

Quel mépris et quelle ignorance du métier de marin pêcheur et des marins pêcheurs eux-mêmes!
Marin pecheur c'est dur ,on le sait ,,,, c'est quand même pas la faute à Macron ,,, rien ne les empêche d'aller au spot market du petrole en hollande et de retourner la barraqueHdelapampa a écrit : ↑26 septembre 2023 14:36 C'est un sujet, un "débat" là?
J'ai comme un doute.Quel mépris et quelle ignorance du métier de marin pêcheur et des marins pêcheurs eux-mêmes!
faut suivre les fil cher ami.Hdelapampa a écrit : ↑26 septembre 2023 14:36 C'est un sujet, un "débat" là?
J'ai comme un doute.Quel mépris et quelle ignorance du métier de marin pêcheur et des marins pêcheurs eux-mêmes!
non et je m'en tamponne, le fait est que cette enclave est en France.jeandu53 a écrit : ↑26 septembre 2023 11:03Manifestement, vous ne connaissez rien à l'histoire de la Bretagne, et à l'histoire des institutions françaises.Fonck1 a écrit : ↑26 septembre 2023 10:45
on aurait du supprimer ce parlement depuis longtemps.
la France devrait être une et indivisible, yen a marre de ces revendications régionales sectaires.
quand aux pêcheurs, s'ils avaient été plus vertueux, on les aurait probablement soutenu, ce n'est pas mon cas.
quand je sais le poisson pêché que l'on balance aux criées, juste pour garder des cours haut ça me révolte.
tant mieux pour vous.danielle49 a écrit : ↑26 septembre 2023 12:33 On voit que Fonck1 n'aime pas le poisson ?La meilleures pêche qui est encore pratiquée, et qui mériterait d'être encouragée, c'est la pêche côtière avec des petits bateaux, qui prend du bon poisson, et qui le revend à des prix très abordables dans des circuits courts, ou mieux, directement du bateau au consommateur.
De la barbue ou du turbot à 10 euros le kg, essayez d'en trouver, et du homard bleu à 20 euros le kg ? Moi j'en trouve.
arrêter la pèche intensive déjà, les fonds vont revivre, et le poisson reviendra.
capochef99 a écrit : ↑26 septembre 2023 14:17 C'est toute la commercialisation du poisson qui doit être remise en cause , elle ne correspond plus avec le présent !
avez vous vu jusqu'où va l'espace maritime de pèche pour la France et celui de la grande bretagne
que l'on commence déjà par chez nous avant de taper sur les autres.vivarais a écrit : ↑26 septembre 2023 18:06avez vous vu jusqu'où va l'espace maritime de pèche pour la France et celui de la grande bretagne
après est que cela va empêcher les flottilles japonaises , chinoises et et russes de piller les océans à la limites des eaux territoriales et qui sont suivies par des bateaux usines de conditionnement
c'est vertueux ce que vous dites mais impossible car il faudrait changer les règles à l'ONU et la chine et la Russie ont le droit de véto
que représente la France au niveau planétaire 68 millions sur 8 milliards d'être humainsFonck1 a écrit : ↑26 septembre 2023 18:07que l'on commence déjà par chez nous avant de taper sur les autres.vivarais a écrit : ↑26 septembre 2023 18:06
avez vous vu jusqu'où va l'espace maritime de pèche pour la France et celui de la grande bretagne
après est que cela va empêcher les flottilles japonaises , chinoises et et russes de piller les océans à la limites des eaux territoriales et qui sont suivies par des bateaux usines de conditionnement
c'est vertueux ce que vous dites mais impossible car il faudrait changer les règles à l'ONU et la chine et la Russie ont le droit de véto
charité bien ordonnée commence par soi même.
Mais cela existe depuis pas mal de temps par les quotas européen:
Et lire la suite....Quotas de pêche : au niveau européen
Pourquoi des quotas ? Les quotas de pêche ont été mis en place pour contrôler l'effort de pêche, éviter la surpêche et limiter les stocks de poissons.
Une décision européenne. Les quotas de pêche sont déterminés au niveau européen. Ainsi, chaque année, le Conseil européen « agriculture et pêche » se réunit à Bruxelles au mois de décembre pour négocier les possibilités de pêche dans les eaux européennes de l’Atlantique et de la mer du Nord pour l’année suivante.
Des négociations. A l’issue des négociations européennes, l’accord détermine les « Taux autorisés de capture » (TAC).
Bon à savoir. Lorsque les stocks sont partagés conjointement avec des pays non-membres de l’Union européenne (Norvège, îles Féroé, etc.), les TAC sont convenus en amont du Conseil « agriculture et pêche ». Il en est de même pour le bassin méditerranéen.
Concrètement, le TAC est, pour une espèce de poissons donnée, la quantité (ou plus exactement la masse) maximale qu'il est raisonnable de pêcher dans une zone définie afin d'assurer la pérennité de son exploitation.
L’adoption des TAC se fait donc par espèce et par zone. Depuis 2014, pour les déterminer, il est tenu compte du Rendement maximum durable (RMD), c'est-à-dire de la quantité de poissons qu’il est possible de capturer à long terme sans affecter le processus de reproduction.
Des TAC aux quotas. Chaque État membre de l'UE reçoit ensuite une part fixe des TAC, qui forme les quotas nationaux.
Les quotas nationaux sont calculés selon une clé de répartition invariable qui tient compte du niveau historique d’exploitation des stocks de poissons de chaque État membre. Les quotas sont alors répartis, au sein du pays, entre les pêcheurs à l'aide de critères objectifs et transparents.
Chaque État membre doit veiller à ce que les quotas nationaux ne soient pas dépassés. Lorsqu'un quota applicable à une espèce est proche d’être épuisé, le pays doit donc fermer la pêcherie concernée.
" on aurait du supprimer ce parlement depuis longtemps "Fonck1 a écrit : ↑26 septembre 2023 10:45on aurait du supprimer ce parlement depuis longtemps.jeandu53 a écrit : ↑26 septembre 2023 10:38
L'incendie du parlement de Bretagne, c'était il y a 29 ans.
Et il y a quelques mois, il y a encore eu des problèmes :
Rennes : La manifestation des pêcheurs s’embrase avec de violents affrontements
la France devrait être une et indivisible, yen a marre de ces revendications régionales sectaires.
quand aux pêcheurs, s'ils avaient été plus vertueux, on les aurait probablement soutenu, ce n'est pas mon cas.
quand je sais le poisson pêché que l'on balance aux criées, juste pour garder des cours haut ça me révolte.
tu parles quotas, moi je parle méthodes.LOFOTEN a écrit : ↑26 septembre 2023 18:57Mais cela existe depuis pas mal de temps par les quotas européen:
Et lire la suite....Quotas de pêche : au niveau européen
Pourquoi des quotas ? Les quotas de pêche ont été mis en place pour contrôler l'effort de pêche, éviter la surpêche et limiter les stocks de poissons.
Une décision européenne. Les quotas de pêche sont déterminés au niveau européen. Ainsi, chaque année, le Conseil européen « agriculture et pêche » se réunit à Bruxelles au mois de décembre pour négocier les possibilités de pêche dans les eaux européennes de l’Atlantique et de la mer du Nord pour l’année suivante.
Des négociations. A l’issue des négociations européennes, l’accord détermine les « Taux autorisés de capture » (TAC).
Bon à savoir. Lorsque les stocks sont partagés conjointement avec des pays non-membres de l’Union européenne (Norvège, îles Féroé, etc.), les TAC sont convenus en amont du Conseil « agriculture et pêche ». Il en est de même pour le bassin méditerranéen.
Concrètement, le TAC est, pour une espèce de poissons donnée, la quantité (ou plus exactement la masse) maximale qu'il est raisonnable de pêcher dans une zone définie afin d'assurer la pérennité de son exploitation.
L’adoption des TAC se fait donc par espèce et par zone. Depuis 2014, pour les déterminer, il est tenu compte du Rendement maximum durable (RMD), c'est-à-dire de la quantité de poissons qu’il est possible de capturer à long terme sans affecter le processus de reproduction.
Des TAC aux quotas. Chaque État membre de l'UE reçoit ensuite une part fixe des TAC, qui forme les quotas nationaux.
Les quotas nationaux sont calculés selon une clé de répartition invariable qui tient compte du niveau historique d’exploitation des stocks de poissons de chaque État membre. Les quotas sont alors répartis, au sein du pays, entre les pêcheurs à l'aide de critères objectifs et transparents.
Chaque État membre doit veiller à ce que les quotas nationaux ne soient pas dépassés. Lorsqu'un quota applicable à une espèce est proche d’être épuisé, le pays doit donc fermer la pêcherie concernée.
https://www.weblex.fr/articles/comment- ... s-de-peche