
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
Cette loi si elle était votée en France serait-elle considérée comme un rapprochement avec la Russie ? Ou bien serait elle destinée à obliger les ONG et Medias à plus de transparence sur leur financement ?
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
Oui mais la déclaration d'indépendance du Kosovo c'est en 2008.Cépajuste a écrit : ↑21 mai 2024 18:37La guerre du Kosovo, c'était en 1998-1999, donc bien avant les événements que vous relatez.Saturne a écrit : ↑21 mai 2024 17:42 C'est tout à fait exact et je me suis mal exprimé ! J'aurais dû écrire que Poutine (sans postuler évidemment à devenir membre de l'Europe) avait essayé un rapprochement stratégique avec la Russie avait accepté l’installation par les États-Unis de bases militaires en Asie centrale pour soutenir leurs opérations en Afghanistan. Des sommets se tenaient régulièrement (deux fois par an) entre l’UE et la Russie – plus souvent qu’avec les États-Unis – et l’Union envisageait de conclure un « partenariat stratégique » avec ce pays … Il ne s’agissait évidemment pas d’une tentative d’adhésion à l’Europe mais d’un simple partenariat.
Malgré l’élargissement de l’UE et de l’OTAN aux pays d’Europe centrale et orientale, Moscou acceptait en 2002 la mise en place d’un Conseil OTAN-Russie et bouclait entre 2003 et 2005 les négociations de « quatre espaces » de coopération UE-Russie, sur proposition de la France et de l’Allemagne : un espace économique ; un espace de liberté, de sécurité et de justice ; un espace de recherche, d’éducation et de culture ; un espace de sécurité extérieure. Ensuite, tout s'est compliqué avec la Serbie et le Kosovo puis le coup de grâce des relations Russie Europe est venu avec l'Ukraine. Depuis, la Russie s'est définitivement rapprochée de la Chine et on a vu se dessiner un axe Chine-Russie-Inde-Brésil et globalement ce qu'on appelle les pays du Sud pour contrer le camp occidental (USA, Europe). C'est du moins l'analyse que je fais.
Il est vrai qu'il y avait eu un rapprochement entre l'Europe et la Russie, et même entre l'OTAN et la Russie, mais c'est la Russie qui a provoqué la rupture, avec la guerre en Géorgie en 2008, puis l'annexion de la Crimée en 2014.
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
Vous confondez visiblement pro-américain et pro-démocratie...Saturne a écrit : ↑21 mai 2024 11:43Mais le gouvernement géorgien a été régulièrement élu, non ? On trouvera toujours une opposition dans tous les pays démocratiques, il y a effectivement des manifestations contre la loi qui a été voté par les députés géorgiens régulièrement élus, ces manifestations sont évidemment mises en exergue par les médias occidentaux pro-américains. Tout ce qui est bon pour affaiblir l'Europe est bon pour les USA. Et un éventuel nouvel abcès de fixation (comme celui de l'Ukraine) ne pourra pas faire de mal aux USA. Laissons les géorgiens régler leurs affaires entre eux !
Je crois d'ailleurs que la Présidente de la Géorgie qui est pro-américaine a mis un véto à cette loi (qui devrait passer en force par leur chambre des députés si j'ai bien compris).
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)
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Re: La Hongrie refuse un texte de l'UE appelant la Géorgie à retirer sa loi sur «l’influence étrangère»
Et du coup, c'est quoi cette histoire de "porte fermée" par Merkel ?Saturne a écrit : ↑21 mai 2024 17:42C'est tout à fait exact et je me suis mal exprimé ! J'aurais dû écrire que Poutine (sans postuler évidemment à devenir membre de l'Europe) avait essayé un rapprochement stratégique avec la Russie avait accepté l’installation par les États-Unis de bases militaires en Asie centrale pour soutenir leurs opérations en Afghanistan. Des sommets se tenaient régulièrement (deux fois par an) entre l’UE et la Russie – plus souvent qu’avec les États-Unis – et l’Union envisageait de conclure un « partenariat stratégique » avec ce pays … Il ne s’agissait évidemment pas d’une tentative d’adhésion à l’Europe mais d’un simple partenariat.Cépajuste a écrit : ↑21 mai 2024 14:45
Merkel est devenue chancelière à la fin de l’année 2005 et n’a donc pas pu jouer le rôle que vous lui attribuez en 2000/2003.
La Russie n’a jamais postulé pour adhérer à l’UE. La Russie n’est pas un pays ordinaire, c’est un empire. Son adhésion à l’UE soulèverait de nombreux problèmes, en raison des divergences politiques et économiques, et de la taille même de la Russie qui déstabiliserait l’UE.
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Poutine n'a jamais été un européen dans l'âme, c'était vrai dès son intronisation et je ne suis pas du tout certain qu'envoyer à Moscou cadeaux sur cadeaux il y a 20 ans aurait incité Poutine à laisser le pouvoir et donc à laisser la démocratie russe s'exprimer.
Donc je crois surtout qu'il faut arrêter de tout le temps trouver des excuses à la Russie et de rendre les occidentaux responsables de sa dégénérescence.
On peut au contraire se dire que nous avons pendant des décennies été extrêmement naïfs vis-à-vis de la Russie de Poutine (pour reprendre des mots de Bardella) et qu'au fond, ce sont bien les Polonais et les Baltes qui avaient raison depuis le début.
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