Stounk a écrit :vincent a écrit :
" la haine des médias et de ceux qui les animent est juste et saine" disait JLM en février .......
imaginez ce mini Robespierre aux manettes ......des médias ...comme au Vénézuéla .....
SNJ TV devrait boycotter ce fou de Marx
Alors qu'aujourd'hui, nos grands médias et journalistes qui appartiennent tous à une poignée de milliardaires (ou au pouvoir en place) sont l'exemple même de la liberté de ton et de l'impartialité...
estimezvous heureuxd' avoir ( ce qui est faux *) , les médias aux mains de milliardaires .....ils vous autorisent a dire tout ce que vous pensez ......essayer d' accéder aux médias"libres" chez Maduro , chez Castro etc etc......et de dire ce que vous pensez !!!!!!
les dictateurs ont tj commencé par museler les médias ....citez moi un seul pays coco ( depuis 1917) ayant laissé les médias libres
* 3) Les médias qui attirent des électeurs de gauche
Côté télévisions, le JT de France 2 capte 51 % d’électeurs de gauche, tout comme le « 19-20 » de France 3 (51 %, mais ce ne sont pas les mêmes) et le « Grand journal » de Canal + (59 %). Mais il ne s’agit pas des mêmes publics : France 2, tout comme Canal +, est regardée par un auditoire plutôt urbain, tandis que France 3 polarise la France périurbaine.
France Inter (72 %) et, dans une moindre mesure, France Info (49 %) séduisent les auditeurs de gauche, notamment la générations des soixante-huitards. A noter que Libération, très polarisé à gauche, possède un lectorat bien plus aisé que celui du Monde et du Figaro.
Au total, ce tableau des habitudes médiatiques des différents électorats montre une polarisation politique qui n’a pas toujours existé.
En réalité, la couleur politique du public des médias s’explique aussi par la composition de ce dernier (âge et CSP).
Les radios et les télévisions de service public attirent les électeurs de gauche, les fonctionnaires et les enseignants, ainsi que les CSP +, qui haïssent la publicité. TF1 et les radios privées, comme Europe 1 et RTL, éprouvent quelques difficultés à rajeunir leur public. D’où leur penchant à droite.
Mais les électeurs recherchent-ils à conforter, dans leurs fréquentations médiatiques, leur vision du monde et leurs opinions ? Voici cinquante ans, au moment de la guerre froide, les gens qui prenaient le métro disposaient chaque matin, avec L’Humanité et Le Figaro, de deux visions du monde. Aujourd’hui, ce n’est plus si évident. « L’autocar transportant des enfants qui se renverse dans un fossé sera le premier sujet de France 2 comme de TF1, explique Gilles Casanova, spécialiste de communication. Les différences politiques ne se retrouvent pas dans le traitement de l’information, mais dans le langage : on dit “le père” et “la mère” sur TF1, et “papa” et “maman” sur France 2. »
Bien entendu, les titres et les éditoriaux diffèrent, mais la même hiérarchie de l’information s’impose à peu près dans tous les médias… On peut même penser que les médias eux-mêmes adaptent leur ligne éditoriale à leur public. En défendant la présence à l’antenne d’Eric Zemmour ou de Jean-Michel Aphatie, malgré les attaques que ces derniers ont subies, le PDG de RTL, Christophe Baldelli, ne fait pas que défendre la liberté d’expression, il fait aussi le marketing de la station. En défendant les humoristes de France Inter, Patrick Cohen se souvient qu’ils plaisent aux auditeurs de gauche.
Cette hétérogénéité politique croissante des médias peut inquiéter. On préfère rêver d’un monde médiatiquement plus perméable dans lequel des auditeurs de droite s’aventureraient plus souvent sur France Culture, tandis que ceux de France Inter s’encanailleraient sur RMC…
La gauche boycotte TF1, la droite ignore Canal +, France 2 et surtout.....
et au Vénézuéla , Mélenchon souhaite t il prendre comme modéle ce pays ?