Kelenner a écrit : Pascal, tu veux des arguments contre cette réforme ? Je vais faire soft et me limiter aux points principaux :
1- La précipitation : tout s'est décidé en quelques semaines, sans concertation malgré nos sonettes d'alarmes.
A la rentrée il manquait encore plusieurs animateurs.
Je ne suis pas d'accord! La réforme a été bien plus expliquer que celle de Dracos (et Sarkozy) ce retour au 4.5 Jours était même souhaité par l'UMP (qui depuis a retourner sa veste, comme toujours).
Les animateur sont de la responsabilité des maires et non de l'éducation nationale.
Kelenner a écrit :
2- L'intérêt des enfants ?? Foutaises, celui des parents. Les 4 jours et demi n'ont de sens qu'avec des journées RACCOURCIES,
or les enfants passent autant voire plus de temps à l'école !!!
Je persiste: l'intérêt des enfants! Tous parents (j'ai 6 enfants) sait parfaitement que les enfants sont plus réceptif le matin donc 5 matinées est le BON CHOIX!
Les journées D'ENSEIGNEMENTS sont bien raccourcit. Le temps dégagé devient ludique
Les enfants qui devaient resté à l'école jusqu'à 18h (temps de retour des parents) n'est pas de la responsabilité de l'éducation nationale
Kelenner a écrit :
3- La confusion pour les enfants, l'école devenant le lieu de tout et n'importe quoi, et la plupart ds activités se déroulant DANS les classes.
L'école est un lieu d'enseignement, scolaire mais aussi culturel et sportif. La classe peut ainsi sortir de son rôle rébarbatif et présenter un autre visage plus divers.
Kelenner a écrit :
4- La qualité des activités, du passable au catastrophique.
La qualité des 'activités' est de la responsabilité des maires et sera à la hauteur que nos élus auront bien voulu y consacré. Les maires seront donc jugés sur leur investissement dans cette volonté de faire les choses correctement. Payer les gens correctement est une condition de réussite (et répondra dans le bon sens à cette période de chômage actuel )
Kelenner a écrit :
5- Le coût faramineux, supporté par les mairies et non par l'Etat.
L'avenir de nos enfants n'a pas de prix, je laisse les petit besogneux de la comptabilité faire leur calcule concernant le coût pour notre société de l'échec scolaire, la délinquance, ...
Kelenner a écrit :
6-Le mauvais timing : il y avait bien plus urgent à faire avant...
L'avenir de nos enfants, de notre pays est plus que jamais d'actualité. Plus nos enfants seront instruit, plus le pays se portera bien. On a les urgence qu'on se donne! Je laisse les couineurs obnubiler du remboursement de la dette tomber dans la déprime... (à la grande joie des libéraux mondialisé)
Kelenner a écrit :
Incriminer les rares parents conscients de la nocivité de cette réforme est une erreur. Beaucoup sont de gauche mais dégoutés par ce mépris pour les enfants et les enseignants.
Les parents qui ne placent pas l'intérêt de l'enfant comme priorité sont au mieux des inconscients, au pire de sinistres crétins dangereux même pour leur propre progéniture!
je pense avoir été claire?