La relance des plans de sécurité des pays européens sont là pour en juger, ils s'y préparent, tous.
Deux semaines. C’est le temps que la France tiendrait en menant une guerre de haute intensité. Ce constat établi par un sénateur LR quelques semaines après l’invasion de l’Ukraine par la Russie avait fait couler beaucoup d’encre. Deux ans plus tard, la relance d’une industrie de défense européenne a bien été amorcée. Mais les craintes d’une réélection de Donald Trump à la présidentielle aux États-Unis et avec lui d’un retour de l’isolationnisme américain poussent les 27 à passer à la vitesse supérieure.En cas de retrait américain de l’Otan, l’Europe aurait-elle les moyens de se défendre seule ?
Depuis la guerre en Ukraine, le projet de bâtir une défense européenne a été relancé. En attendant les premiers résultats, les 27 comptent sur une résistance de Kiev et un maintien de la coopération avec Washington.
Deux semaines. C’est le temps que la France tiendrait en menant une guerre de haute intensité. Ce constat établi par un sénateur LR quelques semaines après l’invasion de l’Ukraine par la Russie avait fait couler beaucoup d’encre. Deux ans plus tard, la relance d’une industrie de défense européenne a bien été amorcée. Mais les craintes d’une réélection de Donald Trump à la présidentielle aux États-Unis et avec lui d’un retour de l’isolationnisme américain poussent les 27 à passer à la vitesse supérieure.
Début février, le sulfureux milliardaire a affirmé que s’il est réélu, il pourrait ne pas défendre ses alliés de l’Otan en cas d’attaque de la Russie s’ils ne participent pas assez au financement de l’alliance. Une menace qui a fait planer sur le Vieux Continent la crainte d’un retrait de Washington d’une organisation qu’on dit « sous perfusion américaine ».
Début février, le sulfureux milliardaire a affirmé que s’il est réélu, il pourrait ne pas défendre ses alliés de l’Otan en cas d’attaque de la Russie s’ils ne participent pas assez au financement de l’alliance. Une menace qui a fait planer sur le Vieux Continent la crainte d’un retrait de Washington d’une organisation qu’on dit « sous perfusion américaine ».