Assassinat de Samuel Paty: sa sœur, Mickaëlle Paty, lit une lettre à la radio pour interpeller l'État

[da capo]

Bien que l'appel au meurtre n'ait pas été formulé (vu que c'est interdit par la loi et censuré sur les réseaux)), le but de la manœuvre visait implicitement à ce qu'on exerce des violences à l'encontre du professeur

Donc concrètement vous êtes à fond dans l'interprétation subjective avec aucun élément concret permettant de prouver sans équivoque vos dires. Ce qui fait que vous validez ma comparaison puisque vous vous placez à l'instar de ces politiques qui reportent les responsabilités de tels ou tels actes (les violences sur les policiers, les saccages de terrain) sur tels ou tels partis politiques au motif que leurs critiques véhémentes envers la politique des gouvernants, visaient à appeler implicitement à des actions violentes (puisque, comme vous dites, l'appel à la violence est interdit, ceux-ci passent par des moyens détournés).

Vous avez donc exactement le même discours que ceux que je visais dans les exemples que je prenais et que vous avez rejetés (sans démontrer leur côté hors-sujet) uniquement parce qu'ils discréditaient complètement votre propos.

Quoi qu'il en soit, si l'on s'en fie à votre logique. A savoir, ils ont critiqué ce professeur DONC c'est qu'ils appelaient (selon vous, car jusqu'à preuve du contraire cela relève du domaine de la subjectivité inhérente à votre être. Avec tous les à-priori qui l'orientent par-avance vers telle ou telle voie) à son exécution et c'est donc qu'ils sont coupables.
Ainsi, si quelqu'un s'en prend à macron, tous ceux qui l'auront critiqué seront coupables car c'est qu'ils appelaient implicitement à de la violence à son encontre. De même, toutes les personnes qui sont victimes de violences physiques suite à des disputes avec des gens qu'elles connaissent, se devraient de se retourner contre ceux les ayant critiqués dans le passé, car ces critiques auraient façonné une image négative d'elles, ce qui les auraient rendu + enclines à être victimes de violences.



J'espère que vous constatez à quel point votre brillante logique est inepte et ce qu'elle implique si elle était généralisée (faites preuve d'un peu d'honnêteté intellectuelle. Laissez de côté votre idéologie et même si par fierté vous ne l'avouerez pas, réfléchissez-y au moins).

Contrairement à toi, je ne pratique jamais l'amalgame : je n'ai jamais désigné ceux qui se contentaient de critiquer l'initiative de S.Paty à propos des caricatures car c'est leur droit, mais la sphère fondamentaliste locale ayant orchestré cette campagne d'indignation. Sans le désir de vengeance qui transpirait de ses publications, Abdoullakh Anzorov ne serait jamais passé à l'acte et cela, personne ne peut objectivement le nier, sauf Jimmy, évidemment.

[danielle49]

Les frontières françaises sont des passoires parce qu'elles ne sont pas surveillées, tout simplement.

[Crapulax]

.....Et cet établissement n'est pas toujours pas "renommé" du nom et prénom de la victime...Comme pourtant l'avait promis en grande pompe le gouvernement....C'est cela que l'on appelle la lâcheté et ce,même avant la peur.

[da capo]

.....Et cet établissement n'est pas toujours pas "renommé" du nom et prénom de la victime...Comme pourtant l'avait promis en grande pompe le gouvernement....C'est cela que l'on appelle la lâcheté et ce,même avant la peur.

Tout à fait. Si on ne rebaptise pas immédiatement ce collège au nom de ce prof sacrifié par le fanatisme, les islamistes auront gagné.
Les couards craignant que ce baptême froisse telle ou telle obédience ne le font pas par égard ou respect à son endroit. Ils s'inclinent devant l'intimidation et la menace.

[Fonck1]

.....Et cet établissement n'est pas toujours pas "renommé" du nom et prénom de la victime...Comme pourtant l'avait promis en grande pompe le gouvernement....C'est cela que l'on appelle la lâcheté et ce,même avant la peur.

c'est surtout que dans l'administration, comme tout est traité "selon l'actualité et en urgence", les choses secondaires prennent beaucoup de temps.
crois moi, même si la porté de cette action est symbolique et importante, elle n'est pas primordiale.

[Jiimmy]

Sans le désir de vengeance qui transpirait de ses publications, Abdoullakh Anzorov ne serait jamais passé à l'acte

Encore une fois cela relève du domaine de l'intuition. Vous n'avez aucun élément concret permettant de l'affirmer de manière aussi dogmatique. Donc en l'état votre affirmation ne pèse rien et seules des émotions peuvent conduire à une condamnation en l'absence d'éléments probants (et c'est malheureusement ce qu'il s'est passé pour ceux emprisonnés). Le responsable c'est avant tout celui qui tient la machette (celui qui commet l'acte).

[Jiimmy]

Tout à fait. Si on ne rebaptise pas immédiatement ce collège au nom de ce prof sacrifié par le fanatisme, les islamistes auront gagné.
Les couards craignant que ce baptême froisse telle ou telle obédience ne le font pas par égard ou respect à son endroit. Ils s'inclinent devant l'intimidation et la menace.

Je crois que c'est la proviseure du collège (ou une inspectrice d'académie ou je ne sais quoi) qui disait que les parents et élèves eux-même ne voulaient pas que ce changement de nom ait lieu maintenant, car cela leur évoquait des mauvais souvenirs mais que cela serait fait une fois que la génération de ceux qui étaient au collège au moment de l'assassinat, sera au lycée.
De même, certains habitants de la ville sont contre afin de passer à autre chose et que leur ville ne soit plus autant connotée et réduite à un simple lieu de crime (ceux-ci parlaient notamment du fait qu'à chaque évocation de leur ville à des personnes étrangères à celles-ci, on les ramenait incessamment à cet événement et qu'ils en avaient marre).

[vivarais]

Tout à fait. Si on ne rebaptise pas immédiatement ce collège au nom de ce prof sacrifié par le fanatisme, les islamistes auront gagné.
Les couards craignant que ce baptême froisse telle ou telle obédience ne le font pas par égard ou respect à son endroit. Ils s'inclinent devant l'intimidation et la menace.

Je crois que c'est la proviseure du collège (ou une inspectrice d'académie ou je ne sais quoi) qui disait que les parents et élèves eux-même ne voulaient pas que ce changement de nom ait lieu maintenant, car cela leur évoquait des mauvais souvenirs mais que cela serait fait une fois que la génération de ceux qui étaient au collège au moment de l'assassinat, sera au lycée.
De même, certains habitants de la ville sont contre afin de passer à autre chose et que leur ville ne soit plus autant connotée et réduite à un simple lieu de crime (ceux-ci parlaient notamment du fait qu'à chaque évocation de leur ville à des personnes étrangères à celles-ci, on les ramenait incessamment à cet événement et qu'ils en avaient marre).

vous dites certains mais quel pourcentage
savez vous que chez les gaulois on se chamaille lorsque c 'est nécessaire il y a l'union sacrée

[Mickey]

Tout à fait. Si on ne rebaptise pas immédiatement ce collège au nom de ce prof sacrifié par le fanatisme, les islamistes auront gagné.
Les couards craignant que ce baptême froisse telle ou telle obédience ne le font pas par égard ou respect à son endroit. Ils s'inclinent devant l'intimidation et la menace.

Je crois que c'est la proviseure du collège (ou une inspectrice d'académie ou je ne sais quoi) qui disait que les parents et élèves eux-même ne voulaient pas que ce changement de nom ait lieu maintenant, car cela leur évoquait des mauvais souvenirs mais que cela serait fait une fois que la génération de ceux qui étaient au collège au moment de l'assassinat, sera au lycée.
De même, certains habitants de la ville sont contre afin de passer à autre chose et que leur ville ne soit plus autant connotée et réduite à un simple lieu de crime (ceux-ci parlaient notamment du fait qu'à chaque évocation de leur ville à des personnes étrangères à celles-ci, on les ramenait incessamment à cet événement et qu'ils en avaient marre).

Je crois surtout à un manque de couilles et tu le sais très bien.

[Once]

.....Et cet établissement n'est pas toujours pas "renommé" du nom et prénom de la victime...Comme pourtant l'avait promis en grande pompe le gouvernement....C'est cela que l'on appelle la lâcheté et ce,même avant la peur.

Par contre, en Tchétchénie, on n'a pas eu ces pudeurs de gazelle puisque l'assassin de Samuel Paty y a été aussitôt considéré comme un héros par son fan club :

Obsèques et hommages

La dépouille d'Abdoullakh Anzorov est rapatriée en Tchétchénie le 5 décembre 2020 après avoir transité par la Turquie. Son inhumation a lieu le lendemain dans le village d'origine de sa famille, Chalaji (ru), dans le raïon d'Ourous-Martan. Son cercueil est suivi par quelque 200 personnes (un nombre important au vu du contexte sanitaire, de la météo et de la faible population du village) qui le portent en terre et le célèbrent comme « lion de l'islam ». Il reçoit même un hommage du maire Salman Dabatchevitch Magamadov qui déclare à son sujet : « c'est un héros pour l'ensemble du monde islamique ». Le village est bouclé par la police pour éviter qu'une foule trop importante ne vienne assister aux obsèques. Quelques jours avant ces funérailles, un habitant de Chalaji avait pris l'initiative de baptiser une rue en son honneur en apposant au support d'une conduite de gaz une plaque métallique avec l'inscription suivante : « Rue nommée d'après Abdoullakh Anzorov .

En juin 2021, son père Abouyezid déclare dans un entretien accordé au média tchétchène Kavkaz.Realii qu'il est « satisfait » que « son fils soit parti en défendant l'honneur de tous les Tchétchènes et de tous les musulmans du monde ». L'homme réside désormais hors du territoire français, sur lequel il est persona non grata84.

Le 22 septembre 2021, le président du Parlement tchétchène Magomed Daudov (en) affirme, dans une vidéo diffusée en direct sur son compte Instagram, qu'Abdoullakh Anzorov est un « jeune, tué parce qu'il s'opposait à la caricature du Prophète » et « qu'il est mort dans le djihad ». Par la même occasion, il reproche à ses adversaires Akhmed Zakaïev (président du Cabinet des ministres de la République tchétchène d'Itchkérie en exil) et Anzor Maskhadov (fils d'Aslan Maskhadov, président de la République tchétchène d'Itchkérie de 1997 à 2005) de ne pas le dire par lâcheté politique.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Assassinat_de_Samuel_Paty

[mic43121]

Donc concrètement vous êtes à fond dans l'interprétation subjective avec aucun élément concret permettant de prouver sans équivoque vos dires. Ce qui fait que vous validez ma comparaison puisque vous vous placez à l'instar de ces politiques qui reportent les responsabilités de tels ou tels actes (les violences sur les policiers, les saccages de terrain) sur tels ou tels partis politiques au motif que leurs critiques véhémentes envers la politique des gouvernants, visaient à appeler implicitement à des actions violentes (puisque, comme vous dites, l'appel à la violence est interdit, ceux-ci passent par des moyens détournés).

Vous avez donc exactement le même discours que ceux que je visais dans les exemples que je prenais et que vous avez rejetés (sans démontrer leur côté hors-sujet) uniquement parce qu'ils discréditaient complètement votre propos.

Quoi qu'il en soit, si l'on s'en fie à votre logique. A savoir, ils ont critiqué ce professeur DONC c'est qu'ils appelaient (selon vous, car jusqu'à preuve du contraire cela relève du domaine de la subjectivité inhérente à votre être. Avec tous les à-priori qui l'orientent par-avance vers telle ou telle voie) à son exécution et c'est donc qu'ils sont coupables.
Ainsi, si quelqu'un s'en prend à macron, tous ceux qui l'auront critiqué seront coupables car c'est qu'ils appelaient implicitement à de la violence à son encontre. De même, toutes les personnes qui sont victimes de violences physiques suite à des disputes avec des gens qu'elles connaissent, se devraient de se retourner contre ceux les ayant critiqués dans le passé, car ces critiques auraient façonné une image négative d'elles, ce qui les auraient rendu + enclines à être victimes de violences.



J'espère que vous constatez à quel point votre brillante logique est inepte et ce qu'elle implique si elle était généralisée (faites preuve d'un peu d'honnêteté intellectuelle. Laissez de côté votre idéologie et même si par fierté vous ne l'avouerez pas, réfléchissez-y au moins).

Contrairement à toi, je ne pratique jamais l'amalgame : je n'ai jamais désigné ceux qui se contentaient de critiquer l'initiative de S.Paty à propos des caricatures car c'est leur droit, mais la sphère fondamentaliste locale ayant orchestré cette campagne d'indignation. Sans le désir de vengeance qui transpirait de ses publications, Abdoullakh Anzorov ne serait jamais passé à l'acte et cela, personne ne peut objectivement le nier, sauf Jimmy, évidemment.

Un type qui approuve les attentats ..comment veux tu qu'il défende Paty ...
IL a montré les caricatures ?(qui ne sont que des dessins) Décapité ..tant mieux ..
C'est clair ...

[Once]

On se focalise énormément sur la déjà très longue liste des attentats islamistes qui terrorisent, qui choquent et qui révulsent légitimement l’opinion et les consciences.

Et, durant les périodes pendant lesquelles ils se raréfient, on pense que tout va mieux, que les choses se calment, la vie reprend son cours.

C’est une erreur. Car, en Europe, l’islam politique a compris depuis longtemps que ce n’est pas par des attentats spectaculaires qu’il étendra ses sphères d’influence.

Non. C’est par un long combat bien plus discret, un combat sociétal au quotidien, un combat d’apparence « pacifiste » qui peut revêtir bien des aspects.

Le « djihad », en somme, n’est pas tant un combat avec des armes, du feu et du sang, qu’ un combat lent et patient avec l’intelligence et une connaissance très fine des forces mais aussi des faiblesses de l’adversaire : entre autres, le complexe de culpabilité post-coloniale très ancré sur la gauche de l’échiquier politique.

En France, voici qu’on a peur de donner à un collège le nom d’un de ses professeurs décapité par un djihadiste musulman pour un cours d’Education civique. Pourquoi ? Par crainte de quoi ?

En Tchétchénie, on n’a pas peur de célébrer et d’honorer un certain Abdoullakh Anzorov en tant que « lion et héros de l’islam ».