Vous avez lu ça où ? Sur MSN ? Twitter ? Le bilan de D. Trump en moins d'un an de règne est tout simplement désastreux.gare au gorille a écrit : ↑19 octobre 2025 17:50Fonck1 a écrit : ↑19 octobre 2025 12:15
pas sûr qu'aujourd'hui, il aurait été élu....ça s'est joué à tellement peu d’écart de voix, quand les gens se rendent compte de pour qui ils ont voté (pour ma part, je me doutais e ce qu'il allait faire c'etait prévisible, comme avec tous les gens de cet acabit) ben fort possible qu'jour'hui il ne serait pas passé.
après faut assumer sa débilité.
Oui mais nous avons le même problème en France avec l'élection de Macron et aujourd'hui seulement les gens comprennent pour quelle nullité ils ont voté. Après les électeurs de Macron doivent assumer leur débilité.
Par contre pour en revenir au sujet de Trump, bien sur la gauche en Amérique reste vent debout contre Trump et le fait savoir dans la rue, mais à la différence du président français le bilan de Trump est beaucoup moins négatif. Contrariant les pires prévisions des plus brillants économistes l'économie américaine ne s'est pas effondrée, et bien au contraire le bilan est loin d'être aussi dramatique qu'annoncé.
https://www.lesechos.fr/monde/etats-uni ... mp-2192250
-il enrichit sa famille et ses amis tout en appauvrissant les citoyens américains lambdas
-il démantèle ministère sur ministère ne correspondant pas à son idéologie (environnement, climat, recherche, etc.) et envoie des milliers de fonctionnaires au chômage
- il transforme les USA en un régime fasciste ou n'existe qu'un seul Roi, D. Trump lui-même.
- ses droits de douane fait grimper l'inflation dans son propre pays. Il enlève tous les droits des américains pauvres : couverture de santé, logement, etc.
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En fait, la façade économique est trompeuse. Donald Trump se vante d’un marché de l’emploi dynamique avec 150 000 créations mensuelles et un taux de chômage à 4,1%. Mais 70% de ces emplois sont précaires, sans couverture santé, sans congés payés, avec des horaires intenables et des salaires de misère. Ce sont des emplois que ni un Européen ni un Canadien n’accepterait. À la moindre crise financière, ces travailleurs seront les premiers à être licenciés. La croissance, bien qu'encore présente, va ralentir. Le FMI lui-même alerte : l’inflation persistante, le protectionnisme, le déséquilibre budgétaire, tout cela fragilise l’économie américaine.
En six mois de Trump, une économie qui résiste mais une inflation en hausse
Derrières les promesses dorées de Donald Trump quant aux apports de l'intelligence artificelle et du « drill baby drill », l'économie américaine navigue entre optimisme, mais aussi incertitudes. L'indice des prix à la consommation est en hausse. C'était attendu, en répercussion des droits de douane de Donald Trump. Malgré cela, l'économie américaine tient bon, la consommation résiste et le prix de l'essence qui est redescendu au niveau d'il y a quante ans y contribue.
Côté Bourses, après l'effondrement du mois d'avril, les grands indices boursiers battent des records. Un optimisme retrouvé alimenté par les bons résultats publiés par plusieurs grandes entreprises américaines telles que PepsiCo ou United Airlines. Le faible taux de chômage est brandi par Trump, mais il cache un grand nombre d'emplois précaires, et la politique migratoire du président américain pourrait également avoir un impact important sur l'économie du pays, pointent les analystes.
Le FMI appelle de son côté les États-Unis à réduire leur déficit budgétaire et à s'attaquer au fardeau de leur dette « qui ne cesse de s'alourdir », alors que Trump projette des réductions d'impôts radicales. L'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane au 1er août crée toujours de l'incertitude. La Réserve fédérale américaine attend de pouvoir évaluer leur impact pour modifier sa politique monétaire. La Fed se montre plutôt pessimiste et qui projette une croissance qui pourrait être divisée par deux cette année. "
https://www.rfi.fr/fr/am%C3%A9riques/20 ... autre-pays
Quand à Emmanuel Macron, je suis l'une de ses électrices et j'assume mon vote. Lors du Covid 19, on a pas trop entendu votre parti préféré, si ce n'est de proposer de nous injecter le vaccin de son pote Poutine, et de critiquer le pass vaccinal pendant que son ami Trump laissait crever son Peuple.
« Pendant la crise Covid et pendant la crise de l’inflation, ils (les oppositions) n’ont cessé de me demander plus », affirme l’ancien ministre face au journaliste économique François Lenglet (voir la séquence en vidéo plus bas). « Tous circulaient dans mon bureau en me disant : il nous faut plus pour les boulangers, les artisans et les commerçants (…) vous ne pouvez pas débrancher les aides ou retirer le quoi qu’il en coûte », se remémore-t-il, comme le rapporte Le Parisien.
« Quelle fourberie »
« Ils venaient tous gémir, pleurer dans mon bureau pour que je dépense plus. Ils ont tous déposé des amendements qui représentent des dizaines de milliards d’euros de dépenses supplémentaires », poursuit Bruno Le Maire, incisif. Pour ce « tous », il cite alors « la droite, les oppositions, le Rassemblement national ». « Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui viennent me dire 1 000 milliards de dette. Quelle fourberie », s’émeut-il encore."
https://www.huffingtonpost.fr/politique ... 56143.html

