Alors je ne sais pas s'il y a méprise de langage ou pas, ce que je vois, c'est que ce type est quand même coutumier des propos ambigus et autres travers contraires à la loi.L'Imam qui défraye l'actualité a présenté ses excuses et a parlé de maladresse, il n'en demeure que le personnage est très contesté.
Darmanin a demandé son expulsion, mais ça va être compliqué, la vidéo n’étant pas claire et distincte au niveau justice, lui s'en etant bien sur expliqué, dans les faits, ça va être compliqué de l'expulser.
Dans une première vidéo relayée sur les réseaux sociaux, l'imam de Bagnols-sur-Cèze, Mahjoub Mahjoubi, qualifie notamment le "drapeau tricolore" de "drapeau satanique" qui n'a "aucune valeur auprès d'Allah". Il ne précise pas qu'il s'agit du drapeau français. "Je ne parlais en aucun cas du drapeau français, affirme-t-il à France Bleu Gard Lozère Je parlais d'une communauté bien précise qui est la communauté maghrébine, et surtout de la CAN [la Coupe d'Afrique des nations], parce que je parle des stades, et de tous ces drapeaux qu'on lève dans les stades et qui divisent les musulmans".
Le Recteur de la Grande Mosquée de Paris a exprimé sa profonde consternation face aux propos tenus par l’imam Mahjoub Mahjoubi, faisant état d'une attitude contraire aux valeurs de tolérance et de respect prônées par l'Islam.
(sources france info)
Interrogé par Le Figaro, son conseil, Maître Samir Hamroun, conseille d’«impérativement écouter le prêche en entier», qui constituerait une «critique contre le nationalisme, plus particulièrement appliqué par certains jeunes d’origine maghrébine qui se font la “guerre” dans des stades de foot notamment sous couvert de la défense d’un drapeau», assure-t-il. Il s’agit d’un prêche «sur la division des musulmans de toute nationalité (...) Il n’a eu aucune intention d’attaquer le drapeau français et ses valeurs pour lesquels il a profond attachement», selon l’avocat, déplorant que l’on puisse «confondre (son client) avec les pires extrémistes qui existent».
Ce n’est pas la première fois que l’imam du Gard est ciblé par les autorités. Comme il l’affirme lui-même dans Midi Libre : «Les services de renseignements ont épluché ma vie. Ils l’ont de A à Z». Ainsi, selon des informations du Parisien et de BFMTV, le religieux a déjà fait l’objet d’au moins un signalement de la part de la préfecture du département.
L’institution aurait prévenu le parquet de Nîmes que l’imam a été condamné en 2015 à une interdiction de gérer une entreprise jusqu’en juin 2030. Or, il occuperait le poste de gestionnaire d’une entreprise de travaux en bâtiment, dont la présidence serait confiée à son épouse, d’après la préfecture citée par nos confrères. Un contrôle administratif suivant le signalement aurait été ordonné le 8 novembre dans sa mosquée - le lendemain, une école coranique accueillant des jeunes en soutien scolaire et administrée par Mahjoub Mahjoubi aurait été fermée, pour soupçons de discours séparatistes.
(sources le figaro)
ces types sont souvent le fruit d'un égocentrisme et d'une mauvaise instruction.
il donne une mauvaise image des musulmans en france et ma foi, je pense que personne ne le plaindra.
mais dans les faits, ils va être très dur de le renvoyer chez lui sur ces derniers faits assez ambigus, présent depuis 86 sur le territoire, femme française et deux enfants scolarisés....