tiens, je me posais une question, les Femen on les voit pas là, pourtant c'est vraiment un combat pour l'intégrité des femmes, seulement c'est plus facile de se dévêtir dans une cathédrale à Paris, que d'aller parader place Tahrir.Un prédicateur égyptien légitime le harcèlement sexuel et le viol des femmes, place Tahrir
Dangereux pousse-au-crime, la misogynie viscérale qui enflamme le prédicateur égyptien salafiste, Mahmoud Ahmad Abdallah, plus connu sous le nom d'Abou Islam, dépasse l’entendement tant son aversion pathologique des femmes confine à l’irrationnel.
Alors que le fléau du harcèlement sexuel dans les lieux et transports publics gangrène le pays et considère les femmes comme des proies toutes désignées, ce prêcheur fanatique, qui est à la tête de la chaîne de télévision privée « Al-Ummah », a justifié sur la chaîne Al-Arabiya les attouchements sexuels, et pire encore, les viols des manifestantes sur la célèbre place Tahrir en diabolisant ces dernières outrageusement.
Livrées à la vindicte sur le petit écran et sur le Net (la vidéo ayant été publiée en ligne mercredi dernier), les Egyptiennes de la place Tahrir subissent un procès en sorcellerie par celui qui s'est érigé en censeur et grand Inquisiteur, se voyant qualifiées de "croisées" qui "n’éprouvent aucune honte, aucune peur, et n’incarnent pas le féminisme". La haine aveugle d'Abou Islam lui fait atteindre des sommets d’abjection, quand il déclare sans ambages que ces activistes qui vont « nues» place Tahrir, n’y vont «pas pour protester, mais pour être violées»...
Ces femmes-là, des "diables" avec des "cheveux flous", sont une "ligne rouge" qu’il faut allègrement franchir, exhorte Abou Islam dont les propos résonnent comme un appel au meurtre. Et de poursuivre en distinguant les manifestantes en deux catégories : "90% sont des croisées, et les 10% restantes sont des veuves qui n’ont personne pour les contrôler, vous voyez bien que ces femmes parlent comme des monstres".
Les déclarations rageuses de cet ultra, qui ont déchaîné la fureur de nombre d’Egyptiens sur Twitter, certains le traitant "d’idiot congénital ou encore de dangereux psychopathe", font suite aux récentes condamnations émises par plusieurs associations des droits de l’Homme, qui ont révélé au grand jour que 25 Egyptiennes ont été victimes de graves attouchements sexuels et de viols lors des manifestations organisées à l’occasion du deuxième anniversaire de l’insurrection populaire.
Abou Islam a déversé son fiel alors qu'il n'est pas en odeur de sainteté au sein du ministère public égyptien, qui croule sous les notifications l'accusant de diffamer la religion, notamment le christianisme, son fils et lui-même ayant, en septembre dernier, déchiré et brûlé une bible en face de l’ambassade américaine au Caire en réaction au film anti-islam.
Dangereux pousse-au-crime, la misogynie viscérale qui enflamme le prédicateur égyptien salafiste, Mahmoud Ahmad Abdallah, plus connu sous le nom d'Abou Islam, dépasse l’entendement tant son aversion pathologique des femmes confine à l’irrationnel.
Alors que le fléau du harcèlement sexuel dans les lieux et transports publics gangrène le pays et considère les femmes comme des proies toutes désignées, ce prêcheur fanatique, qui est à la tête de la chaîne de télévision privée « Al-Ummah », a justifié sur la chaîne Al-Arabiya les attouchements sexuels, et pire encore, les viols des manifestantes sur la célèbre place Tahrir en diabolisant ces dernières outrageusement.
Livrées à la vindicte sur le petit écran et sur le Net (la vidéo ayant été publiée en ligne mercredi dernier), les Egyptiennes de la place Tahrir subissent un procès en sorcellerie par celui qui s'est érigé en censeur et grand Inquisiteur, se voyant qualifiées de "croisées" qui "n’éprouvent aucune honte, aucune peur, et n’incarnent pas le féminisme". La haine aveugle d'Abou Islam lui fait atteindre des sommets d’abjection, quand il déclare sans ambages que ces activistes qui vont « nues» place Tahrir, n’y vont «pas pour protester, mais pour être violées»...
Ces femmes-là, des "diables" avec des "cheveux flous", sont une "ligne rouge" qu’il faut allègrement franchir, exhorte Abou Islam dont les propos résonnent comme un appel au meurtre. Et de poursuivre en distinguant les manifestantes en deux catégories : "90% sont des croisées, et les 10% restantes sont des veuves qui n’ont personne pour les contrôler, vous voyez bien que ces femmes parlent comme des monstres".
Les déclarations rageuses de cet ultra, qui ont déchaîné la fureur de nombre d’Egyptiens sur Twitter, certains le traitant "d’idiot congénital ou encore de dangereux psychopathe", font suite aux récentes condamnations émises par plusieurs associations des droits de l’Homme, qui ont révélé au grand jour que 25 Egyptiennes ont été victimes de graves attouchements sexuels et de viols lors des manifestations organisées à l’occasion du deuxième anniversaire de l’insurrection populaire.
Abou Islam a déversé son fiel alors qu'il n'est pas en odeur de sainteté au sein du ministère public égyptien, qui croule sous les notifications l'accusant de diffamer la religion, notamment le christianisme, son fils et lui-même ayant, en septembre dernier, déchiré et brûlé une bible en face de l’ambassade américaine au Caire en réaction au film anti-islam.
les viols" terreur politique" de la place Tahrir
- tisiphoné
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les viols" terreur politique" de la place Tahrir
- sanka
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Re: les viols" terreur politique" de la place Tahrir
j dis il a raison, il fait que respecter les traditions
les femmes elles ont pas d ames dans l islam, faut pas deconner non mais ho
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- Patrick_NL
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Re: les viols" terreur politique" de la place Tahrir
Les femmes ne baissent pas les bras.
Des Egyptiens, hommes et femmes, sont de nouveau descendus dans la rue mardi pour exiger la fin des violences sexuelles contre les femmes en Egypte, qui se sont multipliées ces derniers mois dans le centre du Caire.
"La voix de la femme est une révolution", ont scandé les manifestants, en agitant des drapeaux marqués du visage d'icônes féminines égyptiennes.
Ce rassemblement est le dernier d'une série d'actions demandant la fin de la culture d'impunité vis-à-vis des agressions sexuelles commises par des groupes d'hommes sur la place Tahrir et dans ses environs.
Ces attaques sont "une arme dans l'actuel conflit politique", a dit une manifestante, Mayar Abdel Aziz, en accusant "les opposants à la liberté" d'en être les auteurs.
Le harcèlement des femmes dans les rues d'Egypte est depuis longtemps un problème, mais le phénomène s'est récemment amplifié. Des agressions et des viols ont aujourd'hui régulièrement lieu en marge des manifestations.
Les manifestants se sont aussi dits furieux de déclarations de membres de la chambre haute du Parlement, qui ont rendu les femmes responsables des attaques.
"Les femmes parfois provoquent le viol en se mettant dans une position qui les rend susceptibles d'être violées", a ainsi dit le sénateur Adel Afifi, cité par les médias locaux.
La semaine dernière, l'organisation de défense des droits de l'Homme Amnesty International a appelé le président Mohamed Morsi à prendre des "mesures drastiques" pour mettre fin aux violences sexuelles contre les femmes.
A la manifestation du Caire, des femmes dénonçaient le caractère "systématique" des attaques.
"Nous avons toujours eu du harcèlement. Ce qu'il y a de nouveau c'est que la violence est devenue systématique",a dit Asmaa Ali, qui dirige un groupe contre le phénomène. "Harcèlement est un terme poli. Il faut qualifier cela d'agressions sexuelles. Ca a atteint le niveau de viols collectifs place Tahrir", a-t-elle ajouté.
Des Egyptiens, hommes et femmes, sont de nouveau descendus dans la rue mardi pour exiger la fin des violences sexuelles contre les femmes en Egypte, qui se sont multipliées ces derniers mois dans le centre du Caire.
"La voix de la femme est une révolution", ont scandé les manifestants, en agitant des drapeaux marqués du visage d'icônes féminines égyptiennes.
Ce rassemblement est le dernier d'une série d'actions demandant la fin de la culture d'impunité vis-à-vis des agressions sexuelles commises par des groupes d'hommes sur la place Tahrir et dans ses environs.
Ces attaques sont "une arme dans l'actuel conflit politique", a dit une manifestante, Mayar Abdel Aziz, en accusant "les opposants à la liberté" d'en être les auteurs.
Le harcèlement des femmes dans les rues d'Egypte est depuis longtemps un problème, mais le phénomène s'est récemment amplifié. Des agressions et des viols ont aujourd'hui régulièrement lieu en marge des manifestations.
Les manifestants se sont aussi dits furieux de déclarations de membres de la chambre haute du Parlement, qui ont rendu les femmes responsables des attaques.
"Les femmes parfois provoquent le viol en se mettant dans une position qui les rend susceptibles d'être violées", a ainsi dit le sénateur Adel Afifi, cité par les médias locaux.
La semaine dernière, l'organisation de défense des droits de l'Homme Amnesty International a appelé le président Mohamed Morsi à prendre des "mesures drastiques" pour mettre fin aux violences sexuelles contre les femmes.
A la manifestation du Caire, des femmes dénonçaient le caractère "systématique" des attaques.
"Nous avons toujours eu du harcèlement. Ce qu'il y a de nouveau c'est que la violence est devenue systématique",a dit Asmaa Ali, qui dirige un groupe contre le phénomène. "Harcèlement est un terme poli. Il faut qualifier cela d'agressions sexuelles. Ca a atteint le niveau de viols collectifs place Tahrir", a-t-elle ajouté.
"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo
- Eve
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Re: les viols" terreur politique" de la place Tahrir

C'est lui le monstre ! Courage aux femmes Égyptiennes.
- sanka
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Re: les viols" terreur politique" de la place Tahrir
y avait une photo, je crois paru dans hara kiri, l accessoire sexuel anti viol
ou en gros, à l interieur, y avait des piques, et si le mec met son outil dedans, ca fait trop mal rien que d y penser.
Y a un marché a prendre en egypte !!!!!
ou en gros, à l interieur, y avait des piques, et si le mec met son outil dedans, ca fait trop mal rien que d y penser.
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- Eve
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Re: les viols" terreur politique" de la place Tahrir
Un peu de bromure tous les jours dans leur thé, café ...
- sanka
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Re: les viols" terreur politique" de la place Tahrir
ne pas bander n empeche pas le viol,
avec des doigts, des balais, des bouteilles de biere... etc...
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