L’immigration coûte plus qu’elle ne rapporte...

[LOFOTEN]

Consultant international sur l’Afrique et les migrants, Jean-Paul Gourévitch a réalisé pour Contribuables Associés une étude sur le rapport entre les dépenses et les recettes engendrées par l’immigration en 2023.

L’immigration est-elle une «chance pour la France» , comme le proclament la gauche et, quand il ne dit pas l’inverse, Emmanuel Macron? Ou bien, au contraire, participe-t-elle à son déclassement, comme on l’affirme à droite, de Laurent Wauquiez à Éric Zemmour en passant par Marine Le Pen? L’étude réalisée par le spécialiste des migrations Jean-Paul Gourévitch pour Contribuables associés a le grand mérite de verser des éléments factuels et chiffrés au débat idéologique qui nous agite depuis cinquante ans. Il ne prétend pas embrasser le phénomène dans toutes ses dimensions, notamment humaines, mais fournir des données objectives dans un domaine qui en manque singulièrement.

«Pour Contribuables Associés, l’immigration doit être traitée au même titre que la dette, les dépenses publiques, la fiscalité ou encore les gaspillages, affirme son directeur, Benoît Perrin. Elle coûte cher au contribuable: 53,9 milliards par an, c’est plus de quatre fois le budget du ministère de la Justice. Certes, elle génère des recettes, fiscales et non fiscales, et des contributions sociales, mais ces rentrées pèsent peu face aux dépenses multiples qu’engendre l’immigration régulière – en termes de prestations sociales, de coûts régaliens, sociétaux, éducatifs… – et irrégulière – coûts médicaux, de lutte contre l’immigration irrégulière, hébergement d’urgence. Notre objectif est de nourrir les débats, d’abord au Sénat, où le projet de loi immigration doit être discuté en septembre, puis à l’Assemblée nationale quand le texte reviendra devant les députés. Cette étude devrait être réalisée chaque année par les services de l’État mais, par manque de courage, ce n’est jamais fait.»
.........

Le France est la seule en Europe à garantir par la loi « l’abri inconditionnel », gratuit et sans limitation de durée

Pour les autres, l’État paie des hôtels dans le cadre de ce qui est appelé «l’abri inconditionnel» un hébergement gratuit et sans limitation de durée pour le migrant irrégulier, qui constitue une singularité en Europe, aucun pays n’étant aussi généreux. Jean-Paul Gourévitch s’appuie sur les chiffres rendus publics en 2020 par Didier Leschi, directeur de l’Ofii, dans son livre Ce grand dérangement. L’immigration en face. Il évaluait le coût annuel de l’hébergement à 3 milliards d’euros. L’expert s’est aussi intéressé à la rentabilité des investissements extérieurs de l’État, essentiellement l’aide au développement des pays d’origine des candidats à l’immigration. L’idée que les tentatives de réduction des flux migratoires seront vouées à l’échec si les Européens n’aident pas ces pays à se doter d’infrastructures et d’industries fait consensus dans le débat politique français. Nicolas Sarkozy l’a encore redit dans l’interview qu’il a accordée au Figaro Magazine la semaine dernière: «C’est à l’Europe de prendre en main la construction et le financement des
gigantesques infrastructures dont l’Afrique a besoin.»
.......

https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... e-20230824

[berger141]

Cette immigration coute plusieurs dizaines de milliards d'euros par an mais ce qui est plus grave c'est qu'elle casse l'unité du pays et hypothèque lourdement son avenir avec des menaces de partition du pays et de guerre civile (cf MM Hollande et Collomb)
Cette immigration est clairement une catastrophe pour la France.

[papibilou]

J'ai vu les chiffres proposé par Gourevitch, mais je ne serais pas opposé à ce que des économistes sérieux les valident.

[mic43121]

Ce serait vraiment le COMBLE de la bêtise si l'immigration rapportait de l'argent ...
Il y aurait moins de morts inutiles/// on irait les chercher chez eux ...

[Mickey]

Si on ajoute le coût lié à la délinquance, aux émeutes et à tout ce que l'immigration crée comme désagrément, on dépasse à l'aise Blaise les 53 milliards.

[Kelenner]

«Pour Contribuables Associés, l’immigration doit être traitée au même titre que la dette, les dépenses publiques, la fiscalité ou encore les gaspillages, affirme son directeur, Benoît Perrin.

L'insondable bêtise d'une telle phrase (comment peut-on sérieusement balancer des énormités pareilles, j'avoue que ça me dépasse) décrédibilise automatiquement son auteur.

[LOFOTEN]

«Pour Contribuables Associés, l’immigration doit être traitée au même titre que la dette, les dépenses publiques, la fiscalité ou encore les gaspillages, affirme son directeur, Benoît Perrin.

L'insondable bêtise d'une telle phrase (comment peut-on sérieusement balancer des énormités pareilles, j'avoue que ça me dépasse) décrédibilise automatiquement son auteur.

Vu ton appartenance politique (?) impossible de formuler autre chose de plus concret.

[jabar]

J'ai vu les chiffres proposé par Gourevitch, mais je ne serais pas opposé à ce que des économistes sérieux les valident.

Elle a déjà été étudiée par des économistes. Ce très bon ouvrage par exemple "L'immigration coute cher a la France" de Xavier Chojnicki et Lionel Ragot.
Je ne sais pas ce que vaut l'étude de Gourévitch mais le Figaro ne semble se concentrer que sur les migrants car Gourevitch dit aussi:

De fait, sur le long terme, la contribution des immigrés qui travaillent au PIB de la nation est largement positif et l’État qui en prélève 44,5% voit ses ressources annuelles accrues de 20,8 milliards d’euros.

Sur l'ouvrage que j'ai cité plus haut, un peu ancien mais toujours d'actualité, extrait, ou l'on montre que la contribution des immigrés est en fait positive:

Avec ce calcul, la contribution nette globale au budget des administrations publiques de l’ensemble des immigrés en situation légale présents sur le territoire national en 2005 serait légèrement positive et d’un montant de 3,9 milliards d’euros (tableau 4.1). Contrairement à ce que pouvait laisser penser la figure 4.1, la contribution des immigrés aux finances publiques n’est donc pas négative en dépit d’un surcoût de l’immigration pour certaines branches de la protection sociale. Est-ce réellement surprenant ? L’explication tient simplement à la différence de structure par âge de la population immigrée comparativement aux natifs. Ainsi, même si pour un âge donné la contribution nette des migrants est toujours inférieure à celle des autochtones (sauf au-delà de 60 ans du fait de leur sous-représentation dans les risques vieillesse et santé, voir la figure 4.3), le fait qu’ils soient en moyenne plus jeunes (et donc regroupés dans les catégories de contributeurs nets à la protection sociale, voir la figure 1.1) va entièrement contrebalancer l’éventuel « surcoût » pour certaines branches de la protection sociale.

Ce n'est pas un débat avec une réponse simple, d'autant plus qu'on parle d'êtres humains qui devraient être estimés comme tels (qui ne hurlerait pas à ce genre de questions: "combien coûtent les caucasiens ?").
Extrait de leur conclusion:

En conclusion, l’analyse économique se retrouve finalement bien pauvre lorsqu’il s’agit de définir ce que devrait être le «bon» niveau d’immigration pour l’économie française. Nous n’avons trouvé que très peu d’arguments, dans ce chapitre comme dans les précédents, qui peuvent être avancés pour justifier une augmentation ou une diminution sensible des flux entrants ou de la population immigrée déjà présente sur le territoire national. Invoquer les analyses économiques pour recommander une immigration massive comme seule solution aux problèmes des économies vieillissantes n’a pas plus de fondement que de se référer aux travaux des économistes pour appeler à l’arrêt de l’immigration face à la montée du chômage et des déficits publics.

Une politique plus volontariste en la matière pourrait néanmoins concourir à réduire le fardeau du vieillissement démographique, mais dans des proportions qui restent modérées. Cependant, comme toute politique qui se fixerait des objectifs précis tant du point de vue quantitatif que qualitatif, elle nécessiterait de contrôler relativement finement les niveaux et la structure des entrées, ce qui n’irait pas sans poser des problèmes tant juridiques qu’éthiques. Comment, en effet, concilier une politique stricte de quotas par qualification au niveau national avec les accords de libre circulation des personnes au sein de la zone Schengen, les politiques de regroupement familial et le droit d’asile ? Les véritables enjeux de l’immigration ne se situent pas dans le champ économique.

[Patchouli38]

N'ayant jamais entendu parler de ce monsieur Jean-Paul Gourévitch, j'ai été à la pêche aux informations.
La récolte a été bonne :

"Débats concernant l'immigration et son coût
Dans un audit intitulé « Le coût de la politique migratoire de la France » (2010), il chiffre le coût de l'immigration à 30,4 milliards d’euros annuellement « à la charge des contribuables », après estimation des recettes et des dépenses pour l’État, les collectivités locales et la sécurité sociale (les administrations publiques). Le coût de l'immigration clandestine représenterait à lui seul près de 4,6 milliards d’euros annuel27. Selon un article de mars 2010 de Valeurs actuelles, il n'est pas facile d'estimer le coût de l'immigration, et Gourévitch « reconnaît honnêtement les limites de son étude, en l’absence de certaines données précises » qui l'ont amené notamment à utiliser des « fourchettes ». Gourévitch déclare que son étude « n’a pour ambition que de donner un ordre de grandeur relativement performant et de tracer les voies qu’il conviendrait d’explorer »28.

Le chiffrage de Gourévitch est remis en question par une étude29 remise au ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé en juillet 2010. Conduite par Xavier Chojnicki30, elle propose un bilan comptable différent. Selon cette étude, l'immigration rapporterait chaque année 12 milliards d'euros à l'État français (48 milliards de dépenses pour 60 milliards de recettes)31.

En 2012, Xavier Chojnicki et Lionel Ragot publient un essai intitulé On entend dire que... l'immigration coûte cher à la France. Qu'en pensent les économistes ?32 qui réduit le bénéfice de l'immigration à 3,89 milliards d'euros et qui est salué par le journal L'Express du 14 novembre 2012 qui s'en est inspiré pour son dossier sur « le vrai coût de l'immigration ».

La publication de son ouvrage Les Migrations pour les nuls en septembre 2014 lui vaut également des critiques. Plusieurs journaux dont Le Monde, le Figaro, Libération, La Croix, France TV info et de nombreux journaux régionaux, reprennent in extenso une dépêche de l'AFP du 11 septembre 201433, qui affirme que Jean-Paul Gourévitch est un « auteur marqué très à droite », « fréquemment cité et invité par l'extrême-droite »19,34,35,36, proximité que l’auteur récuse dans un droit de réponse publié sur le site de Contribuables associés37. D'autres rectifications ou droits de réponse ont été publiés par Le Point, Le Courrier de l'Atlas, Challenges. Selon Rue89, le livre utilise un grand nombre de sources et de termes d'extrême droite, et se révèle « un tract politique déguisé en ouvrage pédagogique »38.

Positionnement politique
Jean-Paul Gourévitch est classé à l'extrême droite[Par qui ?]. Il est présenté par David Doucet, journaliste aux Inrockuptibles, dans une émission de France Culture en mai 2012, comme un faux scientifique, ayant réussi à tromper certains grands médias avec des analyses erronées sur l'immigration40. Le même David Doucet dans Les Inrockuptibles en octobre 2012, le définit comme « le chercheur préféré de l'extrême droite », et affirme qu'il a commis des erreurs de calcul, la principale étant une erreur de 20 milliards d'euros concernant la contribution des immigrés aux recettes relatives à la protection sociale, Gourévitch ayant selon lui omis de prendre en compte les cotisations patronales assises sur les salaires des travailleurs immigrés. David Doucet relaie aussi le politologue Jean-Yves Camus, spécialiste de l'extrême droite, qui déclare au sujet de Gourévitch et de ses études sur le « coût réel de l’immigration en France » : « Le monde universitaire ne lui reconnaît aucune légitimité scientifique dans ce domaine. Il n’est ni démographe ni spécialiste des questions migratoires »15. Dans un article publié le 28 décembre 2017 dans La Croix, Jean-Yves Camus affirme au contraire que Gourévitch « n’est pas de l’extrême droite », même si ce dernier fait partie des conseils de lecture proposés par le Front national41.

Selon le professeur Gérard-François Dumont, l'ouvrage de Gourévitch sur l'immigration publié dans la collection Pour les nuls ne présente pas une pédagogie « très marquée à droite » comme l'a écrit Le Monde. Gérard-François Dumont estime que le livre de Gourévitch ne traite pas les questions « selon des jugements de valeur correspondant à ce que l’on peut lire dans des programmes politiques de la droite », et que, au contraire, son livre s'équilibre en présentant des analyses opposées et « témoigne de la culture encyclopédique de l'auteur qui, manifestement, se documente selon l’éventail le plus large possible »39.

Pour plusieurs médias dont LCI, Jean-Paul Gourévitch est « le chouchou des milieux d'extrême droite » qui reprennent ses thèses sur les coûts de l'immigration bien supérieurs à ceux de Chojnicki de l'université de Lille42.

En 2015, il prend la parole à la cérémonie des Bobards d'or où il se considère comme victime d'une « cabale » de l’AFP : « J’ai été poignardé dans le dos par l’AFP. On a dit qui j’étais cité par l’extrême droite, mais personne n’a rappelé que j’interviens aussi pour des médias de gauche […] La dépêche a été reprise par 51 médias différents le lendemain. Bonjour le panurgisme »43.

Il participe en 2016 à Béziers à un rendez-vous de l'extrême droite organisé par Robert Ménard, à la table ronde sur l'immigration aux côtés de Arnaud Folch de Valeurs actuelles, Jean-Yves Le Gallou de Polémia, Renaud Camus, et Ivan Rioufol du Figaro44."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Gour%C3%A9vitch

[vivarais]

et les français vont encore s'en rendre plus compte car ils vont moins être remboursés médicalement avec les franchises médicales restant à charge encore plus cher alors que les bénéficiaires de l'AME en seront exemptés
on voudrait que le RN et reconquete gouvernent que l'on ne s'y prendrait pas autrement

[mic43121]

N'ayant jamais entendu parler de ce monsieur Jean-Paul Gourévitch, j'ai été à la pêche aux informations.
La récolte a été bonne :

"Débats concernant l'immigration et son coût
Dans un audit intitulé « Le coût de la politique migratoire de la France » (2010), il chiffre le coût de l'immigration à 30,4 milliards d’euros annuellement « à la charge des contribuables », après estimation des recettes et des dépenses pour l’État, les collectivités locales et la sécurité sociale (les administrations publiques). Le coût de l'immigration clandestine représenterait à lui seul près de 4,6 milliards d’euros annuel27. Selon un article de mars 2010 de Valeurs actuelles, il n'est pas facile d'estimer le coût de l'immigration, et Gourévitch « reconnaît honnêtement les limites de son étude, en l’absence de certaines données précises » qui l'ont amené notamment à utiliser des « fourchettes ». Gourévitch déclare que son étude « n’a pour ambition que de donner un ordre de grandeur relativement performant et de tracer les voies qu’il conviendrait d’explorer »28.

Le chiffrage de Gourévitch est remis en question par une étude29 remise au ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé en juillet 2010. Conduite par Xavier Chojnicki30, elle propose un bilan comptable différent. Selon cette étude, l'immigration rapporterait chaque année 12 milliards d'euros à l'État français (48 milliards de dépenses pour 60 milliards de recettes)31.

En 2012, Xavier Chojnicki et Lionel Ragot publient un essai intitulé On entend dire que... l'immigration coûte cher à la France. Qu'en pensent les économistes ?32 qui réduit le bénéfice de l'immigration à 3,89 milliards d'euros et qui est salué par le journal L'Express du 14 novembre 2012 qui s'en est inspiré pour son dossier sur « le vrai coût de l'immigration ».

La publication de son ouvrage Les Migrations pour les nuls en septembre 2014 lui vaut également des critiques. Plusieurs journaux dont Le Monde, le Figaro, Libération, La Croix, France TV info et de nombreux journaux régionaux, reprennent in extenso une dépêche de l'AFP du 11 septembre 201433, qui affirme que Jean-Paul Gourévitch est un « auteur marqué très à droite », « fréquemment cité et invité par l'extrême-droite »19,34,35,36, proximité que l’auteur récuse dans un droit de réponse publié sur le site de Contribuables associés37. D'autres rectifications ou droits de réponse ont été publiés par Le Point, Le Courrier de l'Atlas, Challenges. Selon Rue89, le livre utilise un grand nombre de sources et de termes d'extrême droite, et se révèle « un tract politique déguisé en ouvrage pédagogique »38.

Positionnement politique
Jean-Paul Gourévitch est classé à l'extrême droite[Par qui ?]. Il est présenté par David Doucet, journaliste aux Inrockuptibles, dans une émission de France Culture en mai 2012, comme un faux scientifique, ayant réussi à tromper certains grands médias avec des analyses erronées sur l'immigration40. Le même David Doucet dans Les Inrockuptibles en octobre 2012, le définit comme « le chercheur préféré de l'extrême droite », et affirme qu'il a commis des erreurs de calcul, la principale étant une erreur de 20 milliards d'euros concernant la contribution des immigrés aux recettes relatives à la protection sociale, Gourévitch ayant selon lui omis de prendre en compte les cotisations patronales assises sur les salaires des travailleurs immigrés. David Doucet relaie aussi le politologue Jean-Yves Camus, spécialiste de l'extrême droite, qui déclare au sujet de Gourévitch et de ses études sur le « coût réel de l’immigration en France » : « Le monde universitaire ne lui reconnaît aucune légitimité scientifique dans ce domaine. Il n’est ni démographe ni spécialiste des questions migratoires »15. Dans un article publié le 28 décembre 2017 dans La Croix, Jean-Yves Camus affirme au contraire que Gourévitch « n’est pas de l’extrême droite », même si ce dernier fait partie des conseils de lecture proposés par le Front national41.

Selon le professeur Gérard-François Dumont, l'ouvrage de Gourévitch sur l'immigration publié dans la collection Pour les nuls ne présente pas une pédagogie « très marquée à droite » comme l'a écrit Le Monde. Gérard-François Dumont estime que le livre de Gourévitch ne traite pas les questions « selon des jugements de valeur correspondant à ce que l’on peut lire dans des programmes politiques de la droite », et que, au contraire, son livre s'équilibre en présentant des analyses opposées et « témoigne de la culture encyclopédique de l'auteur qui, manifestement, se documente selon l’éventail le plus large possible »39.

Pour plusieurs médias dont LCI, Jean-Paul Gourévitch est « le chouchou des milieux d'extrême droite » qui reprennent ses thèses sur les coûts de l'immigration bien supérieurs à ceux de Chojnicki de l'université de Lille42.

En 2015, il prend la parole à la cérémonie des Bobards d'or où il se considère comme victime d'une « cabale » de l’AFP : « J’ai été poignardé dans le dos par l’AFP. On a dit qui j’étais cité par l’extrême droite, mais personne n’a rappelé que j’interviens aussi pour des médias de gauche […] La dépêche a été reprise par 51 médias différents le lendemain. Bonjour le panurgisme »43.

Il participe en 2016 à Béziers à un rendez-vous de l'extrême droite organisé par Robert Ménard, à la table ronde sur l'immigration aux côtés de Arnaud Folch de Valeurs actuelles, Jean-Yves Le Gallou de Polémia, Renaud Camus, et Ivan Rioufol du Figaro44."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Gour%C3%A9vitch

La dame au "voile discret" a fouillé le net pour nous démontrer que l''immigration est une source intarissable de ressources ..
Ce type de droite est un vrai faussaire ..oser affirmer que l'immigration nous coute cher ..mais quel CON
Alors qu'on a que du bonheur ...ils remplissent nos prisons ..occupent nos gendarmes qui s'emmerdent a ne rien faire ...
Au passages ils peuvent assassiner sans regrets des innocents ..on ne parle pas d'eux dans les journaux ..
Et puis le plus interessant..Ils pompent allègrement dans les finances de l'état ..on ne savait pas quoi foutre de nos EUROS
VOILA UN IDÉE QU'ELLE EST BONNE
Donc il faut ouvrir nos frontières ...sans hésiter ..on n'aura plus besoin de travailler ..
ON vivra de L'IMMIGRATION ....

[Kelenner]

L'insondable bêtise d'une telle phrase (comment peut-on sérieusement balancer des énormités pareilles, j'avoue que ça me dépasse) décrédibilise automatiquement son auteur.

Vu ton appartenance politique (?) impossible de formuler autre chose de plus concret.

Je suis de gauche, comme tu es d'extrême droite. Logiquement, je ne vais pas partager les "analyses" de ce monsieur, d'ailleurs absurdes même si on s'en tient aux chiffres. Mais la question n'est même pas là. Si tu n'es pas choqué qu'on réduise une question aussi vaste et complexe que l'immigration, qui implique des ETRES HUMAINS de profils et de parcours très divers, à une simple question de comptabilité (ridicule et fausse, en plus) en l'assimilant à du "gaspillage", alros effectivement tu n'es pas en capacité de comprendre mon point de vue sur le sujet, et je m'en tiendrai là.

[vivarais]

N'ayant jamais entendu parler de ce monsieur Jean-Paul Gourévitch, j'ai été à la pêche aux informations.
La récolte a été bonne :

"Débats concernant l'immigration et son coût
Dans un audit intitulé « Le coût de la politique migratoire de la France » (2010), il chiffre le coût de l'immigration à 30,4 milliards d’euros annuellement « à la charge des contribuables », après estimation des recettes et des dépenses pour l’État, les collectivités locales et la sécurité sociale (les administrations publiques). Le coût de l'immigration clandestine représenterait à lui seul près de 4,6 milliards d’euros annuel27. Selon un article de mars 2010 de Valeurs actuelles, il n'est pas facile d'estimer le coût de l'immigration, et Gourévitch « reconnaît honnêtement les limites de son étude, en l’absence de certaines données précises » qui l'ont amené notamment à utiliser des « fourchettes ». Gourévitch déclare que son étude « n’a pour ambition que de donner un ordre de grandeur relativement performant et de tracer les voies qu’il conviendrait d’explorer »28.

Le chiffrage de Gourévitch est remis en question par une étude29 remise au ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé en juillet 2010. Conduite par Xavier Chojnicki30, elle propose un bilan comptable différent. Selon cette étude, l'immigration rapporterait chaque année 12 milliards d'euros à l'État français (48 milliards de dépenses pour 60 milliards de recettes)31.

En 2012, Xavier Chojnicki et Lionel Ragot publient un essai intitulé On entend dire que... l'immigration coûte cher à la France. Qu'en pensent les économistes ?32 qui réduit le bénéfice de l'immigration à 3,89 milliards d'euros et qui est salué par le journal L'Express du 14 novembre 2012 qui s'en est inspiré pour son dossier sur « le vrai coût de l'immigration ».

La publication de son ouvrage Les Migrations pour les nuls en septembre 2014 lui vaut également des critiques. Plusieurs journaux dont Le Monde, le Figaro, Libération, La Croix, France TV info et de nombreux journaux régionaux, reprennent in extenso une dépêche de l'AFP du 11 septembre 201433, qui affirme que Jean-Paul Gourévitch est un « auteur marqué très à droite », « fréquemment cité et invité par l'extrême-droite »19,34,35,36, proximité que l’auteur récuse dans un droit de réponse publié sur le site de Contribuables associés37. D'autres rectifications ou droits de réponse ont été publiés par Le Point, Le Courrier de l'Atlas, Challenges. Selon Rue89, le livre utilise un grand nombre de sources et de termes d'extrême droite, et se révèle « un tract politique déguisé en ouvrage pédagogique »38.

Positionnement politique
Jean-Paul Gourévitch est classé à l'extrême droite[Par qui ?]. Il est présenté par David Doucet, journaliste aux Inrockuptibles, dans une émission de France Culture en mai 2012, comme un faux scientifique, ayant réussi à tromper certains grands médias avec des analyses erronées sur l'immigration40. Le même David Doucet dans Les Inrockuptibles en octobre 2012, le définit comme « le chercheur préféré de l'extrême droite », et affirme qu'il a commis des erreurs de calcul, la principale étant une erreur de 20 milliards d'euros concernant la contribution des immigrés aux recettes relatives à la protection sociale, Gourévitch ayant selon lui omis de prendre en compte les cotisations patronales assises sur les salaires des travailleurs immigrés. David Doucet relaie aussi le politologue Jean-Yves Camus, spécialiste de l'extrême droite, qui déclare au sujet de Gourévitch et de ses études sur le « coût réel de l’immigration en France » : « Le monde universitaire ne lui reconnaît aucune légitimité scientifique dans ce domaine. Il n’est ni démographe ni spécialiste des questions migratoires »15. Dans un article publié le 28 décembre 2017 dans La Croix, Jean-Yves Camus affirme au contraire que Gourévitch « n’est pas de l’extrême droite », même si ce dernier fait partie des conseils de lecture proposés par le Front national41.

Selon le professeur Gérard-François Dumont, l'ouvrage de Gourévitch sur l'immigration publié dans la collection Pour les nuls ne présente pas une pédagogie « très marquée à droite » comme l'a écrit Le Monde. Gérard-François Dumont estime que le livre de Gourévitch ne traite pas les questions « selon des jugements de valeur correspondant à ce que l’on peut lire dans des programmes politiques de la droite », et que, au contraire, son livre s'équilibre en présentant des analyses opposées et « témoigne de la culture encyclopédique de l'auteur qui, manifestement, se documente selon l’éventail le plus large possible »39.

Pour plusieurs médias dont LCI, Jean-Paul Gourévitch est « le chouchou des milieux d'extrême droite » qui reprennent ses thèses sur les coûts de l'immigration bien supérieurs à ceux de Chojnicki de l'université de Lille42.

En 2015, il prend la parole à la cérémonie des Bobards d'or où il se considère comme victime d'une « cabale » de l’AFP : « J’ai été poignardé dans le dos par l’AFP. On a dit qui j’étais cité par l’extrême droite, mais personne n’a rappelé que j’interviens aussi pour des médias de gauche […] La dépêche a été reprise par 51 médias différents le lendemain. Bonjour le panurgisme »43.

Il participe en 2016 à Béziers à un rendez-vous de l'extrême droite organisé par Robert Ménard, à la table ronde sur l'immigration aux côtés de Arnaud Folch de Valeurs actuelles, Jean-Yves Le Gallou de Polémia, Renaud Camus, et Ivan Rioufol du Figaro44."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Gour%C3%A9vitch

La dame au "voile discret" a fouillé le net pour nous démontrer que l''immigration est une source intarissable de ressources ..
Ce type de droite est un vrai faussaire ..oser affirmer que l'immigration nous coute cher ..mais quel CON
Alors qu'on a que du bonheur ...ils remplissent nos prisons ..occupent nos gendarmes qui s'emmerdent a ne rien faire ...
Au passages ils peuvent assassiner sans regrets des innocents ..on ne parle pas d'eux dans les journaux ..
Et puis le plus interessant..Ils pompent allègrement dans les finances de l'état ..on ne savait pas quoi foutre de nos EUROS
VOILA UN IDÉE QU'ELLE EST BONNE
Donc il faut ouvrir nos frontières ...sans hésiter ..on n'aura plus besoin de travailler ..
ON vivra de L'IMMIGRATION ....

faux on parle d'eux dans les journaux mais on ne dit pas leur nom
il n'y a que lorsqu'un policier en tue un là on dit le nom même s'il est mineur
alors que lorsque c'st la racaille qui est mineur et coupable on affirme que l'on ne peut pas dire le nom

[gare au gorille]

Vu ton appartenance politique (?) impossible de formuler autre chose de plus concret.

Je suis de gauche, comme tu es d'extrême droite. Logiquement, je ne vais pas partager les "analyses" de ce monsieur, d'ailleurs absurdes même si on s'en tient aux chiffres. Mais la question n'est même pas là. Si tu n'es pas choqué qu'on réduise une question aussi vaste et complexe que l'immigration, qui implique des ETRES HUMAINS de profils et de parcours très divers, à une simple question de comptabilité (ridicule et fausse, en plus) en l'assimilant à du "gaspillage", alros effectivement tu n'es pas en capacité de comprendre mon point de vue sur le sujet, et je m'en tiendrai là.

Il ne s'agit pas de réduire l'immigration à une question de comptabilité mais d'en chiffrer le gouffre financier pour le contribuable Français.
Après en évitant le domaine de l'insécurité, on pourrait aussi aborder les joies du communautarismes et la fracture civilisationnelle qu'implique le déversement d'une population dans une autre. Quelque chose qui ressemble à une libanisation du pays avec deux parties qui n'en finissent pas de se faire face. Mais le sujet ici est simplement financier puisqu'il est est le cout de l'immigration avec tout ce que cela implique pour le contribuable Français, maintenant si quelqu'un veut encore croire aux bénéfices et à la chance que représente une telle immigration..
Même les pays du Nord de l'Europe en sont revenus de ces beaux discours.

[LOFOTEN]

Vu ton appartenance politique (?) impossible de formuler autre chose de plus concret.

Je suis de gauche, comme tu es d'extrême droite. Logiquement, je ne vais pas partager les "analyses" de ce monsieur, d'ailleurs absurdes même si on s'en tient aux chiffres. Mais la question n'est même pas là. Si tu n'es pas choqué qu'on réduise une question aussi vaste et complexe que l'immigration, qui implique des ETRES HUMAINS de profils et de parcours très divers, à une simple question de comptabilité (ridicule et fausse, en plus) en l'assimilant à du "gaspillage", alros effectivement tu n'es pas en capacité de comprendre mon point de vue sur le sujet, et je m'en tiendrai là.

Quand on approuve pas tes idées on reste automatiquement dans l'extréme droite . Facile ce type de jugement

Mais comme tu as du sang breton dans les veines .....je pardonne