
Ce sont les gens qui décident de manger moins de viande, pas les maïsiculteurs.
La plus part du maïs pour nourrir les animaux est vendu à l'étranger.
Rassurez moi : ça ne dépend pas de vous non plus ?Hdelapampa a écrit : ↑05 décembre 2022 18:46 Ca tombe bien, parce que ça ne dépend pas de vous.
Ce sont les gens qui décident de manger moins de viande, pas les maïsiculteurs.
En effet le problème n'est pas le maïs. C'est ce à quoi il sert. Soit très très principalement à nourrir des bestioles qu'on va manger. Le maïs est le moyen, pas la cause. Il ne faut pas arrêter l'élevage, mais essayer de le diminuer, pour diminuer les surfaces agricoles qui servent majoritairement à la nourriture d'animaux (près des trois quarts des surfaces agricoles actuelles).Victor a écrit : ↑05 décembre 2022 11:00 La pampa a raison sur le fond.
Qui mange du maïs ?
Les animaux qu'on élève pour les manger.
Le problème de fond, c'est bien la consommation excessive de viande.
On doit réduire notre consommation de viande de manière importante. Pour notre santé et pour la planète.
Non. Pas nous.
Israël arrose ( et Jehovah sait bien qu'avec leur climat, il vaut mieux arroser ) pour l'essentiel avec de l'eau recyclée à, si mes souvenirs ne me trahissent pas, 90%. Le second pays utilisant l'eau recyclée est l'Espagne notre voisin qui parvient à 20%. Notre pays tournerait aux alentours de moins de 1%. Nous avons donc de la marge avant d'obliger les maïsiculteurs à changer de culture. Les écoterroristes seraient donc bien inspirés de moins emm. les agriculteurs et éleveurs et pousser les municipalités au recyclage systématique.
Ce n'est pas notre cas, les WC, le lave-linge, le lave-vaisselle, l'arrosage des plantes, sont alimentés par de l'eau de pluie.
on ne manque pas d'eauHdelapampa a écrit : ↑04 décembre 2022 23:37 Cest une habitude des lobbies de se présenter sous un jour favorable.
Mais qui manque d'eau et le fait savoir (A Ste Soline ou ailleurs)?
Les maïsiculteurs.
https://www.lemonde.fr/international/ar ... _3210.htmlVous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci.
La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite.
Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente.
Pour toute demande d’autorisation, contactez droitsdauteur@lemonde.fr.
En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ».
https://www.lemonde.fr/international/ar ... _3210.html
Combien d'eau est consommée en France et par qui ? L'indice global d'exploitation des ressources en eau de la France, c'est-à-dire le rapport entre les prélèvements (33 milliards de m3) et les apports des pluies (175 milliards de m3) s'élève à 19 %, un chiffre proche de la moyenne européenne. L'Institut français de l'environnement (IFEN) souligne que, "malgré une situation nationale relativement favorable, des risques importants de pénurie d'eau existent de manière locale et saisonnière" .
Les ordres de grandeur sont simples : un quart de l'eau consommée est utilisé pour l'eau potable, un quart par l'industrie et l'énergie, et la moitié restante par l'agriculture. Et, sur ces 50 %, la moitié va au maïs irrigué.
Ces chiffres doivent être distingués des volumes d'eau prélevés, qui sont plus ou moins largement restitués au milieu naturel. Ainsi, 55 % des eaux prélevées chaque année sont utilisés par le secteur de l'énergie afin de refroidir les centrales thermiques et nucléaires. Mais, à la différence du secteur agricole qui consomme tout ce qu'il prélève, l'énergie en restitue la plus grande partie au milieu naturel.
Le dernier recensement agricole a permis au Cemagref, l'Institut de recherche pour l'ingénierie de l'agriculture et de l'environnement, de faire le point sur l'irrigation en France. En 2000, près de 95 000 exploitations agricoles ont eu recours à l'irrigation, soit 14,5 % des exploitations. Le nombre d'hectares irrigués s'élevait à 5,7 % de la surface agriculture utilisée (SAU) nationale. Cette surface a triplé depuis 1970. L'irrigation, qui s'est relativement stabilisée depuis 1992, est surtout développée dans le Sud-Est et le Sud-Ouest, le Centre et l'Alsace.
Le "goutte à goutte" de papibilou et Da Capo.![]()