Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Knafo ?
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Merci aux uns et autres d'user un vocabulaire moins incisif.
Nous ne sommes pas dans une cours de charretiers et l'on ne discute pas sereinement avec un vocabulaire trop direct et sans cordialité, et surtout manquant d'argumentation.
je vous rappelle à tous, que nous ne sommes pas sur un ring de boxe mais sur un forum de discussion.
la modération du forum.
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Mea culpa, je retire ce que j'ai dit dans mon précédent post.
Dans tous les cas Sarah Knafo ne maîtrisait pas son sujet comme elle le laissait entendre. Quand on se lance dans un sujet, la moindre des choses est de savoir de quoi on parle ou, sinon, il est préférable d'éviter des sujets trop complexes.
Je pense que cet événement lui a servi de leçon, du moins je l'espère pour elle.
Dans tous les cas Sarah Knafo ne maîtrisait pas son sujet comme elle le laissait entendre. Quand on se lance dans un sujet, la moindre des choses est de savoir de quoi on parle ou, sinon, il est préférable d'éviter des sujets trop complexes.
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- Victor
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Mais qui parle d'état policier ?
Vous délirez.
Les français dans leur très grande majorité veulent une justice qui fonctionne, c'est à dire qui arrête son délire laxiste envers les délinquants.
Aujourd'hui, et c'est un énorme problème, la justice française est politisée.
Les citoyens n'ont plus confiance dans leur justice.
La justice est une institution de base de la société.
Et quand les citoyens n'ont plus confiance dans la justice, c'est un énorme problème.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
tronquer la phrase et provoquer en en détournant le sens est assez malhonnête.Victor a écrit : ↑03 février 2025 14:52Mais qui parle d'état policier ?
Vous délirez.
Les français dans leur très grande majorité veulent une justice qui fonctionne, c'est à dire qui arrête son délire laxiste envers les délinquants.
Aujourd'hui, et c'est un énorme problème, la justice française est politisée.
Les citoyens n'ont plus confiance dans leur justice.
La justice est une institution de base de la société.
Et quand les citoyens n'ont plus confiance dans la justice, c'est un énorme problème.
quand il y a une virgule à une phrase, c'est que l'idée générale n'est pas terminée.
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Décidément quand ça veut pas...
Aide octroyée à l’Algérie : la France contredit Sarah Knafo
L’ambassade de France en Algérie a récemment publié un communiqué pour clarifier les montants exacts de l’aide publique au développement (APD) accordée à l’Algérie. Cette annonce intervient après la diffusion de chiffres erronés par certains responsables politiques français, notamment de l’extrême droite. L’objectif du communiqué est de rectifier ces affirmations en apportant des données officielles et vérifiables, tout en précisant que ces fonds ne sont pas versés directement à l’État algérien, mais sont affectés à des secteurs bien définis.
En septembre dernier, l’eurodéputée Sarah Knafo, proche d’Éric Zemmour, avait avancé que l’Algérie recevait 800 millions d’euros d’aide au développement chaque année. Une information qui avait fait grand bruit et qui avait même conduit certains médias français, dont TF1, à mener des enquêtes pour en vérifier la véracité. Il en est ressorti que cette somme correspond en réalité à une période de cinq ans, et non à une seule année, ce qui a conduit l’Algérie à déposer une plainte en France pour diffusion de fausses informations. L’affaire a finalement été classée sans suite par le parquet de Paris, bien que celui-ci ait reconnu que les déclarations de Sarah Knafo n’étaient pas suffisamment fondées.
Dans son communiqué, l’ambassade de France rappelle que l’APD est un ensemble de flux financiers destiné à améliorer les conditions de vie dans les pays en développement. L’objectif est de garantir un accès équitable aux services de base tels que l’éducation, la santé ou encore l’eau potable. La France se positionne comme le quatrième contributeur mondial à l’APD, avec un engagement total de 15,3 milliards d’euros en 2022. Concernant l’Algérie, les chiffres officiels indiquent que l’aide publique au développement engagée par la France en 2022 s’élevait précisément à 132 millions d’euros.
Une répartition détaillée de cette somme a été communiquée. Sur ces 132 millions d’euros, la majeure partie, soit 121 millions, est allouée au ministère de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, essentiellement pour financer les bourses des étudiants algériens poursuivant leurs études en France. Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères bénéficie quant à lui de 8,5 millions d’euros, destinés à des programmes de coopération culturelle et scientifique, ainsi qu’au fonctionnement de l’Institut français d’Algérie. L’Agence française de développement (AFD) reçoit une enveloppe de 1,5 million d’euros pour financer des projets en lien avec le développement économique. Enfin, une somme de 280 000 euros est attribuée au ministère de l’Intérieur, afin de soutenir certaines initiatives locales et les actions de l’Office français d’immigration et d’intégration.
Ces précisions visent à contrer les polémiques qui entourent régulièrement l’aide au développement et les relations financières entre la France et l’Algérie. Elles permettent également d’éclaircir la nature des financements et leur destination réelle. Contrairement aux idées reçues, cet argent n’est pas un soutien direct au gouvernement algérien, mais un dispositif structuré autour de l’accompagnement de projets éducatifs, culturels et économiques.
Dans une interview accordée au journal français L’Opinion, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a tenu à réagir aux déclarations sur l’APD accordée à son pays. Il a minimisé l’importance de ces fonds en affirmant que l’Algérie n’en avait pas besoin. Selon lui, l’APD française représente « entre 20 et 30 millions par an » et reste négligeable comparée au budget global de l’État algérien, qui s’élève à 130 milliards de dollars. Il a également souligné que l’Algérie ne dépendait d’aucune aide extérieure, puisqu’elle ne possède aucune dette extérieure.
Cette déclaration s’inscrit dans une volonté du gouvernement algérien d’affirmer son indépendance économique face à ses partenaires internationaux. L’Algérie a en effet adopté ces dernières années une politique économique fondée sur l’autosuffisance et la diversification de ses ressources. Dans ce contexte, l’aide au développement française, bien que réelle, ne représente qu’une infime partie du financement global des services publics algériens.
En clarifiant les chiffres et leur destination, l’ambassade de France tente d’apaiser les tensions liées aux débats sur l’APD. Ce type de controverse revient régulièrement dans le paysage politique français, notamment à l’approche d’échéances électorales où les questions migratoires et les relations avec l’Algérie sont souvent instrumentalisées. La transparence des chiffres et la communication sur leur utilisation sont essentielles pour éviter toute récupération politique et garantir une meilleure compréhension des enjeux de l’aide internationale.
L’Algérie, de son côté, continue de défendre sa souveraineté économique et de s’éloigner des dépendances financières extérieures. Dans ce cadre, l’APD française, bien qu’existante, ne joue qu’un rôle marginal dans l’économie du pays, qui mise avant tout sur ses propres ressources pour assurer son développement.
https://dnalgerie.com/aide-octroyee-a-l ... rah-knafo/
Aide octroyée à l’Algérie : la France contredit Sarah Knafo
L’ambassade de France en Algérie a récemment publié un communiqué pour clarifier les montants exacts de l’aide publique au développement (APD) accordée à l’Algérie. Cette annonce intervient après la diffusion de chiffres erronés par certains responsables politiques français, notamment de l’extrême droite. L’objectif du communiqué est de rectifier ces affirmations en apportant des données officielles et vérifiables, tout en précisant que ces fonds ne sont pas versés directement à l’État algérien, mais sont affectés à des secteurs bien définis.
En septembre dernier, l’eurodéputée Sarah Knafo, proche d’Éric Zemmour, avait avancé que l’Algérie recevait 800 millions d’euros d’aide au développement chaque année. Une information qui avait fait grand bruit et qui avait même conduit certains médias français, dont TF1, à mener des enquêtes pour en vérifier la véracité. Il en est ressorti que cette somme correspond en réalité à une période de cinq ans, et non à une seule année, ce qui a conduit l’Algérie à déposer une plainte en France pour diffusion de fausses informations. L’affaire a finalement été classée sans suite par le parquet de Paris, bien que celui-ci ait reconnu que les déclarations de Sarah Knafo n’étaient pas suffisamment fondées.
Dans son communiqué, l’ambassade de France rappelle que l’APD est un ensemble de flux financiers destiné à améliorer les conditions de vie dans les pays en développement. L’objectif est de garantir un accès équitable aux services de base tels que l’éducation, la santé ou encore l’eau potable. La France se positionne comme le quatrième contributeur mondial à l’APD, avec un engagement total de 15,3 milliards d’euros en 2022. Concernant l’Algérie, les chiffres officiels indiquent que l’aide publique au développement engagée par la France en 2022 s’élevait précisément à 132 millions d’euros.
Une répartition détaillée de cette somme a été communiquée. Sur ces 132 millions d’euros, la majeure partie, soit 121 millions, est allouée au ministère de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, essentiellement pour financer les bourses des étudiants algériens poursuivant leurs études en France. Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères bénéficie quant à lui de 8,5 millions d’euros, destinés à des programmes de coopération culturelle et scientifique, ainsi qu’au fonctionnement de l’Institut français d’Algérie. L’Agence française de développement (AFD) reçoit une enveloppe de 1,5 million d’euros pour financer des projets en lien avec le développement économique. Enfin, une somme de 280 000 euros est attribuée au ministère de l’Intérieur, afin de soutenir certaines initiatives locales et les actions de l’Office français d’immigration et d’intégration.
Ces précisions visent à contrer les polémiques qui entourent régulièrement l’aide au développement et les relations financières entre la France et l’Algérie. Elles permettent également d’éclaircir la nature des financements et leur destination réelle. Contrairement aux idées reçues, cet argent n’est pas un soutien direct au gouvernement algérien, mais un dispositif structuré autour de l’accompagnement de projets éducatifs, culturels et économiques.
Dans une interview accordée au journal français L’Opinion, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a tenu à réagir aux déclarations sur l’APD accordée à son pays. Il a minimisé l’importance de ces fonds en affirmant que l’Algérie n’en avait pas besoin. Selon lui, l’APD française représente « entre 20 et 30 millions par an » et reste négligeable comparée au budget global de l’État algérien, qui s’élève à 130 milliards de dollars. Il a également souligné que l’Algérie ne dépendait d’aucune aide extérieure, puisqu’elle ne possède aucune dette extérieure.
Cette déclaration s’inscrit dans une volonté du gouvernement algérien d’affirmer son indépendance économique face à ses partenaires internationaux. L’Algérie a en effet adopté ces dernières années une politique économique fondée sur l’autosuffisance et la diversification de ses ressources. Dans ce contexte, l’aide au développement française, bien que réelle, ne représente qu’une infime partie du financement global des services publics algériens.
En clarifiant les chiffres et leur destination, l’ambassade de France tente d’apaiser les tensions liées aux débats sur l’APD. Ce type de controverse revient régulièrement dans le paysage politique français, notamment à l’approche d’échéances électorales où les questions migratoires et les relations avec l’Algérie sont souvent instrumentalisées. La transparence des chiffres et la communication sur leur utilisation sont essentielles pour éviter toute récupération politique et garantir une meilleure compréhension des enjeux de l’aide internationale.
L’Algérie, de son côté, continue de défendre sa souveraineté économique et de s’éloigner des dépendances financières extérieures. Dans ce cadre, l’APD française, bien qu’existante, ne joue qu’un rôle marginal dans l’économie du pays, qui mise avant tout sur ses propres ressources pour assurer son développement.
https://dnalgerie.com/aide-octroyee-a-l ... rah-knafo/
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Ce précédent message soulève quelque chose de plus intéressant que la dame qui a donné des chiffres erronés; l'aide publique au développement. Montant plus de 10 milliards par la France et 96 milliards de l'UE en 2023. Voilà un bon sujet de fil.
- Corvo
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Avant de s'exprimer sur les médias il va falloir qu'elle travaille un peu plus sérieusement ses dossiers.
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Sur la première question : je suis de droite,pas d'extrême droite.
Sur la seconde : c'est exact je ne lis pas "les romans".
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Corvo a écrit : ↑03 février 2025 16:09 Décidément quand ça veut pas...
Aide octroyée à l’Algérie : la France contredit Sarah Knafo
L’ambassade de France en Algérie a récemment publié un communiqué pour clarifier les montants exacts de l’aide publique au développement (APD) accordée à l’Algérie. Cette annonce intervient après la diffusion de chiffres erronés par certains responsables politiques français, notamment de l’extrême droite. L’objectif du communiqué est de rectifier ces affirmations en apportant des données officielles et vérifiables, tout en précisant que ces fonds ne sont pas versés directement à l’État algérien, mais sont affectés à des secteurs bien définis.
En septembre dernier, l’eurodéputée Sarah Knafo, proche d’Éric Zemmour, avait avancé que l’Algérie recevait 800 millions d’euros d’aide au développement chaque année. Une information qui avait fait grand bruit et qui avait même conduit certains médias français, dont TF1, à mener des enquêtes pour en vérifier la véracité. Il en est ressorti que cette somme correspond en réalité à une période de cinq ans, et non à une seule année, ce qui a conduit l’Algérie à déposer une plainte en France pour diffusion de fausses informations. L’affaire a finalement été classée sans suite par le parquet de Paris, bien que celui-ci ait reconnu que les déclarations de Sarah Knafo n’étaient pas suffisamment fondées.
Dans son communiqué, l’ambassade de France rappelle que l’APD est un ensemble de flux financiers destiné à améliorer les conditions de vie dans les pays en développement. L’objectif est de garantir un accès équitable aux services de base tels que l’éducation, la santé ou encore l’eau potable. La France se positionne comme le quatrième contributeur mondial à l’APD, avec un engagement total de 15,3 milliards d’euros en 2022. Concernant l’Algérie, les chiffres officiels indiquent que l’aide publique au développement engagée par la France en 2022 s’élevait précisément à 132 millions d’euros.
Une répartition détaillée de cette somme a été communiquée. Sur ces 132 millions d’euros, la majeure partie, soit 121 millions, est allouée au ministère de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, essentiellement pour financer les bourses des étudiants algériens poursuivant leurs études en France. Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères bénéficie quant à lui de 8,5 millions d’euros, destinés à des programmes de coopération culturelle et scientifique, ainsi qu’au fonctionnement de l’Institut français d’Algérie. L’Agence française de développement (AFD) reçoit une enveloppe de 1,5 million d’euros pour financer des projets en lien avec le développement économique. Enfin, une somme de 280 000 euros est attribuée au ministère de l’Intérieur, afin de soutenir certaines initiatives locales et les actions de l’Office français d’immigration et d’intégration.
Ces précisions visent à contrer les polémiques qui entourent régulièrement l’aide au développement et les relations financières entre la France et l’Algérie. Elles permettent également d’éclaircir la nature des financements et leur destination réelle. Contrairement aux idées reçues, cet argent n’est pas un soutien direct au gouvernement algérien, mais un dispositif structuré autour de l’accompagnement de projets éducatifs, culturels et économiques.
Dans une interview accordée au journal français L’Opinion, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a tenu à réagir aux déclarations sur l’APD accordée à son pays. Il a minimisé l’importance de ces fonds en affirmant que l’Algérie n’en avait pas besoin. Selon lui, l’APD française représente « entre 20 et 30 millions par an » et reste négligeable comparée au budget global de l’État algérien, qui s’élève à 130 milliards de dollars. Il a également souligné que l’Algérie ne dépendait d’aucune aide extérieure, puisqu’elle ne possède aucune dette extérieure.
Cette déclaration s’inscrit dans une volonté du gouvernement algérien d’affirmer son indépendance économique face à ses partenaires internationaux. L’Algérie a en effet adopté ces dernières années une politique économique fondée sur l’autosuffisance et la diversification de ses ressources. Dans ce contexte, l’aide au développement française, bien que réelle, ne représente qu’une infime partie du financement global des services publics algériens.
En clarifiant les chiffres et leur destination, l’ambassade de France tente d’apaiser les tensions liées aux débats sur l’APD. Ce type de controverse revient régulièrement dans le paysage politique français, notamment à l’approche d’échéances électorales où les questions migratoires et les relations avec l’Algérie sont souvent instrumentalisées. La transparence des chiffres et la communication sur leur utilisation sont essentielles pour éviter toute récupération politique et garantir une meilleure compréhension des enjeux de l’aide internationale.
L’Algérie, de son côté, continue de défendre sa souveraineté économique et de s’éloigner des dépendances financières extérieures. Dans ce cadre, l’APD française, bien qu’existante, ne joue qu’un rôle marginal dans l’économie du pays, qui mise avant tout sur ses propres ressources pour assurer son développement.
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Si les infos viennent de : https//dnalgérie , c'est parole d'évangile si l'on peut dire.
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Donc c'est forcément faux. c'est ça ?...latresne a écrit : ↑04 février 2025 00:45Corvo a écrit : ↑03 février 2025 16:09 Décidément quand ça veut pas...
Aide octroyée à l’Algérie : la France contredit Sarah Knafo
L’ambassade de France en Algérie a récemment publié un communiqué pour clarifier les montants exacts de l’aide publique au développement (APD) accordée à l’Algérie. Cette annonce intervient après la diffusion de chiffres erronés par certains responsables politiques français, notamment de l’extrême droite. L’objectif du communiqué est de rectifier ces affirmations en apportant des données officielles et vérifiables, tout en précisant que ces fonds ne sont pas versés directement à l’État algérien, mais sont affectés à des secteurs bien définis.
En septembre dernier, l’eurodéputée Sarah Knafo, proche d’Éric Zemmour, avait avancé que l’Algérie recevait 800 millions d’euros d’aide au développement chaque année. Une information qui avait fait grand bruit et qui avait même conduit certains médias français, dont TF1, à mener des enquêtes pour en vérifier la véracité. Il en est ressorti que cette somme correspond en réalité à une période de cinq ans, et non à une seule année, ce qui a conduit l’Algérie à déposer une plainte en France pour diffusion de fausses informations. L’affaire a finalement été classée sans suite par le parquet de Paris, bien que celui-ci ait reconnu que les déclarations de Sarah Knafo n’étaient pas suffisamment fondées.
Dans son communiqué, l’ambassade de France rappelle que l’APD est un ensemble de flux financiers destiné à améliorer les conditions de vie dans les pays en développement. L’objectif est de garantir un accès équitable aux services de base tels que l’éducation, la santé ou encore l’eau potable. La France se positionne comme le quatrième contributeur mondial à l’APD, avec un engagement total de 15,3 milliards d’euros en 2022. Concernant l’Algérie, les chiffres officiels indiquent que l’aide publique au développement engagée par la France en 2022 s’élevait précisément à 132 millions d’euros.
Une répartition détaillée de cette somme a été communiquée. Sur ces 132 millions d’euros, la majeure partie, soit 121 millions, est allouée au ministère de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, essentiellement pour financer les bourses des étudiants algériens poursuivant leurs études en France. Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères bénéficie quant à lui de 8,5 millions d’euros, destinés à des programmes de coopération culturelle et scientifique, ainsi qu’au fonctionnement de l’Institut français d’Algérie. L’Agence française de développement (AFD) reçoit une enveloppe de 1,5 million d’euros pour financer des projets en lien avec le développement économique. Enfin, une somme de 280 000 euros est attribuée au ministère de l’Intérieur, afin de soutenir certaines initiatives locales et les actions de l’Office français d’immigration et d’intégration.
Ces précisions visent à contrer les polémiques qui entourent régulièrement l’aide au développement et les relations financières entre la France et l’Algérie. Elles permettent également d’éclaircir la nature des financements et leur destination réelle. Contrairement aux idées reçues, cet argent n’est pas un soutien direct au gouvernement algérien, mais un dispositif structuré autour de l’accompagnement de projets éducatifs, culturels et économiques.
Dans une interview accordée au journal français L’Opinion, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a tenu à réagir aux déclarations sur l’APD accordée à son pays. Il a minimisé l’importance de ces fonds en affirmant que l’Algérie n’en avait pas besoin. Selon lui, l’APD française représente « entre 20 et 30 millions par an » et reste négligeable comparée au budget global de l’État algérien, qui s’élève à 130 milliards de dollars. Il a également souligné que l’Algérie ne dépendait d’aucune aide extérieure, puisqu’elle ne possède aucune dette extérieure.
Cette déclaration s’inscrit dans une volonté du gouvernement algérien d’affirmer son indépendance économique face à ses partenaires internationaux. L’Algérie a en effet adopté ces dernières années une politique économique fondée sur l’autosuffisance et la diversification de ses ressources. Dans ce contexte, l’aide au développement française, bien que réelle, ne représente qu’une infime partie du financement global des services publics algériens.
En clarifiant les chiffres et leur destination, l’ambassade de France tente d’apaiser les tensions liées aux débats sur l’APD. Ce type de controverse revient régulièrement dans le paysage politique français, notamment à l’approche d’échéances électorales où les questions migratoires et les relations avec l’Algérie sont souvent instrumentalisées. La transparence des chiffres et la communication sur leur utilisation sont essentielles pour éviter toute récupération politique et garantir une meilleure compréhension des enjeux de l’aide internationale.
L’Algérie, de son côté, continue de défendre sa souveraineté économique et de s’éloigner des dépendances financières extérieures. Dans ce cadre, l’APD française, bien qu’existante, ne joue qu’un rôle marginal dans l’économie du pays, qui mise avant tout sur ses propres ressources pour assurer son développement.
https://dnalgerie.com/aide-octroyee-a-l ... rah-knafo/
Si les infos viennent de : https//dnalgérie , c'est parole d'évangile si l'on peut dire.
https://dz.ambafrance.org/L-aide-publiq ... en-Algerie
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
Corvo a écrit : ↑04 février 2025 07:18Donc c'est forcément faux. c'est ça ?...
https://dz.ambafrance.org/L-aide-publiq ... en-Algerie
Peut ête pas faux ,mais partial c'est sûr.
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Re: Peut-on supprimer le juge des libertés et de la détention pour assurer l’exécution des peines comme le dit Sarah Kna
En fait un juge qui juge au nom du peuple français ,un appel au cas où et basta .Les autres en charge de la disponibilitéhôtelière , des d'éventuels bébés qui pleurent a la maison ,de l' attestation employeur ou médicale de complaisance , on fait sans .Vivement la robe et l'hermine a une IA bien éduquée 
